Unimix – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Tue, 17 Dec 2024 13:18:49 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Mit Leidenschaft und Engagement: Ryan Rätzer und die Zukunft von Unimedia /alma-georges/articles/2024/mit-leidenschaft-und-engagement-ryan-raetzer-und-die-zukunft-von-unimedia /alma-georges/articles/2024/mit-leidenschaft-und-engagement-ryan-raetzer-und-die-zukunft-von-unimedia#respond Tue, 17 Dec 2024 13:19:00 +0000 /alma-georges?p=21640 Ryan Rätzer, ein 25-jähriger Französisch- und Englischstudent, vereint Studium, Lehre und seine Leidenschaft für Medien. Als Mitgründer von Unimedia strebt er nach mehr Anerkennung und Reichweite für die studentischen Medien in Freiburg – trotz zahlreicher Herausforderungen.

Ryan Rätzer befindet sich im ersten Mastersemester seines Studiums. Nebenbei arbeitet er als Lehrperson im Wallis – eine 50%-Stellvertretung, die ihn seinem Berufsziel als Lehrer näherbringt. Doch sein Herz schlägt auch für die Medienarbeit. Seit vier Jahren ist er für Unimix und Unicam aktiv, Radio und Fernsehen der Unifr, seit zwei Jahren engagiert er sich zusätzlich bei Spectrum, dem Studierendenmagazin.

Die Idee hinter Unimedia
Insgesamt engagieren sich ca. 100 Leute ehrenamtlich in den Vereinen. Um die Kommunikation zwischen den verschiedenen studentischen Mediengruppen zu verbessern, hat Ryan zusammen mit anderen Unimedia gegründet. Als Kassierer des Vereins sorgt er für die finanziellen Grundlagen, doch das Team arbeitet vor allem kollegial zusammen. «Jede Gruppe hat ihre Stärken und Schwächen», erklärt Ryan. «Unimedia gibt uns allen mehr Gewicht und erleichtert die Zusammenarbeit.»

Medienarbeit als Leidenschaft, nicht als Karriereweg
Für Ryan steht fest: Die Medienarbeit bleibt ein Ehrenamt, neben seinem Beruf als Lehrer. «Umgekehrt funktioniert es nicht», sagt er. Trotzdem ist er von den Begegnungen begeistert, die ihm die Medien ermöglichen. «Mit jedem Interview lerne man spannende Menschen kennen, sei es von der Uni oder von externen Projekten. Einmal hat er ein Interview mit der ehemaligen Unifr-Rektorin Astrid Epiney geführt. Die Begegnung begleitet ihn noch heute: «Ich bewundere ihren Esprit fribougeois, den ich gerne selbst leben möchte.»

Motivation und Herausforderungen
Die ehrenamtliche Basis stellt die Teams vor besondere Herausforderungen. «Alle Gruppen sind seit einer Weile angeschlagen. Die Leute sind sehr motiviert, aber auch erschöpft», berichtet Ryan. Früher gab es z. B. wöchentlich eine Radiosendung, inzwischen nur noch alle zwei Wochen. Die Suche nach Ersatz und neuen Mitgliedern bleibt eine ständige Aufgabe, doch Unimedia schafft bessere Voraussetzungen dafür.

Vernetzung und Sprache als Erfolgsfaktoren
Unimedia fördert die Zusammenarbeit der verschiedenen Gruppen, die sowohl auf Deutsch, Französisch und manchmal auch Englisch Inhalte erstellen. So finden sich bei Spectrum bilinguale Formate, während Unimix aus separaten frankophonen und deutschsprachigen Redaktionen besteht.

