Master – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Thu, 08 May 2025 11:29:40 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Mord, Mysterien und Rumauntsch: Ein Krimi macht Schule /alma-georges/articles/2025/mord-mysterien-und-rumauntsch-ein-krimi-macht-schule /alma-georges/articles/2025/mord-mysterien-und-rumauntsch-ein-krimi-macht-schule#respond Thu, 08 May 2025 11:28:44 +0000 /alma-georges?p=22261 Gianna Duschletta verbindet Spannung mit Sprachförderung: In ihrer Masterarbeit hat sie einen Jugendkrimi im romanischen Idiom Puter entwickelt – samt didaktischem Begleitmaterial für den Einsatz im Unterricht. Ein innovativer Ansatz, der zeigt, wie Literatur Jugendliche für Sprache begeistern kann.

Warum haben Sie sich für das Genre Krimi entschieden, um ein Lehrmittel auf Romanisch zu gestalten? Was trägt dieses Genre zum Lernen bei?
Ich habe mich für dieses Genre entschieden, weil es mir dadurch am einfachsten erschien, eine spannende Geschichte zu verfassen, welche die Jugendlichen gerne bis zum Schluss lesen. Dadurch, dass ich am Ende einiger Kapitel einen kleinen «Cliffhanger» eingebaut habe, bleibt die Spannung erhalten und man möchte direkt weiterlesen. Mir war wichtig, dass möglichst viele Jugendliche die Geschichte mit Freude lesen, und erfahrungsgemäss greifen sowohl Mädchen als auch Jungen gerne zu Krimis, was bei anderen Genres vielleicht weniger der Fall ist.

Durch Krimis kann man den Spass an der Lektüre mit verschiedenen Lerngelegenheiten verbinden. Die Lernmöglichkeiten ergeben sich einerseits aus der Lektüre selbst, welche die Lesekompetenz verbessert. Andererseits fördern Krimis das kritische Denken und konfrontieren die Jugendlichen mit moralischen Dilemmas und ethischen Fragen, wie Mord, Brandstiftung, Entführung und Raub. Zusätzlich geschieht oftmals eine Identifizierung mit den Personen, wodurch die Jugendlichen Empathie und Mitleid entwickeln können.

Der Roman ist auf Puter verfasst – Was ist das?
Rätoromanisch lässt sich in fünf Idiome unterteilen. Jedes Idiom wird in einem anderen Teil Graubündens gesprochen. Puter ist das Idiom, welches im Oberengadin gesprochen wird.

Einer der Schauplätze der Geschichte ist der Piz Mezzaun über dem Lej da Prastinaun. Der Krimi spielt in der Umgebung von Zuoz, einem Ort, der den Jugendlichen aus dem Oberengadin vertraut ist und direkt an ihre Lebenswelt anknüpft. (Foto: Gianna Duschletta)

Wie haben Sie das Gleichgewicht gefunden zwischen einer spannenden Geschichte und dem didaktischen Anspruch?
Ich habe mich zuerst mit der Frage auseinandergesetzt, was gute Jugendliteratur ausmacht. Anhand dieser Kriterien habe ich versucht, ein Jugendbuch zu schreiben, das unabhängig von einem Unterrichtssetting gerne gelesen wird. Erst nachdem die Geschichte fertig war, habe ich mich mit der Literaturdidaktik und dem literarischen Lernen beschäftigt und überlegt, welche Lernmöglichkeiten sich aus der Geschichte ergeben. So habe ich Unterrichtsmaterial und einen Lehrpersonenkommentar erstellt, die den Einsatz des Krimis als Klassenlektüre begleiten können.

Wie haben Jugendliche auf den Roman reagiert? Waren sie überrascht, interessiert, kritisch? Wurden sie in den Entwicklungsprozess einbezogen?
Als Teil meiner Evaluation haben vier Jugendliche den Krimi gelesen und einen Fragebogen ausgefüllt. Daraus konnte ich entnehmen, dass zwei der Jugendlichen den ganzen Krimi an einem Tag gelesen haben, weil sie wissen wollten, wie es endet. Drei von ihnen konnten sich auch sehr gut mit verschiedenen Personen identifizieren, die in der Geschichte vorkommen. Die Rückmeldungen der Jugendlichen waren insgesamt sehr positiv, alle haben die Geschichte sehr gerne gelesen. Wäre es anders gewesen, hätte ich den Krimi stärker überarbeitet.

