Stress – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Tue, 07 Jan 2020 13:45:48 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Comment allez-vous aujourd’hui? /alma-georges/articles/2020/comment-allez-vous-aujourdhui /alma-georges/articles/2020/comment-allez-vous-aujourdhui#respond Tue, 07 Jan 2020 13:44:33 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=10038 Le stress peut être un fléau au quotidien. Et les étudiant·e·s sont particulièrement touché·e·s. Le premier geste consiste à prendre une pause et de réellement se demander comment on se sent aujourd’hui, nous explique Romina Rebacarren de l’équipe de psychologie clinique et de la santé. Et pour celles et ceux qui cherchent des outils, un atelier sera proposé dès la rentrée de printemps.

Les étudiant·e·s sont-ils stressé·e·s?
Beaucoup d’étudiant·e·s le sont. Le stress peut être défini comme une réponse d’adaptation de tout l’organisme à une perturbation de l’équilibre. En fait, on parle de stress quand une personne estime que les «exigences» ou les demandes (internes ou externes) dépassent les ressources (internes ou externes) dont elle dispose.

Face à une telle situation, nous pouvons réagir différemment, selon le moment où elle se présente, les circonstances ou nos caractéristiques personnelles. Ainsi, une même situation peut être évaluée comme positive, neutre ou stressante. Par exemple, une présentation orale peut être perçue comme un défi motivant, car source d’apprentissage. Mais elle peut aussi ne rien déclencher de particulier ou se révéler une source d’anxiété ou d’angoisse.

Nous parlons de stress psychologique quand les personnes sentent qu’elles ne disposent pas des ressources nécessaires pour faire face à la situation et se sentent dépassées par les événements. Pour cette raison, certain·e·s étudiant·e·s parviennent à gérer les moments stressants de leurs études universitaires pendant de nombreuses années, tandis que d’autres les vivent très mal et ont constamment le sentiment d’être débordé·e·s.

Est-ce une spécificité du monde universitaire?
Plusieurs études, réalisées sur différents continents, démontrent que les étudiant·e·s universitaires signalent des niveaux de stress psychologique plus élevés que leurs pairs du même âge dans la population générale. Cela touche, en particulier, les étudiant·e·s de première année, les plus jeunes, ainsi que celles et ceux qui travaillent en parallèle pour financer leurs études. De plus, certaines périodes de la vie étudiante sont plus stressantes que d’autres, comme celles des révisions, des examens ou de la fin des études.

Des recherches menées en Australie, aux États-Unis et dans divers pays européens démontrent également que le stress peut avoir – mais, attention, que ce n’est pas toujours le cas – Ìýdes conséquences sur le rendement académique des étudiant·e·s, leur qualité de vie, ainsi que sur leur bien-être psychique et physique. Des difficultés d’attention et de concentration peuvent apparaître, entraînant une chute es résultats académiques. En outre, pour contrer la déprime et l’anxiété, Ìýils peuvent être tentés de recourir à des substances addictives, telles que la cigarette, l’alcool ou les drogues, ou, parfois, développer des idées suicidaires. En outre, les étudiant·e·s peuvent manifester des tensions musculaires, des migraines, des difficultés de sommeil, des problèmes gastriques ou au niveau du comportement alimentaire. Des études montrent aussi qu’approximativement 40% des étudiant·e·s qui présentent ces symptômes ne cherchent pas ou n’ont pas accès à l’aide nécessaire.

Le stress psychologique augmente le risque d’avoir ces conséquences sur le bien-être. Pour cette raison, il est important de rendre les étudiant·e·s attentifs-ives à cette thématique – même s’ils ne sont pas tous concernés par cette situation – afin de leur donner les clés pour agir au plus vite, et chercher l’aide la plus adéquate. Surtout, il est indispensable que les universités soient conscientes de cette situation. De nombreuses universités romandes, comme la nôtre, développe déjà ce type d’offre.

Quels sont les principaux facteurs de stress lorsqu’on suit des études?
Les principaux facteurs de stress cités par les étudiant·e·s sont,Ìýnotamment, liés aux exigences académiques (la quantité de matière à étudier, les examens, la recherche de place de stage…), à la gestion du temps (conjuguer le temps d’étude avec un stage ou un travail rémunéré, …), et à des difficultés financières. Enfin, s’éloigner de sa famille et de son entourage social, en quittant le domicile familial pour poursuivre ses étudesÌý dans un autre canton ou un autre pays, peut être aussi un facteur de stress. Le début des études universitaires est une période de transition qui demande de nombreux effort d’adaptation. Emménager pour la première fois dans une collocation avec des personnes «inconnues», par exemple, n’est pas anodin, ou encore devoir gérer ses finances ou son quotidien de manière autonome.