Budgetkürzungen als Sorge für die Zukunft
Die grösste Herausforderung bleibt das Budget. Die studentischen Medien sind auf externe Sponsoren, AGEF-Mittel und universitäre Infrastruktur angewiesen. «Das Geld reicht oft nur für Lizenzen, Equipment und Versicherungen – für mehr bleibt kaum etwas übrig», beschreibt Ryan die Situation. Man müsse sehr aufpassen, damit die Qualität der Arbeit und die Motivation der Freiwilligen nicht zu stark darunter leiden. Immerhin: Wer sich engagiert, bekommt ein kleines Zertifikat, das die Tätigkeiten und erworbenen Kompetenzen bestätigt. Studierende der Kommunikation & Medien auf Deutsch können sogar drei ECTS-Punkte sammeln, wenn sie sich bei Unimix und/oder Unicam einbringen.

Ein Ziel für die Zukunft
Zwischen Kursen, Job und Vereinspflichten finden die Ehrenamtlichen in Events wie dem «Souper des médias» Zeit, sich zu vernetzen und auszutauschen. Die Organisation solcher Veranstaltungen sei ein Mittel, um seine Dakbarkeit auszudrücken. Ryans Wunsch ist klar: «Ich wäre stolz, wenn eines Tages niemand mehr überrascht wäre, dass es ein Uni-Radio und ein Uni-Fernsehen gibt.» Diese Anerkennung würde die jahrelange Arbeit und das Engagement der Ehrenamtlichen belohnen.

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Ces étudiant·e·s qui s’engagent: «Ce qu’on fait en marge des cours fait la différence!» /alma-georges/articles/2023/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-sengagent-ce-quon-fait-en-marge-des-cours-fait-la-difference /alma-georges/articles/2023/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-sengagent-ce-quon-fait-en-marge-des-cours-fait-la-difference#respond Mon, 22 May 2023 06:37:51 +0000 /alma-georges?p=18171 Boulimiques de travail, ils le sont sans doute un peu! A côté de leurs études, Ryan Rätzer, étudiant en français et anglais, et Maxime Staedler, étudiant en biologie environnementale, s’engagent sans compter pour Unimix. Comme si cela ne suffisait pas, le premier fait également des piges pour Unicam, tandis que le second est rédacteur en chef de Spectrum. Et on ne parle même pas du temps imparti à leurs jobs alimentaires qu’ils arrivent à caler on ne sait ni où ni comment!

Pourquoi avoir choisi d’adhérer à Unimix plutôt qu’à une autre association?
Maxime: J’ai choisi Unimix car j’avais déjà produit des podcasts dans le cadre d’une association à Genève. C’était l’occasion pour moi de développer des compétences dans le domaine. J’apprécie également de ne pas être soumis à des impératifs commerciaux. Ici, nous n’avons pas besoin de chercher le buzz. Nous sommes libres de choisir les sujets qui nous intéressent et de rencontrer les artistes que nous aimons. Pas plus tard que dimanche dernier, j’ai rencontré l’un de mes guitaristes préférés, Tor Oddmund Suhrke de Leprous, un groupe de métal progressif norvégien.
Ryan: Un professeur m’avait dit que tout le monde, au terme de ses études, obtient un diplôme, mais que c’est ce que nous faisons en marge des salles de cours qui fait la différence, surtout si, comme dans notre cas, nous travaillons notre éloquence, notre écriture ou encore notre manière de nous adresser à nos interlocuteurs·trices. Grâce à Unimix, j’ai rencontré des personnalités extraordinaires: Guy Parmelin, l’écrivain Nicolas Feuz, ainsi que plusieurs professeur·e·s de l’Université. Je me suis également engagé à Unicam pour créer des ponts entre les associations de l’Université.

Combien d’heures représentent cet engagement associatif?
Ryan: Avec les 29 émissions que nous avons réalisées ce semestre, je pense que nous pouvons estimer à 900 le nombre d’heures de travail bénévole accomplies par l’équipe sur une année. Cela n’empiète pas vraiment sur mes études. Je suis en lettres et je peux jongler avec les cours.
Maxime: On va éviter les blagues sur les gens qui étudient les lettres (rires). Je suis aussi rédacteur en chef de Spectrum et c’est ce poste qui m’accapare le plus. En revanche, je suis libre de m’y consacrer quand je veux. Idem pour mes expériences en biologie, même si ça m’est arrivé de travailler jusqu’à point d’heure.

