Famille – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Wed, 03 Jul 2024 15:09:10 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Spiegel der Gesellschaft von heute? Familien in der Schweizer Literatur – Episode 4 /alma-georges/articles/2024/spiegel-der-gesellschaft-von-heute-familien-in-der-schweizer-literatur-episode-4 /alma-georges/articles/2024/spiegel-der-gesellschaft-von-heute-familien-in-der-schweizer-literatur-episode-4#respond Wed, 03 Jul 2024 15:09:10 +0000 /alma-georges?p=20462 «Familie, ich hasse dich!», soll André Gide ausgerufen haben. Doch welchen Platz nimmt die Familie in den literarischen Werken von Schweizer Autor_innen ein? Dieser Podcast gewährt Ihnen einen Einblick in diesen Mikrokosmos und enthält Interviews, die Fragen aufwerfen wie: Ist die Familie wirklich ein Spiegel unserer Gesellschaft?

Die vierte Folge unseres Podcasts Spiegel der Gesellschaft von heute? Familien in der Schweizer Literatur beschäftigt sich mit einem interessanten Fall von Familie und Geschichtsschreibung. Diesmal ist es der Autor Christoph Geiser, geboren 1949 in Basel, der uns im Gespräch in die Verbindung von Gesellschaft, Familie und Fiktion führt. Seine reale, d. h. historische Familienkonstellation liest sich wie eine Erfindung. Hans Frölicher, der während des Zweiten Weltkriegs die Schweiz diplomatisch in Berlin vertreten hat und nach dem Krieg als einer der Hauptverantwortlichen für die schweizerische Anpassungspolitik gegenüber Hitler-Deutschland gebrandmarkt wurde, ist der Grossvater mütterlicherseits. Über die jüdische Mutter des Vaters ist Erinnerung und Verdrängung des Antisemitismus in die Familie eingebunden. Diese Konstellationen hat Geiser insbesondere mit drei Romanen erkundet: ³Ò°ùü²Ô²õ±ð±ð (1978), Brachland (1980) sowie Schöne Bescherung mit dem Untertitel „kein Familienroman“ von 2013 – alle neu aufgelegt in einer kommentierten Ausgabe des Secessions-Verlags. Für weitere Hintergrundinformationen verweisen wir auf die gut dokumentierte Website https://www.christophgeiser.ch/.

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Dieser zweisprachige Podcast wird Ihnen von Emily Eder, Sylvie Jeanneret und Ralph Müller, Forschenden an der Universität Freiburg, präsentiert. Abwechselnd befragen sie Schweizer Autor_innen dazu, wie das Motiv der Familie ihr Werk bearbeitet. Die Episodenserie, die in regelmässigen Abständen in Alma&Georges ausgestrahlt wird, enthält verschiedene Interviews mit bekannten Autor_innen wie Jean-François Haas, Christoph Geiser, Joseph Incardona oder Rose-Marie Pagnard. Das Projekt ist eine Folge der Ausgabe desInternational Journal for Comparative Cultural ÌÇÐÄVolg zum Thema «Ìý Ìý» (DOI: 10.25353/ubtr-izfk-be1c-64c3), herausgegeben von Emily Eder, Sylvie Jeanneret und Ralph Müller.

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Les familles dans la littérature suisse: miroir de la société actuelle? – Episode 5 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-5 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-5#respond Thu, 06 Jun 2024 15:09:32 +0000 /alma-georges?p=20356 «Famille je vous hais!», s’exclamait André Gide. Mais quelle place occupe la famille dans l’œuvre littéraire des auteur·e·s suisses? Ce podcast vous propose une plongée dans ce microcosme et des entretiens qui interrogent: la famille représente-t-elle vraiment un miroir de notre société? Dans ce dernier épisode, Joseph Incardona s’est prêté à un entretien haut en couleur.

