Formation continue – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Wed, 03 Jun 2020 13:08:26 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Des compétences pour apprendre, enseigner et travailler dans une université numérique /alma-georges/articles/2020/des-competences-pour-apprendre-enseigner-et-travailler-dans-une-universite-numerique /alma-georges/articles/2020/des-competences-pour-apprendre-enseigner-et-travailler-dans-une-universite-numerique#respond Wed, 03 Jun 2020 09:14:14 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=11106 En l’espace de six ans, la Confédération a investi 30 millions de francs dans le programme «Renforcement des compétences numériques dans l’enseignement». L’Unifr complète les initiatives existantes par des formations spécifiques pour les étudiant·e·s et les enseignant·e·s. Un sondage a démontré que la volonté et le besoin de se former au-delà du seul usage des outils existent.

327 enseignant·e·s et 555 étudiant·e·s ont répondu à deux sondages réalisés en 2019. Les déclarations des sondé·e·s témoignent d’un grand intérêt pour la thématique: 93% des enseignant·e·s et 90% des étudiant·e·s trouvent que le développement des compétences numériques est important. 79% des enseignant·e·s et 77% des étudiant·e·s confirment avoir besoin de développer leurs compétences numériques. A partir de ces résultats, l’équipe du projet DigitalSkills@UniFR a (re)ciblé des offres de formation pour les étudiant·e·s et les enseignant·e·s, notamment en intégrant des formats courts autour de thématiques spécifiques.

Bootcamp et cours en ligne pour s’initier à la programmation
Développer soi-même de petites applications, ainsi que faire des analyses de données? Avec le langage de programmation Python, ce sera possible! Un d’une semaine permettra aux enseignant·e·s et étudiant·e·s de découvrir ce langage complet et facile à apprendre. Cette formation sera avec un accompagnement en présence tout au long du semestre.

Ateliers sur les méthodes de travail et d’apprentissage de l’étudiant·e·s
Comment choisir et utiliser ses outils numériques pour optimiser ses pratiques d’apprentissage? Un permettra aux étudiant·e·s de s’autoévaluer puis de développer leurs compétences selon leurs besoins.

Modules didactiques pour soutenir le développement des compétences numériques
Pourquoi et comment intégrer le développement des compétences numériques des étudiant·e·s dans son enseignement et dans les programmes de formation? Le de la formation did@ctic propose aux enseignant·e·s une réflexion sur les transformations de leur discipline à l’ère numérique et fournit les repères théoriques pour ajuster les objectifs, contenus et méthodes d’enseignement et d’évaluation des cours. Il s’articule avec le qui aborde spécifiquement le choix des outils pour la conception d’un dispositif d’enseignement avec Moodle.

Quels rôles jouent les compétences numériques dans la vision des futur·e·s diplômé·e·s d’un programme de formation?Ìý Un aux responsables de programmes sera proposé pour traiter de cette question.

Ateliers thématiques pour la recherche et l’enseignement
Deux ateliers avec des expert·e·s vont lancer une série de micro-formations dès le semestre d’automne. Le premier traitera des aspects techniques et méthodologiques de la mise en œuvre d’un dans un projet de recherche. Le second permettra aux enseignant·e·s et chercheuses et chercheurs de découvrir comment tirer profit de l’s et de l’open education ressources et comment y contribuer.

Un learning lab pour découvrir, innover et échanger
Comment expérimenter de nouvelles technologies et méthodes d’enseignement et d’apprentissage ? Un dédié aux enseignant·e·s, aux étudiant·e·s et au personnel universitaire est en train d’être conçu. Des outils numériques seront accessibles dans des espaces modulables et désignés pour la collaboration, le projet ou l’enseignement.