Aktuell behandelt ein befreundeter Lehrer den Krimi mit seiner Klasse. Von ihnen erwarte ich auch noch eine Rückmeldung, offenbar haben die Schüler_innen auch Ideen zur Gestaltung des Covers, auf die ich sehr gespannt bin.

Und Sie – was waren Ihre Lieblingsromane als Jugendliche?
Ich habe wirklich sehr viel und sehr Unterschiedliches gelesen – von Pferde- und Vampirgeschichten über herzzerreissende Liebesdramen bis hin zu Krimis und Thrillern. Bis heute haben Krimis jedoch einen sehr speziellen Platz in meinem Herzen und ich bin sehr stolz, dass ich dieses Jahr meinen eigenen veröffentlichen darf.

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Une thèse en guise de sésame vers la vie professionnelle /alma-georges/articles/2025/une-these-en-guise-de-sesame-vers-la-vie-professionnelle /alma-georges/articles/2025/une-these-en-guise-de-sesame-vers-la-vie-professionnelle#respond Mon, 31 Mar 2025 08:45:07 +0000 /alma-georges?p=22088 La thèse de Master constitue non seulement l’ultime épreuve avant de conclure son parcours académique, mais aussi, pour qui sait s’y prendre, un excellent tremplin vers la vie professionnelle. Désireux d’aborder un sujet ancré dans le monde réel, Alexandre Cattin, étudiant en géographie humaine, s’est penché sur les réseaux d’irrigation dans la Broye. Il se peut fort que cette étude de terrain lui ait ouvert les portes du monde du travail.

Avec le réchauffement climatique, l’irrigation devient un enjeu important

Comment avez-vous eu l’idée d’aborder le thème de l’irrigation dans la Broye dans le cadre de votre thèse de Master?
Je souhaitais par-dessus tout traiter d’un sujet concret et pratique, ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas dans le milieu académique, souvent très, voire trop théorique à mon goût. J’ai fait part à Olivier Graefe, mon superviseur de thèse, de mon intérêt pour la gestion des ressources naturelles, l’agriculture et l’aménagement du territoire. C’est lui qui m’a, après réflexion, proposé le thème de l’irrigation dans la Broye. C’est une problématique pratique et importante. D’ailleurs, dans mon travail actuel au Service de l’environnement du canton de Fribourg, je touche à ces trois thématiques!

Avez-vous pu tirer profit de vos liens avec le monde agricole pour mener vos entretiens sur le terrain? Les agriculteurs·trices se méfient souvent des « gratte-papiers », non?
Effectivement, mon cousin est agriculteur à Cornol et, enfant, j’allais souvent y passer des vacances. Comme il est essentiel de connaître son public pour mener des entretiens scientifiques, je pense que cela m’a aidé. En leur parlant de cette partie de mon histoire, je leur montrais que, bien que considéré comme un «gratte-papier», je comprenais leurs valeurs et leurs préoccupations actuelles. Cela a permis de briser certains a priori. J’ai aussi eu la chance de pouvoir faire relire mes questions à mon cousin agriculteur. Il m’a donné des conseils, notamment sur la formulation des phrases, ce qui m’a été très utile.

La Broye est une région agricole clé en Suisse

Quelles compétences votre cursus en géographie humaine vous a-t-il apportées (ou non !) pour traiter ce sujet?
Au cours de mes études, j’ai appris à mener des entretiens. Je dirais donc que j’étais relativement préparé à la réalité du terrain, même si le passage de la théorie à la pratique reste un défi: passer de Bourdieu à la Broye exige une certaine souplesse! Je pense aussi que les outils conceptuels transmis à l’université, dont on ne perçoit pas toujours immédiatement la finalité, trouvent naturellement leur application sur le terrain, parfois même sans qu’on en ait pleinement conscience.