Vous proposez un atelier pour prévenir le stress. Qu’y trouveront les participant·e·s?
Au sein de l’équipe de psychologie clinique et de la santé, nous avons créé un programme multidimensionnel de prévention du stress (GeDStress). Nous y intégrons différentes stratégies de gestion du stress, que ce soit au niveau cognitivo-comportemental (par exemple, la planification et la restructuration cognitive) ou au travers d’exercices basés sur la pleine conscience, d’activités sur les compétences sociales, l’affirmation de soi, et la régulation des émotions. L’idée de base est qu’il existe plusieurs manières de gérer le stress, à différents niveaux, dépendant de la situation et du moment. Le programme est groupal et composé de huit modules.

Son objectif est de créer une «boite à outils» personnelle de stratégies de gestion du stress. Nous commençons par évaluer les stratégies connues et utilisées par les participant·e·s. C’est un moment de réflexion sur «ce que je fais déjà qui est bien pour moi». Ensuite, nous proposons des activités afin d’«apprendre» et expérimenter de nouvelles stratégies. Entre les séances, nous demandons aux participant·e·s de mettre en pratique certaines de ces méthodes. Notre objectif n’est pas de ne plus ressentir de stress, mais de devenir flexible Ìýet de se sentir efficace dans la manière de répondre aux diverses situations stressantes.

Nous considérons que nous pouvons prévenir le stress en agissant sur les exigences, mais aussi sur les ressources, en augmentant ces moments, ou en les valorisant. Ainsi, nous mettons l’accent sur l’importance de prendre du temps pour soi (faire une balade en forêt), de faire de pauses (par exemple pendant les révisions: Ìýboire un café avec les collègues), de prendre le temps de se ressourcer (faire du sport, quelque chose qui nous plaît, prendre le temps de voir sa famille, ses ami·e·s, …) et, surtout, de prendre conscience des choses, des compétences et des ressources qu’on a déjà.

Cet atelier découle de votre travail de doctorat en psychologie. Sur quoi portent vos recherches?
Dans notre unité, nous investiguons les facteurs qui interviennent dans le développement de la psychopathologie. Notamment, nous nous sommes intéressé·e·s au stress et à ses conséquences sur la santé physique et psychique, ainsi qu’à la vulnérabilité à certaines maladies psychiques comme la dépression. Nous évaluons également les effets du stress au niveau psychologique, neurologique et physiologique. De mon côté, je me suis penchée sur la santé des étudiant·e·s universitaires. Nous voulions réfléchir à un programme qui soit intéressant pour le plus grand nombre et, surtout, qui puisse répondre aux différentes situations que les étudiant·e·s décrivent dans leur parcours. L’objectif de mon doctorat était justement de créer un nouveau programme de prévention du stress et de le valider. A partir du semestre prochain, nous allons le proposer à la consultation psychologique des étudiant·e·s de l’Université.

Comment traduit-on un travail de recherche en atelier pratique? A quoi faut-il faire attention?
En regardant les facteurs stressants mentionnés par les étudiant·e·s, nous nous sommes demandés ce que nous pourrions leur proposer pour gérer au mieux ces situations. Ainsi, en analysant les situations décrites, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il serait important de présenter un programme intégratif proposant des stratégies et des techniques à différents niveaux. Enfin, nous nous sommes dit qu’il serait important de travailler non seulement des stratégies aidant à diminuer les manifestations du stress, mais aussi à augmenter les ressources de résilience. En effet, le soutien social, l’optimisme, l’auto-efficacité, le sens de cohérence, le sentiment de contrôle, parmi d’autres, ont un effet tampon (buffering effect) qui modère les effets négatifs du stress sur la santé et le bien-être.

Nos cours sont très concrets. L’idée est d’expérimenter des stratégies de gestion du stress et non de faire un cours sur ce qu’est le stress. En plus, il s’agit d’un programme de groupe, ce qui permet de prendre conscience qu’on n’est pas seul dans cette situation et d’apprendre des expériences des autres.

Le stress peut s’installer de manière tout à fait insidieuse. Quels sont les signes qu’on peut avoir besoin de votre atelier?
Il y a différents stresseurs, certains sont des événements uniques, importants, clairement «reconnus» comme stressants, comme, par exemple, un déménagement. D’autres, relèvent des tracas quotidiens, par exemple le fait de toujours arriver en retard ou d’oublier de faire les courses. Ce sont de «petits» stresseurs mais qui peuvent aussi avoir des conséquences importantes.

