Jeune – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Fri, 28 Jun 2024 07:01:47 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Fribourg, capitale de l’émerveillement! /alma-georges/articles/2024/fribourg-capitale-de-lemerveillement /alma-georges/articles/2024/fribourg-capitale-de-lemerveillement#comments Mon, 15 Apr 2024 14:48:09 +0000 /alma-georges?p=20052 Du vendredi 26 au samedi 27 avril, l’Université de Fribourg accueillera la finale du 58e Concours national Science et Jeunesse. Une superbe vitrine pour plus de 100 projets nés de l’esprit inventif de chercheuses et chercheurs en herbe venu·e·s des quatre coins de la Suisse. Les explications enthousiastes de Jérémie Aebischer, responsable du projet Concours national de Science et jeunesse.

106 projets ont été retenus pour la finale fribourgeoise. Qu’avaient-ils de plus que les autres?
Au total, nous avons reçu 392 dossiers de toute la Suisse. Ici, ce qui a fait la différence, c’est la contribution personnelle, le côté innovant et l’originalité, la terminologie employée et la qualité de la présentation orale. Les expert·e·s prennent aussi en compte la formulation de la problématique, la méthodologie utilisée, les résultats obtenus et la qualité formelle, telle que l’exactitude des termes utilisés, les citations, la bibliographie, les sources, etc). Je tiens à préciser que les jeunes qui participeront à la finale ont toutes et tous travaillé durant près de deux mois avec un·e expert·e pour améliorer leurs projets et présenter ainsi la meilleure version possible à Fribourg.

Est-ce difficile de motiver les jeunes à s’inscrire?
Motiver des jeunes pour le Concours national de Science et jeunesse est un défi complexe, mais aussi passionnant. En effet, notre premier objectif n’est pas simplement d’attirer un grand nombre de participant·e·s, mais plutôt de trouver des jeunes passionnés et curieux. Nous recherchons des profils spécifiques qui vont au-delà de l’ordinaire. Pour cela, nous nous appuyons sur notre réseau d’enseignant·e·s du secondaire 2, nos précieux·euses ambassadeur·drice·s internes, qui repèrent les meilleurs travaux de maturité et projets de la formation professionnelle. Notre partenariat avec les collèges de Fribourg et notre récente collaboration avec l’Ecole professionnelle artisanale et industrielle témoignent de notre engagement à motiver des jeunes venant de différents horizons. Notre deuxième objectif est de parvenir à une représentation nationale équilibrée, ce qui constitue notre principal défi. Nous cherchons activement chaque année des participant·e·s de Suisse romande et italienne. Nous sommes convaincu·e·s que l’organisation du Concours à l’Université de Fribourg nous permettra de toucher davantage de jeunes Romand·e·s et de susciter encore plus d’intérêt pour les sciences.

On en est à la 58e  édition du Concours national, y a-t-il d’ancien·nes lauréat·es qui sont devenu·e·s célèbres?
Oui, nous pouvons citer, entre autres, Petra Gössi, Conseillère nationale et ancienne présidente du PLR, André Kudelski, chairman & CEO du groupe Kudelski ou encore Martin Hairer, lauréat d’une médaille Fields en 2014, considérée comme équivalente à un Prix Nobel.

«La sagesse commence dans l’émerveillement». Pourquoi avoir choisi ce slogan pour cette édition fribourgeoise?
Nous avons choisi ce slogan parce qu’il reflète parfaitement notre vision du Concours. Plus qu’une simple compétition, nous considérons cette expérience comme une véritable aventure pour les jeunes participant·e·s. Notre objectif principal, en tant que Fondation, est de leur offrir bien plus qu’un simple prix: nous voulons leur donner confiance en elles et en eux, les inspirer et les émerveiller. Pendant trois jours, nous mettons tout en Å“uvre pour créer un environnement où les jeunes peuvent non seulement présenter leurs projets, mais aussi apprendre à se connaître, échanger des idées, se constituer un réseau et développer leur passion pour la science et l’innovation. Nous sommes convaincu·e·s que c’est dans ces moments d’émerveillement et de découvertes que se trouve le véritable apprentissage et la source de sagesse pour les jeunes. Cette exposition s’adresse à tout le monde, aussi bien au grand public qu’aux scientifiques. Nous aspirons à créer une plateforme dynamique qui encourage le dialogue entre toutes et tous les participant·e·s, quels que soient leur âge, leur formation ou leur domaine d’intérêt.