Dans cet entretien, l’écrivain Joseph Incardona développe la place des relations familiales dans son Å“uvre romanesqueÌý; pour approfondir le rôle joué par la famille, on fera référence à plusieurs de ses livres, comme Permis C (2016), récit d’un déracinement familial vécu par le fils d’un couple d’immigrés italiens en Suisse, ou encore Derrière les panneaux il y a des hommes (2015), roman noir au souffle tragique, dont l’intrigue principale se déroule sur une aire d’autoroute. Dans La Soustraction des possibles (2020), les personnages sont entraînés dans divers systèmes communautaires et claniques, de la haute bourgeoisie et ses loyautés, aux familles mafieuses et leur fidélité au sang. Le cadre familial paraît alors comme une forme d’utopie… quant au roman intitulé Les corps solides (2022), une mère et son fils s’entraident jusqu’au bout pour sortir de la misère. Un entretien haut en couleurs où il est question du corps familial et de ses extensions, entre noirceur et lumière.

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Ce podcast bilingue vous est présenté parÌýEmily Eder,ÌýSylvie JeanneretÌý±ð³ÙÌýRalph Müller, chercheuses et chercheurs à l’Université de Fribourg. Tour à tour, ils interrogent des auteur·e·s suisses sur la manière dont le motif de la famille travaille leur Å“uvre. La série d’épisodes, diffusés à intervalles réguliers dansÌýAlma&Georges, propose différents entretiens d’auteur·e·s reconnu·e·s, comme Jean-François Haas, Christoph Geiser, Joseph Incardona ou Rose-Marie Pagnard. Le projet se situe dans le prolongement du numéro de l’International Journal for Comparative Cultural ÌÇÐÄVolgÌýconsacré aux «» (DOI: 10.25353/ubtr-izfk-be1c-64c3), dirigé par Emily Eder, Sylvie Jeanneret, Ralph Müller

A lire:
Derrière les panneaux il y a des hommes (2015), éd. Finitude; Grand Prix de littérature policière 2015
Permis C (2016), BSN Press, repris chez Pocket sous le titre Une saison en enfance; Prix du Roman des Romands 2018
La soustraction des possibles (2020), éd. Finitude; plusieurs prix, dont le Prix Radio-Télévision suisse 2021
Les corps solides (2022), éd. Finitude.
A paru en 2024 : Stella et l’Amérique, éd. Finitude.

 

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Les familles dans la littérature suisse: miroir de la société actuelle? – Episode 2 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-2 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-2#respond Thu, 29 Feb 2024 15:58:03 +0000 /alma-georges?p=19834 «Famille je vous hais!», s’exclamait André Gide. Mais quelle place occupe la famille dans l’oÅ“uvre littéraire des auteur·e·s suisses? Ce podcast vous propose une plongée dans ce microcosme et des entretiens qui interrogent: la famille représente-t-elle vraiment un miroir de notre société? Dans ce deuxième épisode, l’auteure Rose-Marie Pagnard interroge le lien entre projet familial, émancipation féminine et sororité.

Le second épisode du podcast «ÌýFamilles dans la littérature suisseÌý» s’interroge sur la confrontation du projet familial avec les émancipations féminines et la notion de sororité, et ce, à l’occasion d’une interview menée par Sylvie Jeanneret avec l’autrice Rose-Marie Pagnard. Dès La leçon de Judith, roman publié en 1993, en passant par Le conservatoire d’amour (2008), Jours merveilleux au bord de l’ombre (2016), jusqu’à Gloria Vynil (2021), l’œuvre de Rose-Marie Pagnard propose une exploration fine des dimensions verticale et horizontale de la famille, avec la présence de liens générationnels complexes mais également fraternels et sororels, incarnant en quelque sorte un corps familial nourri d’émotions, de partages et de conflits.

 

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  • Ce podcast bilingue vous est présenté parÌýEmily Eder,ÌýSylvie JeanneretÌý±ð³ÙÌýRalph Müller, chercheuses et chercheurs à l’Université de Fribourg. Tour à tour, ils interrogent des auteur·e·s suisses sur la manière dont le motif de la famille travaille leur Å“uvre. La série d’épisodes, diffusés à intervalles réguliers dans Alma&Georges, propose différents entretiens d’auteur·e·s reconnu·e·s, comme Jean-François Haas, Christoph Geiser, Joseph Incardona ou Rose-Marie Pagnard. Le projet se situe dans le prolongement du numéro de l’International Journal for Comparative Cultural ÌÇÐÄVolgÌýconsacré aux «» (DOI: 10.25353/ubtr-izfk-be1c-64c3), dirigé par Emily Eder, Sylvie Jeanneret, Ralph Müller
  • Ouvrages cités:
    La leçon de Judith, éd. de L’Aire, 1993
    Le Conservatoire d’amour, éd. du Rocher, 2008 (réédité en coll. Poche aux éditions Zoé)
    J’aime ce qui vacille, 2013, éd. Zoé (Prix suisse de littérature – Prix de l’Académie romande)
    Jours merveilleux au bord de l’ombre, éd. Zoé, 2016
    Gloria Vynil, éd. Zoé, 2021