A l’avenir, tu souhaiterais devenir journaliste scientifique?
Maxime: Pas vraiment! En fait, j’aime parler de sujets autres que ceux qui concernent la biologie, comme la culture et la politique. Je préfère être actif dans le domaine scientifique que de relater les découvertes des autres.
Ryan: Mon rêve, c’est de devenir professeur. Pour m’en faire dévier, il faudra me payer très cher. J’aime enseigner, transmettre.

Qu’est-ce qui vous ennuie le plus dans votre travail à Unimix?
Ryan: J’ai eu une révélation à l’armée: comme je suis motard, je me suis retrouvé bloqué dans un bunker au col du Simplon à cause de la neige. Alors que je n’y étais pas obligé, j’ai décidé de faire la vaisselle. J’ai réalisé que cette corvée n’était pas ennuyante en soi, mais que c’était plutôt notre manière de l’appréhender. C’est pareil quand on gère une organisation. On peut se laisser submerger par les problèmes ou, si on y parvient, renverser la perspective et les voir comme des expériences.
Maxime: J’ai parfois de la peine à me lancer dans le montage de mes enregistrements mais, une fois dans le bain, je prends du plaisir à glisser un ou deux effets sonores.

Un échec, déjà?
Ryan: Avec Nicolas Feuz, je me suis planté avec le son. C’était irrécupérable! Il s’est déplacé, m’a offert son livre et m’a accordé du temps. J’étais dépité.
Maxime: Je touche du bois. En live, j’ai peur de manquer de souffle quand les phrases sont trop longues. De n’avoir qu’une prise me stresse. Si je la rate, cela va rester pour l’éternité dans les archives SoudCloud de RadioFR.

L’interview que vous rêveriez de faire avant de quitter UnimixÌý?
Maxime: J’ai vainement essayé d’interviewer Alain Berset. Son département est peut-être moins sympathique que celui de Guy Parmelin. Sinon peut-être le compositeur de Nightwish.
Ryan: J’espère aller aussi loin que possible avec mon émission Parenthèse Académique. J’ai vraiment découvert des professeur·e·s formidables, des parcours de vie extraordinaires.

Et que vous apporte Unimix dans vos études?
Ryan: Nous nous devons d’être efficaces, de savoir fixer nos priorités. Je jongle avec Unimix, Unicam, les études et des jobs à côté. Je dois donc me résoudre à ne consacrer qu’un temps limité à Unimix et à me contenter du résultat, même quand il n’est pas parfait. Idem pour les études. On ne vise plus forcément la note maximale, mais on apprend à se satisfaire d’un cinq, par exemple.
Maxime: Je me rends compte que le souffle est très important. Quand on a la pression, par exemple pour une présentation devant tout le Département de biologie ou un live à Radio Fribourg, on doit se forcer à respirer. J’ai appris à le faire, à détendre mon corps par le souffle

Un message à passer?
Ryan: Si les étudiant·e·s veulent nous rejoindre, avec grand plaisir! On a des bières au frigo. On aime rencontrer du monde. N’hésitez pas à nous écouter et à participer à nos événements.

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Dans la vie de Raphael, la musique donne le ton! /alma-georges/articles/2020/dans-la-vie-de-raphael-la-musique-donne-le-ton /alma-georges/articles/2020/dans-la-vie-de-raphael-la-musique-donne-le-ton#respond Thu, 07 May 2020 07:46:09 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=10962 Dans sa vie, tout tourne autour du son. Raphael Eccel est né dans une famille de musiciens, il étudie la musicologie, joue dans un ensemble de jeunes et est secrétaire d’UNIMIX. Rencontre en musique!

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Ces étudiant·e·s qui font l’uni: Laura (5/13) /alma-georges/articles/2020/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-laura /alma-georges/articles/2020/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-laura#respond Tue, 25 Feb 2020 07:35:02 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=10190 Quand elle ne creuse pas le sol à la recherche des vestiges du passé, Laura creuse des sujets pour Unimix, la radio de l’Unifr. Sa plus belle trouvaille? Le chanteur Henri Dès.