Vos résultats ont-ils été présentés en dehors du milieu académique? Ont-ils été utiles à quelqu’un?
Il faudrait poser la question à l’Institut agricole de Grangeneuve! J’espère évidemment qu’ils ont été utiles, que ce soit pour des acteurs·trices académiques ou des instances politiques. L’un des objectifs de mon travail était de comprendre les raisons derrière les décisions des agriculteurs·trices à participer aux projets d’irrigation et ainsi d’identifier des leviers d’actions potentielles pour les intéressé·e·s.
J’ai présenté ma thèse à trois reprises: lors d’un cours de Bachelor sur la géographie de l’eau, à l’Institut agricole de Grangeneuve et enfin lors de ma soutenance. A Grangeneuve, des directeurs·trices d’associations d’irrigant·e·s, des agriculteurs·trices et des chef·fe·s de secteurs étaient présent·e·s. Les discussions ont été très enrichissantes. J’étais ravi de voir que ma thèse suscitait des échanges constructifs. C’était formidable.

Pourquoi les agriculteurs·trices refusent-ils parfois de participer aux projets d’irrigation?
L’aspect financier est bien sûr un facteur, mais ce n’est pas le seul. L’âge joue également un rôle, notamment la question de la relève générationnelle: les enfants de l’agriculteur·trice sont-ils susceptibles de reprendre l’exploitation? Si ce n’est pas le cas, pourquoi investir dans un projet d’irrigation? C’est une problématique qui ne date pas d’hier, comme j’ai pu m’en rendre compte en étudiant ultérieurement les intérêts de l’Etat de Fribourg à participer à la première correction des eaux du Jura. C’était passionnant, car on retrouvait les mêmes enjeux en 1860! Déjà à l’époque, certaines instances politiques affirmaient qu’il était inconcevable de demander aux agriculteurs·trices de sacrifier leurs intérêts individuels au profit de l’intérêt général. Je me suis dit: c’est fou, on en est encore là!

Quelles compétences avez-vous développées grâce à ce travail?
D’une part, il m’a appris à mettre en pratique la théorie assimilée au cours de mes études. D’autre part, il m’a montré l’importance de développer son réseau au-delà du cadre universitaire. Cette thèse, qui m’a valu 60 crédits et a duré un an et demi, équivaut, selon moi, à un véritable stage. Je l’ai beaucoup mise en avant lors de mes entretiens d’embauche, car elle mêlait travail de terrain, collaboration interinstitutionnelle et aspects très concrets. Je tiens à ajouter que nos études, thèse comprise, nous apprennent à être rigoureux, sérieux, organisés et curieux. C’est ce socle qui permet ensuite de se professionnaliser et qu’il faut conserver, quel que soit le domaine.

Est-ce cela qui vous a valu votre poste au Service de l’environnement du canton de Fribourg?
Peut-être! (Rires) Il faudrait poser la question à mon chef, mais c’est fort probable!

  • Article de l’Hebdomadaire sur la thèse d’Alexandre Cattin
  • °Õ³óè²õ±ð d’Alexandre Cattin
  • Photos: Alexandre Cattin

 

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«Comprendre ce monde, qui est aussi numérique» /alma-georges/articles/2023/comprendre-ce-monde-qui-est-aussi-numerique /alma-georges/articles/2023/comprendre-ce-monde-qui-est-aussi-numerique#respond Wed, 07 Jun 2023 09:39:09 +0000 /alma-georges?p=18322 Etudiante, Anna Jobin avait opté pour une combinaison entre sociologie, économie et informatique. Un choix qu’elle a longtemps dû justifier et qui en fait aujourd’hui une experte recherchée. Dès la rentrée, elle coordonnera le nouveau master Digital Society.