 

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Les familles dans la littérature suisse: miroir de la société actuelle? – Episode 1 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-1 /alma-georges/articles/2024/les-familles-dans-la-litterature-suisse-miroir-de-la-societe-actuelle-episode-1#respond Thu, 01 Feb 2024 13:02:51 +0000 /alma-georges?p=19557 «Famille je vous hais!», s’exclamait André Gide. Mais quelle place occupe la famille dans l’Å“uvre littéraire des auteur·e·s suisses? Ce podcast vous propose une plongée dans ce microcosme et des entretiens qui interrogent: la famille représente-t-elle vraiment un miroir de notre société? Ce premier épisode propose un tour d’horizon des recherches menées sur les textes littéraires helvétique tant francophones que germanophones.Ìý

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  • Ce podcast bilingue vous est présenté par Emily Eder, Sylvie Jeanneret et Ralph Müller, chercheuses et chercheurs à l’Université de Fribourg. Tour à tour, ils interrogent des auteur·e·s suisses sur la manière dont le motif de la famille travaille leur Å“uvre. La série d’épisodes, diffusés à intervalles réguliers dans Alma&Georges, propose différents entretiens d’auteur·e·s reconnu·e·s, comme Jean-François Haas, Christoph Geiser, Joseph Incardona ou Rose-Marie Pagnard. Le projet se situe dans le prolongement du numéro de l’International Journal for Comparative Cultural ÌÇÐÄVolg consacré aux «» (DOI: 10.25353/ubtr-izfk-be1c-64c3), dirigé par Emily Eder, Sylvie Jeanneret, Ralph Müller

 

  • Réalisation de cet épisode: Sylvie Jeanneret, Ralph Müller et Emily Eder.
  • Références littéraires:
    Roland Buti, Le milieu de l’horizon, éd. Zoé, 2013
    Michel Layaz, Silke, éd. Zoé, 2019
    Rose-Marie Pagnard, La Leçon de Judith, éd. L’Aire, 1993 et Jours merveilleux au bord de l’ombre, éd. Zoé, 2016
    Yvette Z’Graggen, Matthias Berg, éd. L’Aire, 1995
    Anne-Lise Grobéty, Pour mourir en février, éd. Campiche, 2020 (1970)
    Kim de l’Horizon: Blutbuch. Köln 2022.
    Max Lobe, 39, rue de Berne, éd. Zoé, 2013
    Fritz Zorn: Mars. Mit einem Vorwort von Adolf Muschg. Frankfurt am Main 1994 [1977].
    Meral Kureyshi: Elefanten im Garten. Zürich 2015
    Ruth Schweikert: Tage wie Hunde. Frankfurt am Main 2019
  • Forschung / recherche:
    Dominique Viart, « Récits de filiation », in Dominique Viart et Bruno Vercier (éds.), La littérature française au présent. Héritage, modernité, mutations, Bordas, 2008, p. 79–101.
    Aleida Assmann: Der lange Schatten der Vergangenheit. Erinnerungskultur und Geschichtspolitik, München 2006.
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«Unsere Vorschläge mussten wir nicht unter Rücksicht ihrer politischen Machbarkeit formulieren» /alma-georges/articles/2022/unsere-vorschlage-mussten-wir-nicht-unter-rucksicht-ihrer-politischen-machbarkeit-formulieren /alma-georges/articles/2022/unsere-vorschlage-mussten-wir-nicht-unter-rucksicht-ihrer-politischen-machbarkeit-formulieren#respond Tue, 29 Nov 2022 07:00:21 +0000 /alma-georges?p=17169 Am 8. Dezember gastiert die Universität Freiburg in Murten für ein Wissenschaftscafé auf Deutsch. Unter dem Titel «Wer bin ich und zu wen gehöre ich?» diskutiert unter anderen Zivilrechtsprofessorin Alexandra Jungo, die im Auftrag des Bundesrats eine Expert_innen-Gruppe zum Abstammungsrecht geleitet hat.
Bundesbern war sich 2018 beim entsprechenden Postulat der Rechtskommission des Ständerats einig, dass eine Überprüfung des Abstammungsrechts überfällig ist. Wo liegt das Problem der heutigen Gesetzgebung?
Seit der Revision des Kindesrechts von 1976 hat sich die Situation der Familien in der Schweiz stark verändert. Obwohl sich nach wie vor ein Grossteil der Paare bei der Geburt eines Kindes für eine Heirat entscheidet, hat sich die Spannweite gelebter und gesellschaftlich akzeptierter Familienentwürfe erweitert. Sie reicht von Alleinerziehendenfamilien bis hin zu Patchwork- oder Regenbogenfamilien. Gleichzeitig haben sich die Möglichkeiten der Fortpflanzungsmedizin und der Humangenetik im In- und Ausland stark entwickelt. Diese Entwicklungen stellen die Gesetzgebung aller Länder vor grosse Herausforderungen. Namentlich wird immer wieder – auch vom Bundesgericht – bemängelt, dass ein genetischer Vater seine Vaterschaft eines Kindes nicht anerkennen kann, wenn die Mutter des Kindes verheiratet ist. In diesem Fall wird der Ehemann als Vater des Kindes vermutet, und nur er kann seine eigene Vaterschaft anfechten, wenn er und die Mutter des Kindes sich nicht trennen wollen.