D’où t’es venue l’idée de t’engager pour Unimix, la radio des étudiants?
Le journalisme m’a toujours intéressée, mais des personnes de ma famille travaillant dans ce milieu m’ont un peu découragée. J’ai donc commencé les études en archéologie, histoire et littérature anglaise. Le journalisme est resté un plan B.

Laura, étudiante en Master d’archéologie.

Et pourquoi Unimix et pas Unicam ou Spectrum?
La télé, pas trop pour moi parce que je devrais m’apprêter, tandis qu’à la radio je peux venir en pyjama. (Rires) La presse écrite me semble moins appropriée pour faire passer une émotion. En radio, on peut jouer avec la voix, avec des sons, qui apportent un petit truc en plus.

Penses-tu que les étudiants écoutent encore la radio?
On n’écoute plus la musique en bruit de fond, je pense, mais on choisit des émissions spécifiques, notamment grâce à Couleur 3 qui a remis au goût du jour la radio chez les jeunes, en particulier avec Yann Marguet, Vincent Veillon et Vincent Kucholl. Leurs chroniques plaisent énormément. Les gens s’y reconnaissent. C’est inspirant.

Avant d’être présidente, tu as été rédactrice en chef. Quel était ton style?
Je laissais les rédacteurs assez libres, mais nous avons peut-être misé un peu excessivement sur l’humour. Radio Fribourg nous a rappelé que nous n’étions pas Couleur 3. On a dû se calmer un peu.

Est-ce que cet engagement interfère sur tes études?
Oui, on ne compte pas les heures quand on est au comité. Ça a probablement prolongé mes études d’un semestre, mais je ne le regrette pas. Désormais, je vais tout de même me reconcentrer sur mes études.

Tu vas bientôt terminer l’uni, vas-tu rester à la présidence jusqu’au bout?
Ça dépendra de la personne qui souhaite me succéder. J’aimerais qu’elle puisse garder la même ligne.

Une rencontre marquante?
On a fait un live sur le thème de l’enfance pour lequel nous souhaitions faire venir Henri Dès à Fribourg. Comme il a 80 ans, il a préféré que l’on vienne chez lui. C’était étonnant et ça a débouché sur une S-U-P-E-R-B-E rencontre. C’était l’idole de notre enfance, je me souviens de l’avoir vu en concert à l’Aula Magna. Il est en pleine forme. C’est un personnage incroyable.

Questionnaire existentiel express

La vie d’étudiante, c’est une vie…
…de pur plaisir.

Diplôme en poche, que feras-tu de ta vie?
Archéologue, j’espère. Sinon? le journalisme.

Dans 20 ans, comment vois-tu ta vie?
Entourée de bonnes personnes.

Le rêve de ta vie?
Un rêve ne suffit pas. Il faut en avoir toujours de nouveaux.

Le regret de ta vie?
De ne pas avoir commencé l’archéologie plus tôt

Le sens de la vie?
Je ne suis pas sûre qu’il y en ait un.

Une devise pour la vie?
Profiter de l’instant présent.

Sur ton lit de mort, en jetant un œil dans le rétroviseur, tu te diras que ta vie c’était quand même…
C’était quand même vachement bien.

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Ces étudiant·e·s qui font l’uni: Méline (2/13) /alma-georges/articles/2020/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-meline-2-13 /alma-georges/articles/2020/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-meline-2-13#respond Thu, 30 Jan 2020 14:38:32 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=10181 Chroniqueuse puis rédactrice en chef, voilà 4 ans que Méline trime pour Unimix. Elle y a même établi le record du rire le plus long, non homologué, mais tellement bon pour la santé.