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Lire plus:

  • Article dans Alma&Georges:
  • Article dans la newsletter du Rectorat:
  • Le projet

 

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Le plastique, c’est fantastique /alma-georges/articles/2019/le-plastique-cest-fantastique /alma-georges/articles/2019/le-plastique-cest-fantastique#respond Tue, 04 Jun 2019 13:12:43 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=8639 Mieux comprendre l’utilisation des plastiques en utilisant la méthode scientifique. Et pourquoi pas, développer une conscience écologique. Ce sont les buts de la formation continue organisée par le Pôle de recherche national matériaux bioinspirés et le Département de Chimie de l’Université de Fribourg.

Une vingtaine d’enseignants des différents cycles d’orientation fribourgeois ont pris part à une formation continue sur le thème des polymères. Organisé par l’Université de Fribourg et donné par la Dre en chimie, Sofia Martin Caba, ce cours «permet d’approfondir les connaissances sur les polymères et, en particulier, sur les plastiques et leur recyclage. C’est un thème très actuel et nous voulions montrer que certains plastiques sont très utiles dans la vie quotidienne, comme pour les habits, les biberons, les fenêtres ou encore la construction de vélos.»

Après quelques explications théoriques, place à la pratique. Les enseignants ont vérifié l’absorption de l’eau par six différents produits testés théoriquement dans les couches culottes. «Nous avons comparé tous les résultats pour obtenir des données fiables. Au final, nous avons émis des conclusions sur chaque produit testé», explique Sofia Martin Caba.

Le but de cette formation est d’aider les enseignant·e·s à utiliser des outils pédagogiques en classe et de transmettre une méthode scientifique à leurs élèves. ÌýPour la chercheuse de l’Université de Fribourg, la formation doit aussi être en lien avec une thématique d’actualité. «Cela permet d’intéresser les élèves. On lit partout que le plastique pollue. Nous disons qu’il faut faire attention, qu’il faut apprendre à recycler, mais aussi que certains plastiques sont nécessaires et moins polluants à fabriquer que d’autres produits.»

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  • du Département de chimie
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Bildung schafft Brücken /alma-georges/articles/2016/bildung-schafft-bruecken /alma-georges/articles/2016/bildung-schafft-bruecken#respond Mon, 25 Apr 2016 08:11:00 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2339 Unwissenheit verunsichert; was wir nicht kennen, macht uns Angst. Nicht zuletzt im Zusammenhang mit anderen Religionen und Kulturen. Mit Weiterbildungen zu Themen rund um den Islam will das Schweizerische Zentrum für Islam und Gesellschaft (SZIG) Hürden abbauen und Vertrauen schaffen. Ein Gespräch mit dem Leiter des SZIG, Hansjörg Schmid.

Hansjörg Schmid, das SZIG hat viel Zeit darauf verwendet, den Bereich der bestehenden islambezogenen Weiterbildungen in der Schweiz zu analysieren. Weshalb diese lange Vorlaufzeit?
Der Auftrag des Zentrums für Islam und Gesellschaft besteht ja auch darin, im Bereich der Weiterbildung aktiv zu sein. Aber wir wollten diese nicht auf dem Reissbrett entwerfen, sondern erst mal genau hinschauen, wie die aktuelle Situation im Bereich der Weiterbildung aussieht. Hinzu kommt, dass die Zielgruppen aus den muslimischen Vereinen nicht einfach zu erreichen sind; da galt es zuerst, die dafür nötigen Kontakte zu knüpfen, um auch deren Angebote und Bedürfnisse in Erfahrung bringen zu können.

Welche Personengruppen wurden befragt?
Es wurden einerseits in verschiedenen Teilen der Schweiz Personen befragt, die in muslimischen Vereinen tätig sind, wie etwa Vorsitzende, Imame oder auch Jugendleiter oder Frauengruppenleiterinnen. Und dann wurden auch Personen befragt auf Seiten des Staates, die beispielsweise in Verwaltungen tätig sind oder auch in sonstigen Funktionen, die mit dem Thema Islam in Berührung kommen.

