MT180 – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Fri, 05 Jul 2024 08:53:33 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 La relève scientifique nationale sous les feux de la rampes /alma-georges/articles/2024/la-releve-scientifique-nationale-sous-les-feux-de-la-rampes /alma-georges/articles/2024/la-releve-scientifique-nationale-sous-les-feux-de-la-rampes#respond Mon, 01 Jul 2024 15:45:35 +0000 /alma-georges?p=20471 La finale nationale suisse de Ma thèse en 180 secondes s’est tenue à l’Université de Fribourg le 20 juin dernier. Au programme: une soirée tout en science et en paillettes, menée tambour battant par Claire Burgy et Marie-Alice Riley. Seize doctorant·e·s ont tenté de séduire le jury et le public avec leurs thèmes passionnants dans une aula magna illuminées aux couleurs de l’événement.

300 personnes en salles et 600 en lignes ont suivi la soirée et soutenu les candidat·e·s par leur vote. Vous n’avez pas pu y être? Retrouvez l’intégrale de la soirée sur notre chaîne Youtube.

Ma thèse en 180 secondes, ce n’est pas seulement une soirée magique, c’est aussi beaucoup de travail en amont et une grande journée consacrée à la communication scientifique. Ainsi les doctorantes et doctorants ont pu participer à une table ronde sur le journalisme scientifique durant la matinée, puis échanger leurs expériences autour d’un repas, participer à un filage accompagnés par des professionnel·le·s de la scène et de la télévision et profiter d’un échauffement préparatoire avant de monter sur scène. Alma&Georges vous offre un petit coup d’oeil dans les coulisses.


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  • Site de – Université de Fribourg
  • Site de – Suisse
  • Photos: Caroline Bruegger | Unicom
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MT180 2023: une toute grande cuvée! /alma-georges/articles/2023/mt180-2023-une-toute-grande-cuvee /alma-georges/articles/2023/mt180-2023-une-toute-grande-cuvee#respond Tue, 25 Apr 2023 14:09:57 +0000 /alma-georges?p=18016 Le 6 avril dernier, ils étaient huit à se produire sur la scène du Nouveau Monde, huit doctorant·e·s qui ont tenté d’expliquer, et en moins de trois minutes s’il vous plaît, des années de recherches ultra pointues à un public profane. C’est Noémie Lacombe qui a remporté, haut la main, le concours 2023. Petit tour dans les coulisses et sur scène en vidéo.

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Ma thèse en 180 secondes – Les coulisses /alma-georges/articles/2022/ma-these-en-180-secondes-les-coulisses /alma-georges/articles/2022/ma-these-en-180-secondes-les-coulisses#respond Thu, 14 Apr 2022 11:08:14 +0000 /alma-georges?p=15678 Ma thèse en 180 seconds, c’est bien sûr d’abord un concours international avec des prix très intéressants à la clé. Mais c’est aussi un défi qu’on se lance à soi-même et une formidable aventure humaine. Découvrez les coulisses de l’édition 2022 et inscrivez-vous pour l’année prochaine.

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  • Site de
  • de l’édition 2022
  • Tous les articles sur Ma thèse en 180 secondes à l’Unifr
  • ³Õ¾±»åé´Ç: © Christian Doninelli / Université de Fribourg
  • Photo: © Lovis Hoppmann / Université de Fribourg
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Ma thèse en 180 secondes: Cap sur Dakar /alma-georges/articles/2019/ma-these-en-180-secondes-cap-sur-dakar /alma-georges/articles/2019/ma-these-en-180-secondes-cap-sur-dakar#respond Mon, 14 Oct 2019 08:43:54 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=9420 Il y a des expériences qui vous font voyager scientifiquement, humainement… et physiquement. Ma thèse en 180 secondes en est une. Le 26 septembre dernier, la finale internationale se tenait à Dakar. Nous y avons suivi notre finaliste, Isabela Grigoras.