Trois mots pour encourager les visiteuses et visiteurs à venir voir l’exposition fribourgeoise?
Inspiration, découvertes et interactions. C’est une opportunité pour la population de venir découvrir des jeunes talents de toute la Suisse, qui ont développé de brillantes idées et se réjouissent de les présenter au public.

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  • 58e Concours national – Exposition publique des travaux, 26.04.2024-27.04.2024, Université de Fribourg, Pérolles 21 (PER21)
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Les jeunes Suisses ne sont pas des cigales insouciantes /alma-georges/articles/2020/les-jeunes-suisses-ne-sont-pas-des-cigales-insouciantes /alma-georges/articles/2020/les-jeunes-suisses-ne-sont-pas-des-cigales-insouciantes#respond Thu, 13 Aug 2020 13:24:54 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=11330 Ultra-connectés, les jeunes Suisses s’adonnent à toujours plus d’activités économiques en ligne. Sans surprise, la crise du Covid-19 a renforcé cette tendance. La maîtresse d’enseignement et de recherche de l’Unifr Caroline Henchoz et ses étudiant·e·s ont révélé une grande diversité dans les usages d’Internet à des fins économiques par les 19-25 ans.

La Suisse est ultra-connectée. Des chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS) révèlent que plus de neuf personnes sur dix ont utilisé régulièrement Internet en 2019 dans le pays. Dans la foulée, les activités économiques des Helvètes sont très développées: même si, selon une étude menée en 2017 par la Banque nationale suisse (BNS), nos compatriotes demeurent très attachés à l’argent matériel, l’OFS constate pour sa part qu’en 2018, environ trois quarts d’entre eux effectuaient des paiements en ligne, contre un peu plus de 50% dans l’Union européenne.

Typologie des utilisateurs
Les jeunes Suisses n’échappent pas à cette tendance et ont massivement recours à la technologie pour effectuer des actes d’ordre économique. Reste que les pratiques ne sont pas homogènes. Selon une autre enquête de l’OFS, menée auprès d’habitants du pays âgés de 15 à 29 ans, les commandes et les achats arrivent en tête des activités, avec une pratique de l’ordre de 84%. Suivent l’e-banking (79%) et, loin derrière, la recherche d’un emploi (40%) et la vente de produits (26%).

Alors que l’OCDE (Organisation de coopération et de développement) considère les jeunes comme particulièrement vulnérables face aux risques de surconsommation et d’endettement liés au numérique, un séminaire de recherche en master mené à l’Unifr a voulu en savoir davantage sur leurs pratiques économiques en ligne. Sous la direction de la maîtresse d’enseignement en , des étudiant·e·s ont mené des entretiens auprès de 26 personnes âgées de 19 à 25 ans. Les résultats de leur enquête ont fait l’objet d’un dans la revue .

«Notre étude a cela de novateur qu’elle propose une typologie des différents utilisateurs d’Internet à des fins économiques», précise la sociologue. L’enquête dégage huit profils distincts, construits en fonction des activités privilégiées (gestionnaire, consommateur, entrepreneur, désintéressé) et de la manière dont elles sont exécutées (avec réflexivité ou avec spontanéité). «Il va de soi que cette grille de lecture est simplificatrice, puisque chaque jeune peut correspondre simultanément à plusieurs profils», admet la chercheuse. Reste que cette classification permet d’appréhender l’ampleur de la diversité des pratiques. Et de tordre le cou à certaines idées reçues.

Un rapport à Internet réflexif
«Un premier constat est que, contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, les jeunes ne sont pas des cigales insouciantes, note Caroline Henchoz. Ils sont plutôt prudents dans leur façon d’utiliser leur argent.» Parmi les autres idées reçues égratignées par l’enquête figure celle de jeunes utilisant les nouvelles technologies de façon quasi machinale, sans se poser de questions. «D’une part, nous avons mis le doigt sur un rapport à Internet plus réflexif que prévu», explique la maîtresse d’enseignement. Ainsi, de nombreux jeunes questionnent leurs actions en ligne – par exemple en termes de consommation – et n’hésitent pas à y renoncer si elles ne correspondent pas à leurs valeurs.

D’autre part, l’étude a révélé l’existence d’une proportion non négligeable de réfractaires, à savoir des jeunes qui recourent le moins possible aux activités économiques en ligne. Ce renoncement peut être un choix dicté par leur vision du monde anticonsumériste ou écologiste. Il peut aussi être motivé par un manque de goût pour les outils technologiques.