An wen sollen sich denn die geplanten Weiterbildungen in erster Linie richten?
Sie richten sich sowohl an Muslime und Musliminnen wie auch Personen, die eben ein berufliches oder anderes Interesse am Islam haben. Idealerweise bietet eine Weiterbildung ja auch die Möglichkeit zum Austausch und zum Networking. Sie soll bestehende Kompetenzen verstärken. Dabei macht es einen Unterschied, ob nur abstrakt über den Islam referiert wird oder ob ich mit Muslimen über ihre Anliegen und Aktivitäten spreche. Aber natürlich gibt es unterschiedliche Bedürfnisse zwischen einem Sozialarbeiter beispielsweise, der sich für die Familienstrukturen in muslimischen Familien interessiert, oder den Personen in den muslimischen Vereinen, die vielleicht eher ein Interesse daran haben, das System der Sozialarbeit in der Schweiz zu verstehen. Es gibt sowohl breite Schnittmengen wie auch spezifische Interessen einer bestimmten Zielgruppe.

Sie sprechen von Schnittmengen: Gibt es denn gemeinsame Themen?
Wir bieten die Weiterbildungsseminare an der Weiterbildungsstelle der Uni an, wo sich sowohl Muslime wie auch Nicht-Muslime einschreiben, je nach Interesse. Was die spezifischen Angebote für die Zielgruppen in den muslimischen Vereinen angeht, so werden wir diese in einem Folgeprojekt noch genauer berücksichtigen. Ein Beispiel ist etwa die Seelsorge in Gefängnissen. Eine diesbezügliche Weiterbildung richtet sich sowohl an die Muslime, welche die Seelsorge betreiben wie auch an das Gefängnispersonal, das sich mit dem Islam etwas intensiver befassen möchte. Das Gefängnispersonal interessiert sich dabei spezifisch für Themen wie etwa das Fasten oder das Beten im Islam, das ja auch den Alltag im Gefängnis beeinflusst, während die muslimischen Seelsorger sich eher mit den Dynamiken und Regeln des Gefängnisses als Institution vertraut machen möchten. Die Schnittmenge hierbei ist der Erfahrungsaustausch der beiden Gruppen, der nicht zuletzt dazu dient, bestehendes Misstrauen abzubauen.

Erleben Sie von beiden Seiten Interesse und Bereitschaft, zu einem solchen Erfahrungsaustausch, einer direkten Begegnung?
Grundsätzlich ja. Aber man darf sich das auch nicht zu idealistisch vorstellen. Vielfach geht es einfach darum, etwa von Seiten des Gefängnispersonals, den Alltag durch besseres Verständnis zu erleichtern. Ein anderes Beispiel ist die Jugendarbeit. Muslimische Jugendliche interessieren sich dafür, wie diese in der Schweiz funktioniert, wie man sich austauschen kann, von welchen Seiten es welche Unterstützung gibt.

Aus der Bedarfsanalyse ging auch hervor, dass viele Weiterbildungsangebote die muslimischen Zielgruppen nicht erreichen?
Wir haben verschiedene Hindernisse festgestellt: Das Geld, denn Weiterbildung ist auch ein kommerzieller Markt und oftmals teuer; die Zeit, es geht ja oft um ehrenamtliche Arbeit in den muslimischen Vereinen; die Themen, die oftmals nicht spezifisch genug auf die Anliegen der Zielgruppen eingehen, und schliesslich das Vertrauen, das manchmal noch fehlt. Es ist sehr wichtig, dass wir auch die bestehenden Angebote zur Weiterbildung in den muslimischen Vereinen würdigen.

Sie sprechen im Bericht von einem hohen Mass an Übereinstimmung zwischen staatlichen Akteuren und den Muslimen selbst?
Wir haben diese beiden Gruppen interviewt und beide gefragt, was sie sich wünschen für die Muslime in der Schweiz. Da besteht eine grosse Übereinstimmung. Die muslimischen Organisationen wollen Bestandteil sein von unserer vielfältigen Zivilgesellschaft. Sie möchten auch Ansprechpartner sein, wenn Fragen auftauchen im Zusammenhang mit dem Islam. Und die staatlichen Akteure sind sehr daran interessiert, die muslimischen Organisation in diesem Wunsch zu bestärken und zu unterstützen.