Au printemps, Isabela Grigoras, doctorante au Département de philologie classique,Ìý remportait d’abord le concours fribourgeois, puis le prix du public et le premier prix du jury national. Ces victoires lui ont valu un ticket pour la finale internationale, organisée cette année au Sénégal. Pendant une semaine, les finalistes ont profité d’un programmeÌý très complet de visites scientifiques et récréatives, ainsi que de coaching et d’entrainement. Mais ce qui marque le plus les participant·e·s, c’est certainement la rencontre de 18 doctorant·e·s d’origines et d’intérêts scientifiques différents. Le séjour offre alors aussi une formidable aventure humaine.

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  • Lespour le concours 2020 sont ouvertes. Vous trouverez toutes les informations .
  • Photos: Farida Khali et Denis Billotte |
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«On est très vulnérable si l’on ne connaît pas ses racines.» /alma-georges/articles/2019/on-est-tres-vulnerable-si-lon-ne-connait-pas-ses-racines /alma-georges/articles/2019/on-est-tres-vulnerable-si-lon-ne-connait-pas-ses-racines#respond Tue, 10 Sep 2019 15:21:11 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=9129 Après les manches fribourgeoise et suisse, Isabela Grigoraș remportera-t-elle la finale internationale du concours Ma thèse en 180 secondes au Sénégal? En attendant le grand événement agendé au 26 septembre, la doctorante en philologie classique de l’Unifr évoque sa thèse, ainsi que sa passion pour le latin…et la campagne.

Isabela Grigoraș, présentez-vous en 180 secondes!
Oh là là, c’est beaucoup plus difficile que de présenter ma thèse en 180 secondes! (rires) Je suis Roumaine et j’ai eu la chance de grandir à la campagne. Très jeune, j’ai été baignée dans les langues: à 3 ans déjà, mes parents m’ont fait apprendre l’anglais. Puis le français a suivi, à l’école cette fois. Quant au latin, il est entré dans ma vie au lycée, et n’en est jamais ressorti. Je suis une personne curieuse, qui aime savoir. Enfant et adolescente, j’avais l’impression de détenir une sorte de pouvoir lorsque je savais. C’est probablement ce trait de caractère qui m’a poussée à travailler avec assiduité à l’école, notamment dans l’apprentissage du latin. Au lycée, on m’a proposé de participer aux Olympiades de cette discipline, et j’ai obtenu de bons résultats, qui m’ont menée à deux reprises à des qualifications internationales. Lorsqu’il a fallu choisir une branche principale pour le bachelor, j’ai hésité: «si j’opte pour le latin, je risque de mourir de faim…». Mais finalement – et heureusement! –, j’ai écouté mon cœur et je me suis inscrite à l’Université en philologie classique. Ce fut la plus belle période de ma vie: pendant les pauses, les discussions étaient tellement intenses! Après cela, pour des raisons que je passerai sous silence afin de respecter vos 180 secondes (rires), j’ai entamé un triple cursus de master: en exégétique et herméneutique biblique, en traductologie et en études médiévales. Depuis 4 ans, je travaille sur un doctorat en philologie classique, selon un contrat de cotutelle signé entre les Universités de Bucarest et Fribourg.

Alors qu’on vous imagine plutôt assise dans une bibliothèque, le nez dans les livres, vous évoquez la chance d’avoir grandi à la campagne.
Selon un poète roumain, l’éternité est née à la campagne. Je pense qu’on y sent mieux la vie, et aussi la mort, qu’en ville. A Bucarest, on ne voit même pas les étoiles… Contrairement à beaucoup de mes collègues d’études, je me suis formée à la vie pratique, notamment en travaillant aux champs pendant mes congés. Figurez-vous que je sais traire une vache! En résumé, la campagne fait partie de moi tout autant que les livres. Et j’en suis fière. Je suis toujours attristée de constater que de nombreux Fribourgeois ont honte de leur côté campagnard. Ils ne devraient pas! Au contraire, ils ont la chance de vivre dans un canton qui offre tout: la ville (et ses livres) et la campagne. Justement, rien n’est dû au hasard: arrivée à Fribourg en 2017 pour un semestre financé par une bourse de l’Unifr, j’ai immédiatement adoré cet endroit. J’ai eu la possibilité d’y rester, grâce à une bourse d’excellence d’une année accordée par la Confédération, puis à un poste d’assistante diplômée à l’Institut du monde antique et byzantin.