En tant que «cheffe», es-tu amenée à donner de la voix, aussi ailleurs que sur les ondes, pour recadrer les membres de la rédaction?
C’est mon travail de rédactrice en chef d’écouter et de commenter ce que nos chroniqueurs fournissent. Il serait toutefois malvenu de se montrer trop dur car tout le monde est bénévole. On marche sur des œufs.

Avez-vous une ligne rédactionnelle politisée?
Comme nous diffusons nos émissions sur Radio Fribourg, nous nous devons d’être apolitiques. Nous avons tout de même couvert la grève des femmes et la hausse des taxes, mais nous privilégions l’humour, la culture et le cinéma. Cela dit, on ne se censure pas et on n’hésite pas à donner notre avis, mais nous gardons, disons, une ligne «étudiante».


Comment choisissez-vous vos sujetsÌý?
On se base sur l’actualité, mais comme Radio Fribourg s’en charge, on n’est pas censé trop en faire. On reçoit aussi des accréditations pour des manifestations, comme le Paléo Festival ou le FIFF.

Et j’imagine que les places sont chères!
A vrai dire, on se bat plus pour avoir de nouveaux membres chaque semestre que pour les accréditations!

Ah oui?! Eh bien, parlons-en!
Oui, il ne faut pas se voiler la face, c’est difficile. Nous nous présentons lors des journées d’informations, on essaie aussi de recruter via les réseaux sociaux. On mise aussi sur le bouche à oreille, mais la rédaction francophone d’UNIMIX n’est pas aussi douée que la rédaction germanophone pour se vendre.

La bonne humeur règne entre Méline Murisier, rédactrice en chef d’Unimix, et Laura, présidente.

Et pourquoi?
Les germanophones étudient la communication et le journalisme. Nous, nous sommes plutôt en Lettres.

Après tes études, comptes-tu poursuivre dans le métier de journaliste?
C’était l’une de mes ambitions. Je fais des piges pour Arcinfo, j’adore la radio, mais je suis un peu désillusionnée par la situation des médias.

Quelles sont les compétences que tu as acquises grâce à UNIMIX?
Sur le plan professionnel, j’ai dû apprendre à gérer une équipe, à planifier les émissions et produire un contenu de qualité. Humainement, il faut savoir dire les choses avec tact, gérer des caractères différents. On a parfois affaire à des gens qui ne s’impliquent qu’à moitié, mais on essaie de rester calme et diplomatique.

Et c’est dur au point de te décourager?
Oui, mais ça passe vite. Je vois ces têtes (en pointant sa collègue) et ça va mieux. (rires)

Est-ce que cet engagement interfère avec tes études?
Pour une chronique, je compte entre deux et trois heures de travail, pour une émission plutôt cinq heures. Quand on entre au comité, en revanche, on ne compte plus ses heures, mais cela reste un plaisir car on est une bonne équipe. Je ne peux d’ailleurs que conseiller de s’engager dans la vie associative.

Une rencontre marquante rendue possible grâce à Unimix?
Il y a quatre ans, Yann Provenzano, Thomas Wiesel et Blaise Bersinger étaient les invités d’un de nos lives. J’ai rigolé durant trois heures non stop.

Questionnaire existentiel express

La vie d’étudiante, c’est une vie…
…»å’a³¦³ó²¹°ù²Ôé²õ

Diplôme en poche, que feras-tu de ta vie?
Je partirai voyager.

Dans 20 ans, comment vois-tu ta vie?
Est-ce que je la vois? Non, je ne la vois pas. Difficile à dire si on sera toujours sur cette planète.

Le rêve de ta vie?
Mourir sans regrets? Non, le vrai rêve c’est d’écrire un livre

Le regret de ta vie?
(Après une longue hésitation) … d’avoir écouté de la mauvaise musique à l’adolescence.

Le sens de la vie?
Sens inverse des aiguilles d’une montre.

Une devise pour la vie?
En tant qu’historienne, je dirais qu’il faut oublier ce qu’il faut oublier et ne pas oublier ce qu’il ne faut pas oublier.