Bei all diesen vielen Aspekten, die hier reinspielen: Die Arbeit in dieser Expert_innen-Gruppe muss nebst aller gebotenen Ernsthaftigkeit auch eine grossartige Spielwiese gewesen sein, wo Sie sich juristisch austoben konnten. Oder täuscht dieser Eindruck?
Die Kommission hatte den Auftrag, aus interdisziplinärer Sicht (Recht, Psychologie und Ethik) die aktuellen Defizite des Abstammungsrechts und neue Möglichkeiten darzustellen. Die interdisziplinär sowie aus Wissenschaft, Advokatur und Justiz zusammengesetzte Kommission hat die vorliegenden Empfehlungen und den dazugehörigen Bericht häufig einstimmig verabschiedet. Wo es zwei starke Meinungen gab, sind sie in Form von Varianten abgebildet. Der Vorteil der Kommissionsarbeit lag darin, dass wir unsere Vorschläge nicht primär unter Rücksicht ihrer politischen Machbarkeit formulieren mussten.

Gleichzeitig können unterschiedliche Familienidealbilder hochemotionale Diskussionen auslösen. Befürchten Sie, dass die Politik das Fuder überlädt und sich am Schluss am Gesetz gar nichts ändert?
Nein, das befürchten wir nicht. Der Bundesrat hat in seinem Bericht zum Bericht und zu den Empfehlungen der Kommission drei Revisionsthemen in den Vordergrund gerückt: 1. die Anfechtbarkeit der Vaterschaft des Ehemannes der Mutter; 2. die Regelung der sog. Becherspende, also der privaten Samenspende ausserhalb von Fortpflanzungsmedizinzentren; 3. die Kenntnis der eigenen Abstammung sowie der eigenen Nachkommen.

Am Wissenschaftscafé in Murten nehmen auch ein Psychologieprofessor und eine Vertreterin des Dachverbands Regenbogenfamilien teil. Was darf das Publikum erwarten?
Das Publikum darf sich auf eine spannende und informative Diskussion zu einem interdisziplinären und gleichzeitig emotionalen Thema freuen. Wir selbst freuen uns auf die Fragen aus dem Publikum.