«Mon choix était naïf. Je n’ai pas eu une ambition visionnaire, j’ai juste opté pour les branches qui m’intéressaient.» Quand elle a commencé l’université, en 2003, Anna Jobin a choisi Fribourg pour son bilinguisme et aussi parce que son programme des Sciences de la société permettait de combiner les disciplines de façon très libre. Elle complète donc la sociologie, sa branche principale, avec de l’économie politique et de l’informatique. «J’ai quand même dû demander des dérogations à deux facultés pour inclure l’informatique», rigole la docteure en Sciences sociales, de retour à l’Université de Fribourg depuis quelques mois. Chargée de cours et lectrice, elle y assurera notamment la coordination d’un nouveau master intitulé Digital Society qui se penchera sur les bouleversements actuels causé par les technologies numériques (lire aussi encadré ci-dessous). «J’ai l’impression de boucler une boucle!» Au fil de son parcours, Anna Jobin a souvent dû justifier son intérêt combiné pour les aspects technologiques et sociologiques. «Il y a dix ans encore, on considérait la numérisation comme une question essentiellement technologique. Aujourd’hui, on est davantage conscient des implications de ces aspects dans notre quotidien et des questions sociales et sociétales que cela pose.»

L’expérience de l’entrepreneuriat
Avant même d’avoir terminé son master, la jeune femme avait lancé sa propre entreprise de conseil en stratégie numérique pour les PME et les indépendants. Une activité qu’elle poursuit quelques années tout en devenant maman. «Les questions et les problèmes de mes client·e·s me servent encore à appréhender les interactions entre les néophytes et les nouveaux outils et les nouvelles offres numériques à leur disposition», relève la chercheuse. A 29 ans, elle revient sur la voie académique par «besoin d’approfondir sa compréhension par la recherche». L’EPFL venait de lancer sa chair Humanités digitales. Anna Jobin y fait un stage de chercheuse. Elle entame ensuite une thèse sur les interactions entre les algorithmes et leurs utilisateur·trice·s, auprès de l’Université de Lausanne. «Mais je n’y ai jamais travaillé en tant qu’assistante-doctorante. Mon parcours a été atypique, constitué d’un patchwork d’emplois et de mandats déjà avant le doctorat.»

Américains en avance
Assistante scientifique à l’EPFL, dans un premier temps, elle rejoint ensuite — et en famille — les Etats-Unis, à l’Université de Cornell, dans l’état de New York. Boursière du Fonds National suisse de la Recherche scientifique, elle y intègre le département de STS (Science and technology studies). «La recherche aux US était très avancée dans le domaine STS. C’était l’occasion d’être en contact direct avec les expert e s les plus impliqué·e·s.» Elle prolonge son séjour d’un an, auprès de l’Université de Tufts, à Boston. «On m’a alors proposé un poste de chercheuse à l’EPFZ. Je ne pouvais pas refuser.» A son retour, la famille, qui s’est agrandie d’un troisième enfant, s’installe à Berne. Anna Jobin en profite pour défendre sa thèse, à Lausanne, en 2019. Deux ans plus tard, au terme de son contrat, elle postule pour un nouveau mandat dans la recherche, au HIIG à Berlin. «Avec la pandémie, j’ai choisi de garder mon domicile à Berne. On a beaucoup travaillé à distance, mais cela n’a pas empêché la cohésion de l’équipe.»

Interfacultaire et interdisciplinaire
En parallèle, la jeune femme répond positivement à plusieurs propositions de charges de cours. «Le projet au HIIG sur la constitution de l’Intelligence Artificielle était passionnant, mais l’enseignement me manquait.» Son CDD à Berlin s’approchant de son terme, elle a répondu à l’annonce pour un poste à Fribourg, incluant la coordination d’un nouveau master. «Je me sens vraiment bien ici parce que ce poste est lié à l’institut Human-IST (Human Centered Interaction Science and Technology). Un institut interfacultaire et interdisciplinaire. C’est pour moi la meilleure approche possible si on veut comprendre globalement ce monde, qui est aussi numérique.» Comment la chercheuse perçoit-elle les débats actuels autour de l’Intelligence Artificielle? «Comme disait Melvin Kranzberg, un historien des technologies, il y a bientôt 40 ans: la technologie n’est ni bonne ni mauvaise, mais elle n’est pas neutre non plus, note Anna Jobin. Les questions sont alors: comment l’utilise-t-on? Comment la contrôle-t-on? Quelle utilisation va-t-on en faire? Je trouve normal que des discussions existent autour des systèmes algorithmiques, surtout celles qu’on nomme aujourd’hui Intelligence Artificielle.» Alors qu’il y a quelques années, les questions techniques cristallisaient les échanges, le débat s’est ouvert aux incidences sur les utilisateur·trice·s et plus largement sur la société. «Longtemps, on hésitait à aborder ces thématiques avec des spécialistes des sciences sociales, alors qu’on avait moins de scrupules à demander leur avis sur des questions sociétales à des expert·e·s en technologie. J’apprécie qu’on m’ait toujours laissée participer au débat!»