Sur ton lit de mort, en jetant un œil dans le rétroviseur, tu te diras que ta vie c’était quand même…
C’était, j’espère, le 100%!

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Revue de presse – février 2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016#respond Wed, 09 Mar 2016 10:02:30 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2046 ÌýL’Université de Fribourg dans la presse du 1er au 29 février 2016

«In der heutigen Arbeitswelt ist lebenslanges Lernen Pflicht.»
– Manfred Kuonen
, Studienleiter der postgradualen Weiterbildung in Laufbahn- und Personalpsychologie der Universitäten Bern und Freiburg, , 25.2.2016

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fête ses 20 ans, , 25.02.2016

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«Il y a beaucoup moins de jeunes enfants en bonne santé adoptables.»
– Isabelle Lammerant, chargée de cours en droit de la famille, , 23.02.2016

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«Die Geschwindigkeiten haben im Vergleich zum Vorjahr aber etwa um 20 Prozent zugenommen.»
– Benno Staub
, Geowissenschaftler, zum Auftauen des Permafrosts, , 23.2.2016

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– via

– Sebastian Dieguez, chercheur en neurosciences cognitives et neuropsychologue au Laboratoire des sciences cognitives et neurologiques de l’Université de Fribourg, RTS La Première, , 22.02.2016

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«Längst nicht alle Nutzer der Notschlafstelle sind Obdachlose im klassischen Sinn.»
– Carolyne Crimard, Doktorassistentin Soziologie, Sozialpolitik und Sozialarbeit, zur Rolle von La Tuile im Bereich der Obdachlosigkeit, , 22.2.2016

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«Natürlich ist es schön, existieren sie weiter. Sollte das aber nicht mehr der Fall sein, wäre das keine Katastrophe.»
– Reiner Eichenberger, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, zu den Bilateralen I, , 21.2.2016

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«Käufer sollten ein Haus sehr sorgfältig prüfen und sich dabei von einem Bauexperten oder einem Architekten beraten lassen.»
– Hubert Stöckli
, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 21.2.2016

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«Il ne faut pas non plus exagérer l’UDC. Etre premier parti, cela ne veut pas dire être parti majoritaire. Donc même si l’UDC peut s’implanter dans la terre fribourgeoise, cela ne veut pas dire non plus que la terre firbourgeoise sera une terre blochérienne.»
– Gilbert Casasus, professeur au Domaine Etudes européennes, , , 16.02.2016

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«On ne peut pas tout partager. Pour conserver le pouvoir, il faut conserver le contrôle d’un certain nombre de flux d’informations et d’actifs stratégiques. Savoir lesquels, c’est aujourd’hui le nouveau souci des entreprises.»
– Paul Dembinski, professeur associé à la Chaire Stratégies et concurrence internationales, , 15.02.2016

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«Kosenamen bestätigen eine Beziehung durch Sprache.»
– Gerda Baumgartner, Sprachwissenschaftlerin an der Universität Freiburg, , 14.2.2016

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«Les diplomaties vaticane et moscovite restent très mystérieuses… Mais il est vrai qu’à Fribourg, nous entretenons depuis longtemps une collaboration avec l’Eglise de Moscou. Depuis de nombreuses années nous encourageons le dialogue Å“cuménique avec les orthodoxes moscovites. Cette attitude très positive ne peut que préparer favorablement le terrain.»
– Noël Ruffieux, membre de l’Institut d’études œcuméniques, à propos de la rencontre historique entre le Pape François et le Patriarche de Moscou Cyrille, , 13.02.2016.

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«En général, nous travaillons avec les vivants. Et le recueilleur n’est pas un magnétophone qui enregistre et retranscrit, il est interlocuteur et coauteur du récit produit.»
– Catherine Schmutz Brun, lectrice au Département de l’éducation, à propos de la formation de recueilleur de récit de vie. La Liberté, 12.02.2016.