Reste qu’en 2017, ce ne sont pas les champs fribourgeois qui vous ont motivée à postuler pour une bourse de l’Unifr…
Pas seulement! (rires) Plus sérieusement, en étant basée à Fribourg, je suis au centre de ce monde carolingien d’où émanent les manuscrits dont j’ai besoin pour ma thèse. J’ai également accès à tous les ouvrages nécessaires à la constitution de la bibliographie secondaire. En Roumanie, mes sujets de prédilection sont peu connus. Il ne faut pas oublier que sous le régime communiste, beaucoup d’auteurs «occidentaux» ont été interdits. En ce qui concerne le Moyen-Age, le contenu de nos bibliothèques se limitait aux auteurs «orientaux» (donc byzantins), une situation qui a des conséquences aujourd’hui encore.

Votre thèse porte sur l’Ars grammatica d’Alcuin, un manuel de grammaire latine rédigé au VIIIe siècle. Pourquoi ce choix?
En rédigeant une dissertation de master sur Alcuin (principal artisan de la Renaissance carolingienne et directeur de la plus grande école de l’Empire carolingien, ndlr.), j’avais constaté que peu de ses œuvres étaient éditées. Pour mon travail de thèse, je me suis mise à la recherche d’un texte à éditer qui ne soit ni trop long ni trop court, à ma portée d’étudiante et qui me fasse plaisir. Celui-ci convenait parfaitement: la grammaire est quelque chose qui me parle, contrairement à… euh… du Kafka par exemple (rires). Au début, c’était un peu ardu. Puis, j’ai réalisé à quel point ce texte est génial; il est écrit de façon très attrayante pour les étudiants, quelle que soit leur langue. Pour cela, Alcuin a recours au dialogue, au jeu et à la compétition entre deux personnages, qui sont des élèves. Il parvient à entretenir le suspense, à donner envie de continuer à lire, sans perdre de vue un objectif pédagogique très clair.


Quel est le but exact de votre travail?
A ce jour, il n’existe pas de traduction de l’Ars grammatica dans une langue moderne, ni d’édition critique fiable. La dernière édition, publiée au XIXe siècle, est basée sur trois manuscrits. Au total, une vingtaine de manuscrits ont transmis ce texte, dont l’original est perdu. La phase actuelle de mon travail consiste à comprendre les relations entre tous ces manuscrits – par exemple si une version y est basée sur une version x – puis à éliminer ceux qui sont le moins fidèles à Alcuin ou qui sont redondants. A partir des 6 ou 7 manuscrits restants, je constituerai un texte que je considèrerai comme le plus proche de celui écrit par Alcuin. Je le traduirai en anglais et l’assortirai de commentaires.

On le sent, le latin suscite en vous bien plus qu’un simple intérêt…
En effet, il s’agit d’une passion. Et comme toutes les passions, son origine est difficile à expliquer. Alors bien sûr, il y a des raisons objectives: j’aime le latin pour son côté mathématique, pour ses liens avec la culture antique, etc. Mais cela va plus loin. Lorsque je lis un texte en latin, je me sens accomplie. C’est de l’ordre de la vocation.