Pour repérer les signes avant-coureurs on peut se poser les questions suivantes: est-ce que je me sens débordé·eÌý? Dépassé·eÌýpar tout ce que je dois faire ? Ai- je la sensation de gérer ou pas? Est-ce que je arrive à me concentrer, à maintenir mon attention sur ma tâche ou est-ce que je suis constamment préoccupé·e? Est-ce que l’approche des examens m’empêcheÌý de dormir et ai-je le sentiment de ne jamais en faire assez? Est-ce que j’arrive à prendre du temps pour moi ou est-ce que j’ai la sensation d’être isolé·e? En fait, il y a divers signaux et diverses manifestations liées au stress. L’important est surtout de prendre quelques minutes pour soi et pouvoir se demander comment je me sens à ce moment-là.

Lors du Semestre de printemps 2020 , le programme sera offert dans trois groupes parallèles de maximum dix personnes. Chaque groupe participera à 8 séances de deux heures hebdomadaires. Lors de chaque séance, les participant·e·s travailleront différentes stratégies de gestion du stress. Les groupes sont animés par deux psychologues. Les dates des trois groupes sont les suivantes:

  • GroupeÌý1 les mardisÌý: 10.03, 17.03, 24.03, 31.03, 07.04, 28.04, 05.05, 12.05ÌýÌý de 18h à 20h
  • Groupe 2 les mercredisÌý: 11.03, 18.03, 25.03, 01.04, 08.04, 29.04, 06.05, 13.05 de 14h30 à 16h30
  • Groupe 3 les mercredisÌý:Ìý11.03, 18.03, 25.03, 01.04, 08.04, 29.04, 06.05, 13.05 de 17h30 à 19h30

Les étudiant·e·s intéressé·e·s à y participer peuvent prendre contact directement avec rominaevelyn.recabarren@unifr.ch ou au 026 300 74 77.

Plus d’infos et inscriptions .

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«Zeitnot betrifft uns alle» /alma-georges/articles/2018/zeitnot-betrifft-uns-alle /alma-georges/articles/2018/zeitnot-betrifft-uns-alle#respond Mon, 30 Apr 2018 08:50:09 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=6369 Wir sind schnell unterwegs und doch oft zu spät. Wie gehen wir mit der modernen Eile um? Woher kommt sie eigentlich? Und was bedeutet sie? Studierende haben eine Serie von Abendveranstaltungen organisiert. Gemeinsam mit Experten gehen sie der modernen Zeitnot auf den Grund. Die Studienwoche startet heute um 18 Uhr an der Miséricorde. Ein Gespräch mit Organisatorin Alana Rainone.

 

Frau Rainone, ihre Studienwoche beginnt schon heute, haben Sie überhaupt Zeit für ein Gespräch?
(lacht) Ja, ich nehme mir die Zeit. Aber es ist schon etwas seltsam: Da organisieren wir eine Studienwoche über Zeitnot und wie man ihr begegnen kann und was haben wir am Ende? Stress. Aber wir sind ja noch vor der Tagung. Danach sind wir alle gescheiter und kommen nie wieder in Zeitnot (lacht).

Wie sind Sie denn überhaupt auf das Thema «Zeitnot» gekommen?
Es ist einfach ein Thema das uns alle betrifft. Hinter der Studienwoche stehen Studierende der Soziologie, der Sozialen Arbeit und der Sozialpolitik. Und in allen unseren Themenfeldern ist die Beschleunigung präsent. Überall haben wir den Anspruch, in weniger Zeit mehr zu erledigen. Dieses Thema wollten wir vertieft anschauen und mit Experten diskutieren, die Interessantes dazu zu sagen haben.

Das Programm eröffnet am Montag Dr. Dietmar J. Wetzel , der über die Ideen Hartmut Rosas sprechen wird.
Rosa ist aktuell der bekannteste Philosoph, der sich mit der Beschleunigung befasst. Und die hat auch widersprüchliche Effekte. Auf der einen Seite versuchen wir, alles immer schneller zu machen, sind dauernd am multitasken und dann wiederum gehen wir ins Yoga und meditieren um wieder zur Ruhe zu kommen.