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  • des Wissenschaftscafés
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Breites Hilfsangebot für Familien, Paare und Jugendliche /alma-georges/articles/2021/breites-hilfsangebot-fur-familien-paare-und-jugendliche /alma-georges/articles/2021/breites-hilfsangebot-fur-familien-paare-und-jugendliche#respond Tue, 14 Dec 2021 16:06:04 +0000 /alma-georges?p=15007 Am Institut für Familienforschung und -beratung wird – wie es der Name schon sagt – sowohl Forschung betrieben, wie auch Beratung angeboten. Zur juristischen und psychologischen Hilfeleistung ist neu noch die Familienmediation hinzugekommen. Die Lehrbeauftragte Gisela Kilde erklärt, wie es dazu kam und mit welchen Anliegen die Leute zu ihr kommen.

«Die Beratung am Familieninstitut bietet vielfältige Hilfestellung für Familien», steht auf der Website des Instituts. Was bieten Sie konkret an?
Schon länger erhalten Paare, Familien und Jugendliche bei uns eine juristische- oder psychologische Beratung. Neu kommt nun die Familienmediation hinzu.

Warum dieses neue Angebot?
Unser Institut bietet die Erstberatung in juristischen Belangen an, wir schauen, wo die Leute stehen, wo sie hinwollen und wie sie dieses Ziel am besten erreichen. Oft ist Mediation ein guter Weg, um Konflikte zu lösen und gemeinsam Lösungen zu finden. Bisher mussten wir die Klient_innen für eine Mediation an andere Stellen verweisen. Für die Betroffenen bedeutete dies einen zusätzlichen Schritt, eine Person anzurufen, die sie nicht kennen, und nochmals den gesamten Hintergrund zu erklären. Deshalb bin ich froh, dass wir in Zukunft beispielsweise einem Paar, das sich von Anfang an bei uns beraten lässt, sagen können: «Der nächste Schritt könnte eine Mediation sein, können Sie sich vorstellen, diese mit uns zu machen?»

Was ist Ihre Aufgabe als Mediatorin?
Über mehrere Sitzungen hinweg den Prozess der Lösungserarbeitung zu begleiten. Nicht die Mediator_innen finden letztlich die Lösungen, sondern die Parteien selbst.

Welche Idee steckt grundsätzlich dahinter, als universitäres Institut auch Beratungen anzubieten?
Es bestand bei der Gründung des Instituts die Idee, ein interdisziplinäres Institut zu schaffen, das den Wissenstransfer in die Praxis sicherstellt und auch der breiten Bevölkerung etwas bietet. Wir wollen unser Wissen praxisrelevant weitervermitteln. Damit verhindern wir, in einem Elfenbeinturm zu leben. Es ist interessant und hilfreich, zu sehen, wo die Probleme liegen. Das schärft auch den Blick darauf, welche Forschungsthemen relevant sind.

Wie sehr integrieren Sie die Fallbeispiele anschliessend in die Lehre?
Ich verwende die Beispiele nicht konkret in der Lehre. Doch sie geben Anstösse und helfen bei der Gewichtung. Man erhält beispielsweise einen guten Eindruck von den Schwierigkeiten, die Leute antreffen können, wenn es um Trennungen geht. Oder etwa auch, wie schwierig es ist, wenn Kinder ein psychologisches Problem haben und zwischen Stuhl und Bank fallen, weil sie keine Diagnose erhalten – und sie so bei der IV keinen Antrag stellen können. Es sind Probleme direkt aus dem Leben, mit denen man sich in der Fachliteratur nicht unbedingt beschäftigt.

An wen richtet sich das Beratungsangebot in erster Linie?
Die meisten kommen, weil sie vorsondieren möchten, was beispielsweise eine Trennung für sie bedeuten würde und welche Lösungsansätze es bei der Umsetzung gibt. Grundsätzlich behandeln wir alle Fälle, in die Kinder, Paare oder Jugendliche involviert sind. Ab und zu kommen auch Uni-Angehörige zu uns, meist Studierende, die Probleme mit ihren Eltern haben, die oft finanzieller Natur sind.

Wo liegen die Probleme bei den Paaren?
Was auffällt: Frauen befinden sich finanziell oft in einer heiklen Lage. Sie stellen sich fast immer die Fragen: «Wie schaffe ich das mit dem Geld? Kann ich mir eine Trennung überhaupt leisten?» Die Männer sorgen sich eher darum, wie lange sie nach einer Trennung unterhaltspflichtig sein werden.