Was ist das Hauptziel der islambezogenen Weiterbildung?
Das Hauptziel ist ein friedliches und konstruktives Zusammenleben in einer Gesellschaft, die sehr vielfältig ist. Neue Akteure einer Zivilgesellschaft müssen auch lernen, wie diese funktioniert, sie müssen Kompetenzen erwerben können, um mitmachen zu können. Und die Gesellschaft muss lernen, mit neuen Akteuren und neuen Fragen umzugehen. Das braucht es ein hohes Mass an interkultureller Sensibilität. Dabei ist es wichtig, dass der Islam nicht als monolithischer Block betrachtet wird.

Kann Weiterbildung auch Prävention leisten im Bereich von Extremismus?
Sicherlich. Das ist eines der zentralen Themen, die sehr nachgefragt sind. Im Mai findet an der Weiterbildungsstelle der Uni ein erstes Seminar statt unter dem Titel «Comprendre la radicalisation pour la prévenir», durchgeführt von meiner Kollegin Dr. Mallory Schneuwly Purdie. Das Seminar war so schnell ausgebucht, dass wir es im Herbst wiederholen werden. Was uns wichtig ist dabei, ist die Zusammenarbeit mit muslimischen Experten und Multiplikatoren. Die überwältigende Mehrheit der Muslime – in der Schweiz und anderswo – sind ja Partner, nicht Gegner. Es ist wichtig, dass hier auch Netzwerke aufgebaut werden, dass beispielsweise auch Schulen Ansprechpartner haben oder auch Moscheen oder Jugendzentren für den Fall, dass mal ein Verdacht von Radikalismus auftaucht.

An wen richtet sich konkret diese erste zweitägige Weiterbildung zum Thema der Radikalisierung im Islam?
Sie richtet sich an Personen – Muslime wie auch Nicht-Muslime – aus den Bereichen Schule, soziale Arbeit, Sicherheitsbehörden, muslimische Gemeinden etc. Es geht auch darum, auf die vielfältigen Faktoren und Phänomene in Zusammenhang mit Radikalisierung Bezug zu nehmen. Es geht ja nicht um ein rein religiöses Problem. Weshalb radikalisiert sich jemand? Es geht um das Gefühl des Ausschlusses, der Gewalterfahrungen, der Sinnsuche… Welche Massnahmen sind möglich und sinnvoll? Welche Signale braucht es, auch gegenüber der muslimischen Jugend in der Schweiz? Sehr wichtig ist auch der Erfahrungsaustausch unter den Teilnehmenden, das Analysieren von Fallgeschichten.

Das Zentrum für Islam und Gesellschaft gliedert das aufzubauende Weiterbildungsangebot in zwei Bereiche. Weshalb diese Unterteilung?
Das eine sind eben diese offen ausgeschriebenen Weiterbildungsseminare an der Weiterbildungsstelle, aus welchen wir auch später ein CAS entwickeln wollen. Andererseits gibt es das Projekt «Muslimische Organisationen als gesellschaftliche Akteure», mit welchem wir den bisher nicht abgedeckten Bedarf an Weiterbildung aufbauen und entwickeln möchten. Dafür arbeiten wir eng mit den muslimischen Organisationen zusammen, die einen Teil dieser Weiterbildungen dann auch selber durchführen werden. Es ist ein sehr partnerschaftliches Projekt.