Besonders spannend klingen die Fragen vom Mittwoch: Wie reagieren Städte auf die Beschleunigung?
Die Hektik zeigt sich zum Beispiel am Bahnhof. Der Billettschalter ist dem Automaten gewichen und der wird nun wieder von der App verdrängt. Immer kleiner, immer schneller. Wie viele Leute passen auf eine Rolltreppe? Wie schnell kann sie fahren? Wie schnell können die Leute umsteigen? Und auf der anderen Seite versuchen unsere Städte Inseln zu schaffen, die von der Beschleunigung ausgenommen sind.

Ebenfalls auf dem Programm steht die Frage, welche Effekte die Beschleunigung auf die Soziale Arbeit hat.
Darauf bin ich ehrlich gesagt auch gespannt. Wir spüren, dass dieses Thema auch unsere Arbeit beeinflussen wird. Soziale Arbeit ist Arbeit mit Menschen – lässt sich das überhaupt optimieren? Wie gehen wir in Sozialen Berufen mit der Zeitnot um? Welche Strategien, welche Techniken gibt es?

Das ist auch das Thema Ihres Abschlussabends am Donnerstag.
Genau, da haben wir verschiedene Organisationen eingeladen, welche sich mit dem Thema Zeitnot befassen. Es wird eine Art «World Café» geben, die Teilnehmerinnen und Teilnehmer können direkt mit den Leuten von Organisationen wie Essbar, NEUF und Neustart Schweiz sprechen und sich informieren lassen, was sie der heutigen Zeitnot entgegensetzen.

Das klingt nach einer spannenden Woche. Worauf freuen Sie sich besonders?
Ich freue mich besonders auf die Leute. Die Studienwoche ist offen für alle, die sich vom Thema angesprochen fühlen und wir werden nicht nur die Gelegenheit haben, vielfältige Vorträge zu hören, sondern werden auch ausführlich mit unseren Experten diskutieren können. Es wird einen Austausch unter den Teilnehmern und mit den Referenten geben. Und ich denke wir gehen am Ende alle gescheiter nach Hause, als wir gekommen sind. Und auch entspannter.

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Revue de presse – février 2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016#respond Wed, 09 Mar 2016 10:02:30 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2046 ÌýL’Université de Fribourg dans la presse du 1er au 29 février 2016

«In der heutigen Arbeitswelt ist lebenslanges Lernen Pflicht.»
– Manfred Kuonen
, Studienleiter der postgradualen Weiterbildung in Laufbahn- und Personalpsychologie der Universitäten Bern und Freiburg, , 25.2.2016

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fête ses 20 ans, , 25.02.2016

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«Il y a beaucoup moins de jeunes enfants en bonne santé adoptables.»
– Isabelle Lammerant, chargée de cours en droit de la famille, , 23.02.2016

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«Die Geschwindigkeiten haben im Vergleich zum Vorjahr aber etwa um 20 Prozent zugenommen.»
– Benno Staub
, Geowissenschaftler, zum Auftauen des Permafrosts, , 23.2.2016

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– via

– Sebastian Dieguez, chercheur en neurosciences cognitives et neuropsychologue au Laboratoire des sciences cognitives et neurologiques de l’Université de Fribourg, RTS La Première, , 22.02.2016

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«Längst nicht alle Nutzer der Notschlafstelle sind Obdachlose im klassischen Sinn.»
– Carolyne Crimard, Doktorassistentin Soziologie, Sozialpolitik und Sozialarbeit, zur Rolle von La Tuile im Bereich der Obdachlosigkeit, , 22.2.2016

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«Natürlich ist es schön, existieren sie weiter. Sollte das aber nicht mehr der Fall sein, wäre das keine Katastrophe.»
– Reiner Eichenberger, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, zu den Bilateralen I, , 21.2.2016

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«Käufer sollten ein Haus sehr sorgfältig prüfen und sich dabei von einem Bauexperten oder einem Architekten beraten lassen.»
– Hubert Stöckli
, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 21.2.2016

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«Il ne faut pas non plus exagérer l’UDC. Etre premier parti, cela ne veut pas dire être parti majoritaire. Donc même si l’UDC peut s’implanter dans la terre fribourgeoise, cela ne veut pas dire non plus que la terre firbourgeoise sera une terre blochérienne.»
– Gilbert Casasus, professeur au Domaine Etudes européennes, , , 16.02.2016

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«On ne peut pas tout partager. Pour conserver le pouvoir, il faut conserver le contrôle d’un certain nombre de flux d’informations et d’actifs stratégiques. Savoir lesquels, c’est aujourd’hui le nouveau souci des entreprises.»
– Paul Dembinski, professeur associé à la Chaire Stratégies et concurrence internationales, , 15.02.2016