«Nous nous sommes, par ailleurs, rendu compte que la gestion virtuelle de l’argent n’est pas encore complètement acquise chez certains jeunes Suisses», poursuit Caroline Henchoz. Ainsi, alors même que le nombre d’applications consacrées à l’e-banking explose, plusieurs personnes interrogées ont indiqué retirer leur argent en liquide au début du mois, afin d’avoir une meilleure vision de leurs dépenses. D’autres ont avoué n’effectuer qu’une partie de leurs transactions bancaires en ligne, du fait de leur complexité.

Covid-19 et argent virtuel
Suite à la crise de la Covid-19, faut-il s’attendre à ce que la gestion virtuelle de l’argent gagne massivement en importance parmi les moins de 25 ans? «En raison d’un hasard du calendrier, nos entretiens sont tombés juste après l’annonce par le Conseil fédéral des mesures de semi-confinement, rapporte la sociologue. Nous avons donc eu l’occasion d’ à chaud au sujet de l’impact du coronavirus sur leurs pratiques économiques en ligne.» En ce qui concerne spécifiquement la gestion de l’argent, hormis une augmentation de l’épargne, «nous n’avons pas observé de changement notable».

Par contre, l’enquête révèle que les personnes considérées – avant la pandémie – comme réfractaires aux activités économiques sur Internet n’ont souvent pas eu d’autre choix que d’assouplir leur position. En effet, tandis que les magasins restés ouverts encourageaient vivement les clients à payer par carte et sans contact, la fermeture des commerces non essentiels a contraint de nombreux jeunes à effectuer des achats en ligne. Quitte à emprunter la carte de crédit d’une autre personne.

Un «retour à l’essentiel» sur la durée?
Reste que la majorité des jeunes questionnés dans le cadre de l’étude ont affirmé avoir réduit leur consommation sur Internet dans le contexte des mesures imposées par les autorités helvétiques. «Ce constat est à prendre avec des pincettes, car notre sondage est intervenu tout au début du semi-confinement, prévient Caroline Henchoz. Il est néanmoins intéressant d’observer ici aussi une grande part de réflexivité chez les 19-25 ans.»

La chercheuse cite l’exemple de jeunes internautes «n’ayant pas le cœur d’aller faire des dépenses inutiles durant cette période difficile», d’autres «renonçant à des achats en ligne par solidarité envers les postiers et les employés chargés de préparer les commandes» ou d’autres encore «préférant garder leur argent pour relancer l’économie après la pandémie». Exceptions notables, les produits de divertissement, tels que chaînes ou jeux en ligne ont connu un boom.

De l’avis de Caroline Henchoz, il sera pertinent, quelque temps après la fin de la crise sanitaire, de se poser des questions telles que: «Est-ce que cette notion de ‹retour à l’essentiel› (en termes de consommation) s’inscrit sur la durée?» ou «L’argent matériel sera-t-il délaissé à long terme au profit de son pendant virtuel?». En attendant, la sociologue mène, à la Haute école de travail social de Sierre, une recherche approfondie sur les pratiques digitales des jeunes Suisses. «Nous cherchons notamment à savoir si Internet favorise ou gomme les inégalités, et si les nouvelles technologies augmentent la capacité d’action des jeunes en situation de précarité.»

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Les scientifiques à l’écoute des élèves fribourgeois /alma-georges/articles/2019/les-scientifiques-a-lecoute-des-eleves-fribourgeois /alma-georges/articles/2019/les-scientifiques-a-lecoute-des-eleves-fribourgeois#respond Tue, 04 Jun 2019 12:40:12 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=8569 Les robots nous remplaceront-ils? Le réchauffement climatique va-t-il provoquer la ruine des stations de ski fribourgeoises?  Dans le cadre du projet «Science and You(th)», une septantaine d’élèves du cycle d’orientation du canton ont pu débattre de ces thèmes brûlants avec des chercheurs de l’Unifr et des personnalités politiques.

Il y a, chez les jeunes, des préoccupations dont on soupçonne sans peine la provenance: la peur du réchauffement climatique ou encore la maltraitance animale occupent presque au quotidien la une de nos médias. Loin d’être perméables à l’actualité, les enfants et les adolescents se posent d’innombrables questions quant à la marche du monde… et à leur avenir. Le projet «Science and You(th)» permet aux élèves de Suisse romande non seulement d’aborder ces sujets  sociétaux, environnementaux et technologiques avec les meilleurs spécialistes du pays, mais aussi d’en débattre avec celles et ceux qui nous gouvernent.