Une vocation pour l’enseignement du latin?
Oui, mon rêve est de fonder un lycée classique en Roumanie pour faire découvrir la richesse du latin et du grec. Il faut absolument continuer à susciter l’intérêt pour ces matières! Sinon, nous allons perdre notre identité. On est très vulnérable si l’on ne connaît pas ses racines…


Un sacré défi sachant que de nombreux jeunes considèrent les langues anciennes comme poussiéreuses et rébarbatives!
Comme ils ont tort! Le latin et le grec peuvent très bien être cool. Le problème, à mon avis, vient du fait que les enseignants eux-mêmes collent une étiquette de «sérieux» à ces langues. Au contraire, il faut mettre l’accent sur leurs aspects attrayants. Pour ne citer qu’un exemple, on peut utiliser une chanson à la mode et remplacer ses paroles par la conjugaison d’un verbe latin. Alcuin ne faisait rien d’autre: il avait recours aux blagues pour enseigner le latin. C’était un excellent prof!

Dans quelle mesure le concours Ma thèse en 180 secondes peut-il vous aider à réaliser votre rêve?
Je pense qu’il s’agit d’un excellent moyen de diffuser les valeurs auxquelles je suis attachée. Sans oublier deux effets collatéraux non négligeables. C’est seulement en préparant ce concours que j’ai pleinement compris les techniques pédagogiques d’Alcuin. Et que j’ai enfin pu faire comprendre à mes parents le sujet de ma thèse! (rires)


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  • est doctorante en philologie classique aux Universités de Fribourg et de Bucarest. Parallèlement à la rédaction de sa thèse baptisée «Alcuin, Ars grammatica. Translation and Philological Study» (sous la direction des Professeures Karin Schlapbach et Florica Bechet), elle travaille comme assistante diplômée à l’Institut du monde antique et byzantin de l’Unifr. Le 6 juin 2019, elle a remporté la finale suisse du concours francophone de vulgarisation et d’éloquence Ma thèse en 180 secondes. Le 26 septembre, elle représentera la Suisse lors de la finale internationale de la compétition, qui se déroulera à Dakar.
  • fribourgeois de Ma thèse en 180 secondes; l’histoire d’Isabela Grigoras vous inspire, n’hésitez pas à à l’édition 2020!
  • national MT180
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MT180 – Merci tata Jeannette /alma-georges/articles/2019/mt180-merci-tata-jeannette /alma-georges/articles/2019/mt180-merci-tata-jeannette#respond Wed, 03 Apr 2019 08:19:26 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=8096 Si vous êtes doctorant·e, vous avez certainement déjà vécu cette situation: au milieu d’un repas de famille, tata Jeannette lève brusquement la tête et demande: «Et toi, tu fais quoi exactement dans la vie?» Le 28 mars dernier, 6 doctorant·e·s ont occupé la scène du Nouveau MondeÌý pour relever ce défi: expliquer en trois minutes le sujet de leur thèse à des non-initiés. Pari réussi pour le plus grand bonheur d’une salle comble. Alors on dit merci qui?

Les 6 performances ont été très difficiles à départager pour le jury. Il a pourtant bien fallu trancher et trois candidat·e·s ont remporté le ticket pour la finale nationale: Fiona Laura Rosselet-Jordan (3e prix), Arnaud Constantin (2e prix) et Isabela Stoian (1er prix et prix du public).

Découvrez toutes les performances de nos candidat·e·s en vidéo et en photos.

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  • ³Õ¾±»åé´Ç: –
  • Photos: Daria Prati –
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MT180 finale suisse: humour, sciences et émotions live /alma-georges/articles/2018/mt180-finale-suisse-humour-sciences-et-emotions-live /alma-georges/articles/2018/mt180-finale-suisse-humour-sciences-et-emotions-live#respond Fri, 08 Jun 2018 11:22:21 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=6602 La finale suisse de Ma thèse en 180 secondes a réuni sur la scène de l’Aula magna 16 concurrents gonflés à bloc. Menée tambour battants par l’humoriste Yann Marguet et DJ Ronfa, la soirée a rassemblé plus de 600 personnes dans la salle et plus de 4’000 en facebook live.