Welche Themen stehen im Vordergrund im Bereich der Weiterbildung dieses Projekts?
Wir haben fünf Themenfelder identifiziert für das neue Projekt. Es sind dies die Stellung der muslimischen Gemeinde in der Gesellschaft und damit zusammenhängend das Thema der Kommunikation, Jugendarbeit, Seelsorge in Gefängnissen und Spitälern, Gender und Körper, d.h. Fragen der Familie und auch der Gesundheit, und schliesslich Radikalisierung und Prävention.

Wie ist die Finanzierung geregelt?
Wir haben zwei Förderer: Einerseits das Staatssekretariat für Migration aus den Mitteln des Integrationskredits des Bundes und andererseits die Fachstelle für Rassismusbekämpfung des Eidgenössischen Departements des Innern.

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Kontakt: Dr. Hansjörg Schmid, Leiter des SZIG, hansjoerg.schmid@unifr.ch, +41 26 300 90 40

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Revue de presse – février 2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016#respond Wed, 09 Mar 2016 10:02:30 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2046 ÌýL’Université de Fribourg dans la presse du 1er au 29 février 2016

«In der heutigen Arbeitswelt ist lebenslanges Lernen Pflicht.»
– Manfred Kuonen
, Studienleiter der postgradualen Weiterbildung in Laufbahn- und Personalpsychologie der Universitäten Bern und Freiburg, , 25.2.2016

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fête ses 20 ans, , 25.02.2016

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«Il y a beaucoup moins de jeunes enfants en bonne santé adoptables.»
– Isabelle Lammerant, chargée de cours en droit de la famille, , 23.02.2016

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«Die Geschwindigkeiten haben im Vergleich zum Vorjahr aber etwa um 20 Prozent zugenommen.»
– Benno Staub
, Geowissenschaftler, zum Auftauen des Permafrosts, , 23.2.2016

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– via

– Sebastian Dieguez, chercheur en neurosciences cognitives et neuropsychologue au Laboratoire des sciences cognitives et neurologiques de l’Université de Fribourg, RTS La Première, , 22.02.2016

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«Längst nicht alle Nutzer der Notschlafstelle sind Obdachlose im klassischen Sinn.»
– Carolyne Crimard, Doktorassistentin Soziologie, Sozialpolitik und Sozialarbeit, zur Rolle von La Tuile im Bereich der Obdachlosigkeit, , 22.2.2016

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«Natürlich ist es schön, existieren sie weiter. Sollte das aber nicht mehr der Fall sein, wäre das keine Katastrophe.»
– Reiner Eichenberger, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, zu den Bilateralen I, , 21.2.2016

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«Käufer sollten ein Haus sehr sorgfältig prüfen und sich dabei von einem Bauexperten oder einem Architekten beraten lassen.»
– Hubert Stöckli
, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 21.2.2016

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«Il ne faut pas non plus exagérer l’UDC. Etre premier parti, cela ne veut pas dire être parti majoritaire. Donc même si l’UDC peut s’implanter dans la terre fribourgeoise, cela ne veut pas dire non plus que la terre firbourgeoise sera une terre blochérienne.»
– Gilbert Casasus, professeur au Domaine Etudes européennes, , , 16.02.2016

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«On ne peut pas tout partager. Pour conserver le pouvoir, il faut conserver le contrôle d’un certain nombre de flux d’informations et d’actifs stratégiques. Savoir lesquels, c’est aujourd’hui le nouveau souci des entreprises.»
– Paul Dembinski, professeur associé à la Chaire Stratégies et concurrence internationales, , 15.02.2016

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«Kosenamen bestätigen eine Beziehung durch Sprache.»
– Gerda Baumgartner, Sprachwissenschaftlerin an der Universität Freiburg, , 14.2.2016

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«Les diplomaties vaticane et moscovite restent très mystérieuses… Mais il est vrai qu’à Fribourg, nous entretenons depuis longtemps une collaboration avec l’Eglise de Moscou. Depuis de nombreuses années nous encourageons le dialogue Å“cuménique avec les orthodoxes moscovites. Cette attitude très positive ne peut que préparer favorablement le terrain.»
– Noël Ruffieux, membre de l’Institut d’études œcuméniques, à propos de la rencontre historique entre le Pape François et le Patriarche de Moscou Cyrille, , 13.02.2016.