La journée Science and You(th) Fribourg 2019 en images

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Revue de presse – juin et juillet 2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-juin-et-juillet-2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-juin-et-juillet-2016#respond Thu, 18 Aug 2016 07:51:50 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2755 Qu’on dit les membres de l’Unifr dans la presse entre le 1er juin et le 31 juillet 2016? Quelques échos.

«Le président américain a raison. Mais l’intéressant c’est ce qu’il ne dit pas. La croissance est très faible depuis la crise de 2008, elle ne bénéficie presque qu’aux plus aisés, les inégalités se sont creusées, les salaires de la classe moyenne stagnent et de nombreux emplois se précarisent…»

– , professeur à la , , 28.07.2016


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«Le mot terrorisme en Allemagne, notamment de l’Ouest, renvoie toujours aux heures noires soit du terrorisme palestinien à Munich, soit surtout à celui de la fraction de l’armée rouge avec la Bande à Bader-Meinhof. Depuis ce jour-là le terme terrorisme à relativement décliné dans la prise de conscience allemande et, étant donné que l’Allemagne n’a pas la même communauté venue des pays du Maghreb, par exemple, ou d’autres pays musulmans – Turquie exceptée – il n’y a pas la même vision de cette question là que dans d’autres pays, notamment si on fait la comparaison avec la France, voire la Grande-Bretagne.»

– , professeur d’, RTS, , 23.07.2016


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«Pour moi, ces plantes sont précieuses car elles font partie de notre patrimoine, au même titre par exemple qu’une église ancienne, qu’on ne voudrait pas voir disparaître.»

– , directeur du , , 19.07.2016


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«L’intégration fonctionne majoritairement bien en Suisse et cela parce que, grâce à notre structure fédéraliste, on a une insistance sur les projets locaux. L’intégration doit se faire à partir du local.»

– , responsable de recherche au , RTS, , 13.07.2016


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«Un bon droit successoral devrait s’adapter à toutes les personnes qui ne rédigent pas de testament – c’est-à-dire à 80% de la population.»

– Alexandra Jungo, professeure à la Chaire de droit civil I, , 06.07.2016


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«Je trouverais catastrophique qu’un joueur qui manifesterait sa foi se rende ensuite coupable de tricherie ou de manque de respect vis à vis de l’arbitre ou des adversaires.»

– , professeur à la , RTS, , 07.07.2016


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«Was die Bevölkerung nicht interessiert, hat im Parlament wenig Chancen. Im Parlament sitzen zwar viele Juristen und Rechtsanwälte. Aber die Gerichte und das Parlament wollen eigentlich nicht, dass die Leute klagen.»

– Arnold Rusch, Professor am Institut für Schweizerisches und Internationales Baurecht, zum Erfolgshonorar, , 6.7.2016


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«Les rites et les éléments symboliques, c’est pour ceux qui restent, pas pour le défunt.»

– , professeur à la , RTS, , 05.07.2016


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«La réalité virtuelle nous offre un outil très puissant pour analyser les réactions humaines face à différents stimuli.»

– , Maître-assistant au , , 05.07.2016

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«La Suisse se trouve extrêmement bien située en terme d’utilisation des antibiotiques. C’est un des pays européen, si ce n’est le pays européen, qui consomme le moins d’antiobiotiques et en fait le meilleur usage.»

– Patrice Nordmann, professeur à la , RTS, , 10.07.2016

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«Je früher die Krankheit diagnostiziert wird, desto grösser sind die Chancen, effektive und dauerhafte Therapien dagegen zu entwickeln – und wahrscheinlich wird eines Tages sogar eine komplette Heilung möglich sein.»

– , , zu Alzheimer, , 5.7.2016

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«Le Brexit ajoute une couche de crise à celle des subprimes, de la dette souveraine, plus récemment des migrants. Aucune n’a été résolue. Je ne veux pas parler de troisième guerre mondiale, mais ce qui se prépare est similaire et tout aussi dramatique.»

Ìý– , professeur à la , , 30.06.2016

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«Sex muss nicht spontan sein, um Freude zu machen.»

Ìý–  Psychologin FSP am , zu einschlafendem Sexualleben, , 28.6.2016

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«C’est l’équilibre du remboursement de la dette qui en soi devient un objectif et donc, c’est une perversion du système.»