Politique et gouvernance
La quadragénaire est d’ailleurs régulièrement sollicitée et appartient à plusieurs groupes de travail au niveau national. Depuis octobre 2021, elle préside également la Commission fédérale des médias. «Dans ce domaine, les défis liés au numérique sont très concrets, souligne Anna Jobin. Et ils méritent une attention particulière compte tenu du rôle des médias dans le fonctionnement démocratique.» Mais qu’on s’adresse à des expert·e·s issus de la technologie ou à des spécialistes des sciences sociales, leurs conclusions sont assez similaires: «Ces questions doivent trouver des réponses d’ordre politique ou de gouvernance, souligne la spécialiste. Souvent, le numérique met à nu des problèmes préexistants, parfois en les amplifiant par l’automatisation. On parle de gouvernance plutôt que de réglementation afin d’inclure tous les aspects formels et informels liés aux normes, aux valeurs et aux pratiques numériques.» Pour la chercheuse, une prise de conscience a bien eu lieu, même si les réponses ne sont pas encore adaptées. «Mieux vaut essayer que de continuer à laisser faire.»

Créer des ponts entre les disciplines

Le nouveau master Digital Society proposé par l’Unifr est axé sur les dimensions et les conséquences sociales des technologies numériques dans les sociétés actuelles. «On va chercher à créer des ponts entre les disciplines, en intégrant la sociologie, l’anthropologie, l’économie, la communication, le design, l’histoire contemporaine et l’informatique», détaille sa coordinatrice Anna Jobin.

Pour comprendre les enjeux, connaître l’histoire des développements technologiques ne suffit pas. Les influences politiques et sociales sont également importantes. «Comment penser et étudier les technologies numériques, les pratiques en ligne, la gouvernance dans un monde connecté? Qu’est-ce qui se développe et pourquoi? Comment les ressources sont-elles distribuées? Qui décide et comment les décisions sont-elles prises (au sujet des innovations et de leurs applications)? Quels types de pouvoir sont mis en jeu? Voilà quelques-unes des questions qui nous intéressent», énumère la docteure en sciences sociales.

Pour son lancement, à la rentrée 2023, le cursus est proposé comme un programme d’études secondaires master. En vue de l’évolution des enjeux et des questionnements, il pourrait prendre de l’importance dans les années à venir.

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Die ersten Master-Abschlüsse in Medizin sind Tatsache – und der ganze Kanton feiert mit /alma-georges/articles/2022/die-ersten-master-abschlusse-in-medizin-sind-tatsache-und-der-ganze-kanton-feiert-mit /alma-georges/articles/2022/die-ersten-master-abschlusse-in-medizin-sind-tatsache-und-der-ganze-kanton-feiert-mit#respond Thu, 30 Jun 2022 06:40:38 +0000 /alma-georges?p=16173 Der Master in Humanmedizin hat 2019 angefangen, nun durften 37 Studierende des ersten Jahrgangs ihr Diplom entgegennehmen. Im schmuck hergerichteten Festzelt beim Freiburger Spital HFR feierten die beteiligten Institutionen, der Kanton und natürlich die Studierenden diesen historischen Moment zusammen mit allerlei (Polit-)Prominenz. Die Hoffnung ist gross, dass diese künftigen Ärztinnen und Ärzte sich dereinst im Kanton niederlassen und zur Verbesserung insbesondere der hausärztlichen Versorgung beitragen werden.
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