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– via

«Le terme mademoiselle est tellement condescendant qu’il faut essayer de l’effacer du vocabulaire ou alors essayer d’employer le même terme pour les hommes, qui est damoiseau et que personne n’utilise, bien sûr.»
– Pascal Gygax, directeur de l’équipe de psycholinguistique, , , 12.02.2016

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«Die Initiative ist ein Anschlag nie dagewesenen Ausmasses gegen die Demokratie. Sie zielt frontal gegen den Rechtsstaat als deren Fundament, indem sie die Gewaltenteilung und die Unabhängigkeit der Justiz missachtet.»
– Marc Spescha, Lehrbeauftragter für Migrationsrecht, zur Durchsetzungsinitiative, Theoriekritik, 12.2.2016

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«Paris sollte nicht als politisches oder ökonomisches Symbol, sondern als Symbol der Lebenslust und des westlichen Hedonismus angegriffen werden.»
– Amir Sheikhzadegan, Lehrbeauftragter für Soziologie, zu den November-Anschlägen in Paris, Links / SP AG, 11.2.2016

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«L’intégration est un mouvement réciproque de la société d’accueil, qui accueille un immigrant etÌý est censé faire que cette intégration économique, culturelle, se passe bien, et le mouvement de la personne qui est accueillie, qui va découvrir un nouveau pays, ses lois… Il faut une réciprocité.»
– Sabine Choquet, collaboratrice au Domaine sciences des sociétés, des cultures et des religions, France TV, , 11.02.2016

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«Ihr einziges Ziel ist der Gewinn. Sie kaufen beispielsweise Weizen, und sobald sie ihn besitzen, verkaufen sie ihn wieder zu einem teureren Preis.»
– Sergio Rossi,
Professor für Volkswirtschaft und Geldtheorie, zur Spekulation mit Lebensmitteln, , 11.2.2016

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«Die Zuwanderung sollte mit Preisen statt mit Bürokratie gesteuert werden.»
– Reiner Eichenberger
, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, 11.2.2016

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«On peut tout à fait être pour la justice fiscale et contre le mariage homosexuel. Mais le problème, c’est justement qu’on nous fasse voter sur les deux choses en même temps, alors qu’elles ne présentent pas de lien intrinsèque. Si on avait proposé un texte similaire dans un canton, un recours aurait pu être déposé au Tribunal fédéral, avec des chances de succès, vu sa pratique en la matière.»
– Jacques Dubey, professeur de droit constitutionnel, Lausanne, 09.02.2016

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«Le stress est le pire ennemi du couple.»
– Dominique Shoebi, professeur à l’Institut de recherche et conseil dans le domaine de la famille, l’, 09.02.2016

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«Vouloir être actif dans le cercle familial n’est pas encore quelque chose de valorisé socialement.»
– Tanya Ogay, professeure au Domaine des sciences de l’éducation, , 09.02.2016

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«Quand on essaie de proposer des choses pour soutenir les consommateurs, il y a toujours, dans le jeu politique, des oppositions.»
– Pascal Pichonnaz, doyen de la Faculté de droit, RTS1, , 09.02.2016

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«Zeigt sich, dass der Handwerker unnötigen, vermeidbaren Aufwand betrieben hat, hat der Kunde auch dafür keine Vergütung zu leisten.»
– Hubert Stöckli, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 6.02.2016

 

 

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Unimix souffle ses 20 bougies /alma-georges/articles/2016/unimix-souffle-ses-20-bougies /alma-georges/articles/2016/unimix-souffle-ses-20-bougies#respond Thu, 03 Mar 2016 09:19:06 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2034 Tandis que Mathilde, Lukas, Ariane et Sébastien exhibaient fièrement leurs premières dents de lait, Unimix, la radio estudiantine de l’Université de Fribourg, était portée sur les fonds baptismaux. Aujourd’hui, vingt tours de soleil plus tard, leur babillage a cédé sa place à une éloquence certaine, qu’ils ont décidé d’exercer sur les ondes de la radio universitaire. Rencontre.

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Musique: NTNT-Outside the City Instrumental

 

 

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