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«En général, nous travaillons avec les vivants. Et le recueilleur n’est pas un magnétophone qui enregistre et retranscrit, il est interlocuteur et coauteur du récit produit.»
– Catherine Schmutz Brun, lectrice au Département de l’éducation, à propos de la formation de recueilleur de récit de vie. La Liberté, 12.02.2016.

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– via

«Le terme mademoiselle est tellement condescendant qu’il faut essayer de l’effacer du vocabulaire ou alors essayer d’employer le même terme pour les hommes, qui est damoiseau et que personne n’utilise, bien sûr.»
– Pascal Gygax, directeur de l’équipe de psycholinguistique, , , 12.02.2016

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«Die Initiative ist ein Anschlag nie dagewesenen Ausmasses gegen die Demokratie. Sie zielt frontal gegen den Rechtsstaat als deren Fundament, indem sie die Gewaltenteilung und die Unabhängigkeit der Justiz missachtet.»
– Marc Spescha, Lehrbeauftragter für Migrationsrecht, zur Durchsetzungsinitiative, Theoriekritik, 12.2.2016

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«Paris sollte nicht als politisches oder ökonomisches Symbol, sondern als Symbol der Lebenslust und des westlichen Hedonismus angegriffen werden.»
– Amir Sheikhzadegan, Lehrbeauftragter für Soziologie, zu den November-Anschlägen in Paris, Links / SP AG, 11.2.2016

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«L’intégration est un mouvement réciproque de la société d’accueil, qui accueille un immigrant etÌý est censé faire que cette intégration économique, culturelle, se passe bien, et le mouvement de la personne qui est accueillie, qui va découvrir un nouveau pays, ses lois… Il faut une réciprocité.»
– Sabine Choquet, collaboratrice au Domaine sciences des sociétés, des cultures et des religions, France TV, , 11.02.2016

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«Ihr einziges Ziel ist der Gewinn. Sie kaufen beispielsweise Weizen, und sobald sie ihn besitzen, verkaufen sie ihn wieder zu einem teureren Preis.»
– Sergio Rossi,
Professor für Volkswirtschaft und Geldtheorie, zur Spekulation mit Lebensmitteln, , 11.2.2016

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«Die Zuwanderung sollte mit Preisen statt mit Bürokratie gesteuert werden.»
– Reiner Eichenberger
, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, 11.2.2016

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«On peut tout à fait être pour la justice fiscale et contre le mariage homosexuel. Mais le problème, c’est justement qu’on nous fasse voter sur les deux choses en même temps, alors qu’elles ne présentent pas de lien intrinsèque. Si on avait proposé un texte similaire dans un canton, un recours aurait pu être déposé au Tribunal fédéral, avec des chances de succès, vu sa pratique en la matière.»
– Jacques Dubey, professeur de droit constitutionnel, Lausanne, 09.02.2016

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«Le stress est le pire ennemi du couple.»
– Dominique Shoebi, professeur à l’Institut de recherche et conseil dans le domaine de la famille, l’, 09.02.2016

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«Vouloir être actif dans le cercle familial n’est pas encore quelque chose de valorisé socialement.»
– Tanya Ogay, professeure au Domaine des sciences de l’éducation, , 09.02.2016

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«Quand on essaie de proposer des choses pour soutenir les consommateurs, il y a toujours, dans le jeu politique, des oppositions.»
– Pascal Pichonnaz, doyen de la Faculté de droit, RTS1, , 09.02.2016

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«Zeigt sich, dass der Handwerker unnötigen, vermeidbaren Aufwand betrieben hat, hat der Kunde auch dafür keine Vergütung zu leisten.»
– Hubert Stöckli, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 6.02.2016

 

 

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