Les lauréats, sélectionnés au terme de compétitions organisées dans chaque université romande (Fribourg, Genève, Lausanne, Neuchâtel et EPFL), ainsi qu’à l’Université de Zurich, ont exposé leurs recherches devant une salle comble avec humour et émotion. Le jury, composé de personnalités des médias, de la société civile et du monde académique, a attribué son premier prix à de l’Université de Lausanne, son deuxième prix à de l’EPFLÌý– qui s’est également vu accorder le prix du publicÌý– et son troisième prix à de l’Université de Genève.

Le concours sera à nouveau organisé dans les universités suisses en 2019. La finale nationale aura lieu fin mai ou début juin à l’Université de Neuchâtel. La finale internationale 2019 se tiendra au début de l’automne à Dakar (Sénégal).

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  • MT180 de l’Université de Fribourg
  • MT180 suisse
  • Photos: ©AlainKilar
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MT180 – Yann Marguet aux commandes /alma-georges/articles/2018/mt180-yann-marguet-aux-commandes /alma-georges/articles/2018/mt180-yann-marguet-aux-commandes#respond Thu, 31 May 2018 17:40:05 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=6580 Jeudi 7 juin, 16 candidat·e·s relèveront le défi de la finale suisse de Ma thèse en 180 secondes sur la scène de l’Aula magna. Pour les mettre à l’aise, quoi de mieux qu’un peu de musique, avec DJ Ronfa… et Yann Marguet en maître de cérémonie. Pour l’animateur radio, d’ailleurs, le chemin de la thèse était plus semé d’orties que de fleurs…
Animer une soirée Ma thèse en 180 secondes, drôle de challenge, non? Pourquoi avoir accepté?
Parce que ça me rappelle trois ans et demi de ma vie. Une époque mi-léthargique, mi-stressante qui me manque parfois. Surtout le côté léthargique. Et puis c’est sympa de venir refaire de petites incursions de temps à autres dans le monde merveilleux de l’académique.

Vous le connaissez ce monde-là, puisque vous avez aussi été thésard. Bon ou mauvais souvenir?
Je ne peux pas dire que j’ai été particulièrement assidu sur ma recherche personnelle. J’ai fait ce qu’on me demandait niveau assistanat, mais la sauce n’a pas vraiment pris concernant la thèse en elle-même. J’aurais eu besoin d’un directeur qui me poussait un peu au cul, mais le mien était plutôt à compter sur la passion et l’envie de ses disciples. Cette époque ne m’a pas spécialement aidé à trouver un sens à la vie, mais n’en reste pas pour autant un mauvais souvenir.

Vous l’auriez fait, vous, le concours?
Arrêtez d’essayer de me griller toutes les vannes que je veux faire le jour J. Si je me replace dans le contexte de l’époque, je ne pense pas. Même maintenant que j’ai un peu de bouteille dans le monde de l’humour, j’ai de la peine à vaincre le trac de la scène, donc à l’époque, qui plus est avec une thèse qui m’ennuyait autant que ceux à qui j’en mentionnais le sujet, je ne crois pas que j’aurais sauté le pas.

Une ortie pour les candidats?
Ce serait assez bien de ne pas commencer par «Ma thèse porte sur…», mais je pense qu’ils le savent. D’autant plus qu’il s’agit de la finale nationale, donc je doute qu’on ait à faire à des exposés de gamins de sept ans sur les volcans.

Et une fleur?
C’est pas mon métier de dire des trucs sympas. Mais bon, je peux me fendre d’un «bonne chance»!