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«Kosenamen bestätigen eine Beziehung durch Sprache.»
– Gerda Baumgartner, Sprachwissenschaftlerin an der Universität Freiburg, , 14.2.2016

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«Les diplomaties vaticane et moscovite restent très mystérieuses… Mais il est vrai qu’à Fribourg, nous entretenons depuis longtemps une collaboration avec l’Eglise de Moscou. Depuis de nombreuses années nous encourageons le dialogue Å“cuménique avec les orthodoxes moscovites. Cette attitude très positive ne peut que préparer favorablement le terrain.»
– Noël Ruffieux, membre de l’Institut d’études œcuméniques, à propos de la rencontre historique entre le Pape François et le Patriarche de Moscou Cyrille, , 13.02.2016.

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«En général, nous travaillons avec les vivants. Et le recueilleur n’est pas un magnétophone qui enregistre et retranscrit, il est interlocuteur et coauteur du récit produit.»
– Catherine Schmutz Brun, lectrice au Département de l’éducation, à propos de la formation de recueilleur de récit de vie. La Liberté, 12.02.2016.

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– via

«Le terme mademoiselle est tellement condescendant qu’il faut essayer de l’effacer du vocabulaire ou alors essayer d’employer le même terme pour les hommes, qui est damoiseau et que personne n’utilise, bien sûr.»
– Pascal Gygax, directeur de l’équipe de psycholinguistique, , , 12.02.2016

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«Die Initiative ist ein Anschlag nie dagewesenen Ausmasses gegen die Demokratie. Sie zielt frontal gegen den Rechtsstaat als deren Fundament, indem sie die Gewaltenteilung und die Unabhängigkeit der Justiz missachtet.»
– Marc Spescha, Lehrbeauftragter für Migrationsrecht, zur Durchsetzungsinitiative, Theoriekritik, 12.2.2016

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«Paris sollte nicht als politisches oder ökonomisches Symbol, sondern als Symbol der Lebenslust und des westlichen Hedonismus angegriffen werden.»
– Amir Sheikhzadegan, Lehrbeauftragter für Soziologie, zu den November-Anschlägen in Paris, Links / SP AG, 11.2.2016

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«L’intégration est un mouvement réciproque de la société d’accueil, qui accueille un immigrant etÌý est censé faire que cette intégration économique, culturelle, se passe bien, et le mouvement de la personne qui est accueillie, qui va découvrir un nouveau pays, ses lois… Il faut une réciprocité.»
– Sabine Choquet, collaboratrice au Domaine sciences des sociétés, des cultures et des religions, France TV, , 11.02.2016

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«Ihr einziges Ziel ist der Gewinn. Sie kaufen beispielsweise Weizen, und sobald sie ihn besitzen, verkaufen sie ihn wieder zu einem teureren Preis.»
– Sergio Rossi,
Professor für Volkswirtschaft und Geldtheorie, zur Spekulation mit Lebensmitteln, , 11.2.2016

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«Die Zuwanderung sollte mit Preisen statt mit Bürokratie gesteuert werden.»
– Reiner Eichenberger
, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, 11.2.2016

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«On peut tout à fait être pour la justice fiscale et contre le mariage homosexuel. Mais le problème, c’est justement qu’on nous fasse voter sur les deux choses en même temps, alors qu’elles ne présentent pas de lien intrinsèque. Si on avait proposé un texte similaire dans un canton, un recours aurait pu être déposé au Tribunal fédéral, avec des chances de succès, vu sa pratique en la matière.»
– Jacques Dubey, professeur de droit constitutionnel, Lausanne, 09.02.2016

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«Le stress est le pire ennemi du couple.»
– Dominique Shoebi, professeur à l’Institut de recherche et conseil dans le domaine de la famille, l’, 09.02.2016

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«Vouloir être actif dans le cercle familial n’est pas encore quelque chose de valorisé socialement.»
– Tanya Ogay, professeure au Domaine des sciences de l’éducation, , 09.02.2016

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«Quand on essaie de proposer des choses pour soutenir les consommateurs, il y a toujours, dans le jeu politique, des oppositions.»
– Pascal Pichonnaz, doyen de la Faculté de droit, RTS1, , 09.02.2016

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«Zeigt sich, dass der Handwerker unnötigen, vermeidbaren Aufwand betrieben hat, hat der Kunde auch dafür keine Vergütung zu leisten.»
– Hubert Stöckli, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 6.02.2016

 

 

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