Es scheint oft ums Geld zu gehen.
Ja, aber nicht nur. Männer sorgen sich manchmal, dass sie nicht der Vater des Kindes sein könnten. Und Frauen erzählen oft, dass sie gerne ausziehen wollen. Davon ist eher abzuraten, weil so Tatsachen geschaffen werden. Wer zukünftig sowieso nicht mehr in der Familienwohnung bleiben will, kann selbstverständlich ausziehen. Wer aber eigentlich gerne mit den Kindern in dem Haus bleiben würde, geht besser nicht weg. Manchmal wollen Paare auch ganz einfach wissen: «Wir arbeiten beide 80 Prozent, bei wem werden zukünftig die Kinder wohnen?» Darauf gibt es heute keine klare Antwort mehr. Die beste Lösung ist, sich untereinander zu einigen. Hier käme dann wieder die Mediation ins Spiel.

Welche Beobachtung hat Sie in Ihrer bisherigen Beratungstätigkeit überrascht?
Ich bin überrascht, wie Männer reagieren, wenn sie mit Vaterschaftsklagen konfrontiert werden. Einige Klienten, die sich der Vaterschaftsklage widersetzen wollten, stellten dann im Beratungsgespräch die Folgefrage, wie das Verhältnis zum Kind möglichst eng gestaltet werden kann. In solchen Fällen der Ambivalenz sind wir dann nicht nur juristisch unterwegs. Da kommen Emotionen auf und wir hören gerne zu. Wir nehmen uns so viel Zeit wie nötig – ohne das zusätzlich in Rechnung zu stellen. Dieses Gesamtpaket ist womöglich das Plus im Vergleich zu Angeboten von Anwältinnen und Anwälten. Deshalb ist es gut, wenn die Leute früh zu uns kommen, um sich beraten zu lassen, in welche Richtung es weitergehen könnte.

Ist das der Hauptvorteil gegenüber privaten Angeboten?
Das Problem an privaten Angeboten ist, dass sie kostspielig sind. Wichtig ist: Wir wollen niemandem die Arbeit wegnehmen. Jemand behauptete einmal, wir würden mit Dumpingpreisen den Anwältinnen und Anwälten die Arbeit wegnehmen. Das Gegenteil ist der Fall. Mit unserem Beratungsangebot helfen wir den Klient_innen dabei, einen passenden Weg zur Lösung zu finden. Nicht selten ist es Teil der Lösung, sich als Einzelperson oder auch als Paar eine Anwältin oder einen Anwalt zu nehmen.

Wie viel kosten die Beratungen am Institut?
Die Erstberatung kostet bei der Rechtsberatung pauschal 50 Franken, unabhängig davon, wie lange sie dauert und ob womöglich Nachberatungen nötig sind. Für die psychologische Beratung sind es 120 Franken, Personen mit geringem Einkommen kann jedoch eine Reduktion gewährt werden. Für die Mediation verlangen wir 150 Franken pro Sitzung.

Welche Zukunftspläne hat das Institut für seine Beratungen?
Wir sind ein kleines Team. Die psychologische Beratung übernimmt eine erfahrene Psychologin, bei der Rechtsberatung sind wir zwei Juristinnen – das war’s dann auch schon. Sämtliche Einnahmen bleiben im Institut und werden beispielsweise für Literatur oder Veranstaltungen verwendet. Wir wollen auch weiterhin ein niederschwelliges Angebot anbieten und unser Wissen weitergeben, das liegt uns am Herzen.