– , professeur à la , RTS, , 29.06.2016

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«Wenn es tatsächlich stimmt, dass in Davos zum heutigen Zeitpunkt noch kein Handlungsbedarf besteht, verstösst die Gemeinde mit einem vorläufigen Massnahmenverzicht nicht gegen Bundesrecht.»

– Prof. Bernhard Waldmann, Lehrstuhlinhaber für Staats- und Verwaltungsrecht III, zu Zweitwohnungen, , 28.6.2016

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«On dit que les jeunes veulent tout, tout de suite, mais cette attitude se comprend: ils n’ont aucune garantie que ce qu’ils investissent sur la durée va être récompensé.»

– , maître d’enseignement et de recherche au , , 27.06.2016

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«Il est assez rare que l’ego d’un seul homme cherchant à asseoir l’hégémonie sur son parti détruise un pays, fissure un continent et change le monde en une seule nuit. C’est sans doute ainsi que David Cameron passera à l’histoire.»

– , professeur à la , , 28.06.2016

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«Der Austritt Grossbritanniens aus der EU gefährdet die Stabilität, die Sicherheit und den Wohlstand des ganzen Kontinents – und damit auch der Schweiz.»

Ìý– , Professor für , zu Brexit, , 25.6.2016

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«Ainsi, il n’y a aucune raison juridique de ne pas conclure le protocole sur la Croatie.»

– , rectrice et professeure à la, , 24.06.2016

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«Les pièces de monnaie et les billets de banque vont être rangés dans des musées dans un avenir assez proche, à commencer par la Suisse et quelques autres pays avancés sur le plan économique.»

– , professeur à la , , 23.06.2016

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«Wer einen Satz liest, macht sich dazu Bilder in seinem Kopf.»

– , Dozent für und Co-Leiter des PPSA, zu Automatismen unseres Denkens, , 16.6.2016

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«L’inauguration du Centre suisse islam et société est un symbole qui va rassembler différents groupes de la société civile suisse, de la politique et des communautés religieuses pour célébrer ce nouveau pas.»

– , directeur du, RTS, , 13.06.2016

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«Il n’y a sans doute pas qu’un seul institut financier impliqué à Fribourg. Des multinationales de la place utilisent ce type de services, comme des personnes privées. On voit qu’il y a une véritable industrie de la vente de sociétés offshore, un business qui rapporte un peu à tout le monde, tant qu’il est légalement possible. En Suisse, cette situation découle d’une cécité voulue pendant des dizaines d’années.»

– , professeur à la , à propos de l’affaire des Panama Papers, 09.06. 2016

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«In vielen Berufen ist es nötig, nähere Kenntnisse des Islams und der Muslime im Kontext der Schweizer Gesellschaft zu haben.»

– , Co-Leiter des , , 08.06.2016

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«Man will damit ein Risiko auf die Allgemeinheit, also den Steuerzahler, abwälzen. Wenn es dem Kanton derart wichtig ist, kann Graubünden ja eine eigene Schneemangelversicherung ins Leben rufen.»

– , Leiter des , zur Forderung der Bündner Bergbahnen nach mehr Geld, , SRF, 08.06.2016

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«Ce que Frankenstein, le roman, a apporté, c’est la figure d’un savant fou archétypique. Donc si on parle de Frankenstein au sujet de tous ces débats contemporains, si on importe cette figure du savant fou, peut-être au fond que, plutôt qu’une aide, c’est un écran à une pensée complexe qu’on pourrait développer sur ces questions de génie génétique.»

– , professeur à la , RTS, , 08.06.2016

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«Wir konnten die Abstammungslinie dank neuer statistischer Methoden nach Süden verlängern, bis zum griechischen und türkischen Teil der Ägäis.»

– , , zur Abstammungslinie europäischer Bauern, , 07.06.2016

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«Die einzelnen Teile sind schwer zugänglich und es gibt bisher kaum systematische Kataloge.»

Ìý– , Professor am , zur neuen Suchmaschine für Handschriftenfoschung , , 02.06.2016

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«Ein Abseitsstehen in diesen Programmen [Horizon 2020 und diverse Austauschprogramme] hätte aber kaum zu überblickende, denkbar negative Auswirkungen auf den Forschungs- und damit auch Innovationsstandort Schweiz.»

– , Professorin und Direktorin am sowie Rektorin der Universität, zum Abschluss des Kroatien-Protokolls, , 01.06.2016

 

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