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  • La finale nationale de Ma thèse en 180 secondes aura lieu le 7 juin 2018, à l’Aula magna. –
  • En savoir plus sur , le maître du code et des platines
  • facebook de Yann Marguet
  • Photo: © François Wavre
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«Let’s Drink and Drive!» /alma-georges/articles/2018/lets-drink-and-drive /alma-georges/articles/2018/lets-drink-and-drive#respond Wed, 25 Apr 2018 14:15:57 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=6304 Nicht nur der Titel des Gewinnerslams von Preston Sutton hat überzeugt! Mit wissenschaftlichen Fakten ein Publikum zum Kochen zu bringen, ist eine echte Herausforderung. Die diesjährigen Slammer meisterten diese mit Bravour und der Abend wurde zum riesen Erfolg!

«Wir alle haben ein Gehirn», versicherte uns Gijs in seinem Slam und zeigte dem Publikum auch gleich, wie dieses funktioniert: es ist ein soziales Netzwerk! Und es wurde an diesem Abend auch gut gefüttert! In seinem Gewinnerslam erzählte Preston, wie man Batterien massiv effizienter herstellen könnte und dass man sich betrunken besser von autonomen Fahrzeugen chauffieren lässt.

Johannes versprach, dass Pestizide nicht töten müssen und Andreas Meier, dass dank Fuzzy Logic individuelle Bedürfnisse innerhalb eines starren Systems wahrgenommen werden können. Evgenii präsentierte das perfekte U-Boot aus Diamanten und Karolina eine mögliche Heilungsmethode für Osteoporose. Michela verzauberte auch mit der Magie von Polymeren, die auf unsere Reize reagieren. Sie alle erzählten äusserst unterhaltsam, was sie in ihrem wissenschaftlichen Alltag bewältigen und sorgten für diverse Lacher, offene Münder und öfters für den Ausruf aus dem Publikum «Elisa, die Welle!», wenn tosender Applaus dem Ausdruck des Vergnügens nicht mehr gerecht wurde.

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Mehr zu den Slammern online:

  • von Johannes Bergmann
  • von Gijs Plomp
  • von Michela diGiannantonio
  • von Preston Sutton
  • von Andreas Meier
  • von Evgeni Glushkov
  • von Karolina Korzeb
  • Moderator Marc Folini auf
  • Weitere Informationen zum Science Slam auf der
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MT180 – Rendez-vous à la finale suisse! /alma-georges/articles/2018/mt180-rendez-vous-a-la-finale-suisse /alma-georges/articles/2018/mt180-rendez-vous-a-la-finale-suisse#respond Wed, 04 Apr 2018 16:29:06 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=6159 Trois minutes pour résumer sa thèse face à un jury et une salle comble: un défi ardu que se sont lancé huit étudiants inventifs et motivés le 29 mars dernier, lors de la finale régionale de Ma thèse en 180 secondes. Trois d’entre eux vous donnent maintenant rendez-vous le 7 juin à l’Aula magna pour la finale suisse.

A 20h00 tapantes, la salle était pleine et le public enthousiaste. Après de nombreuses heures d’entrainement, il était temps pour les onze candidats du concours fribourgeois de monter sur scène. Un sacré moment à partager avec eux en vidéo.

Le jury a eu la difficile tâche d’élire trois vainqueurs, qui ont ainsi gagné leur tickets pour la finale suisse, le 7 juin 2018 à l’Aula Magna de l’Unifr. Le troisième prix à été attribué à Yahia Boutefnouchet duÌýDépartement d’économie politique de la Faculté des sciences économiques et sociales. Le deuxième prix est revenuÌý à Philippe Humbert – qui a également obtenu le prix du public – du Département de plurilinguisme et didactique des langues étrangères de la Faculté des lettres et des sciences humaines. La grande gagnante de la soirée, avec le premier prix, est Rafaella Garbin duÌýDépartement de géosciences de la Faculté des sciences et de médecine.

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  • Plus d’infos sur la finale suisse sur le fribourgeois de Ma thèse en 180 secondes
  • suisse de Ma thèse en 180 secondes
  • ³Õ¾±»åé´Ç: Christian Doninelli – Unicom Communication & Médias
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