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  • Dr. iur. ist Lehrbeauftragte, Oberassistentin, wissenschaftliche Mitarbeiterin und Beraterin am Institut für Familienforschung und -beratung der Universität Freiburg.
  • Das (IFF) beschäftigt ein interdisziplinäres Team, das auf Entwicklungspsychologie und Familienrecht spezialisiert ist. Dabei setzt es drei Schwerpunkte: Forschung, Ausbildung und Beratung. Einen Termin vereinbaren für eine Beratung oder eine Mediation kann man unter: /iff/de/beratung/
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COVID-19: Familien mit besonderen Bedürfnissen am Anschlag? /alma-georges/articles/2020/covid-19-familien-mit-besonderen-bedurfnissen-am-anschlag /alma-georges/articles/2020/covid-19-familien-mit-besonderen-bedurfnissen-am-anschlag#respond Tue, 26 May 2020 09:03:24 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=11080 Familien mit Kindern mit besonderen Bedürfnissen werden in einem Lockdown hart auf die Probe gestellt. Professorin Andrea Samson geht mit ihrem Team in einer internationalen Studie der Frage nach, welche Auswirkungen die COVID-19-Pandemie auf betroffene Kinder und Eltern hat. Die Ergebnisse sollen unter anderem Anhaltspunkte bieten, worauf in zukünftigen Krisensituationen geachtet werden muss. Deshalb interessiert sich auch die Politik dafür.

Andrea Samson, in Ihrer aktuellen Studie steht die Frage im Vordergrund, wie Familien mit Kindern mit Behinderungen und Entwicklungsstörungen mit den Folgen der COVID-19-Pandemie zurechtkommen. Was erhoffen Sie sich davon?
Im chEERS Lab erforschen wir sozioemotionale Prozesse bei Personen mit verschiedenen Entwicklungsstörungen und geistigen Behinderungen. Wir wissen, dass Familien mit Kindern mit besonderen Bedürfnissen im Alltag mit vielen Dingen zu kämpfen haben. Als es zum Lockdown kam, fragten wir uns: Wie ergeht es nun wohl jenen Familien, die eines oder gar mehrere Kinder mit besonderen Bedürfnissen haben und auf besonders viel Hilfe, Begleitung und Unterstützung angewiesen sind? Wie ist das, wenn plötzlich jegliche Unterstützung wegfällt und sogar Institutionen schliessen? Welches sind die Ängste und Sorgen der Eltern, welches diejenigen der Betroffenen? Mit welchen Strategien versuchen sie mit möglichen negativen Emotionen umzugehen? Es ist wichtig, diese Fragen zu beantworten, auch, um bei einer möglichen zukünftigen Krisensituation vorbereitet zu sein.

Ist ein Lockdown für Kinder mit speziellen Bedürfnissen besonders schwierig?
Das gilt es nun zu untersuchen. Es dürfte auf verschiedene Faktoren ankommen, etwa auf die Art der Beeinträchtigung, die Art der Unterstützung, darauf, wie stark die Familie abfedern kann, was plötzlich an Unterstützung wegfällt, etc. Für die Kinder selbst kann es tatsächlich sogar in beide Richtungen gehen. Ich habe mich mit einigen Familien unterhalten, deren alltäglichen Herausforderungen sich nun extrem gewandelt haben. Konnte man sich vor der Krise auf Unterstützung von anderen und womöglich sogar von mehreren Personen verlassen, ist es besonders einschneidend, wenn diese Hilfe von einem Tag auf den anderen wegfällt. Gleichzeitig kann eine mögliche reduzierte berufliche Belastung der Eltern zusammen mit anderen im Lockdown wegfallenden Stressfaktoren, zum Beispiel durch die Schule, für ein Kind selbst sogar entlastend sein. Mit unserer Studie möchten wir uns intensiver mit solchen Unterschieden beschäftigen und herausfinden, welche Hintergründe sie haben.

Eine der Hauptfolgen eines Lockdowns ist, dass soziale Kontakte stark reduziert werden. Kann das für Kinder mit besonderen Bedürfnissen problematisch sein?
Absolut, das ist ja auch für Kinder, die keine besonderen Bedürfnisse haben, schwierig. Allerdings kommt es möglicherweise auch hier auf die Art der Beeinträchtigung an. Kinder mit Autismus-Spektrum-Störungen zum Beispiel haben eher Mühe mit der sozialen Kommunikation. Für sie ist es womöglich sogar entlastend, nicht viele Leute zu sehen. Bei Kindern mit dem Williams-Beuren-Syndrom – einer seltenen genetischen Störung, die unter anderem mit sich bringt, dass die Kinder und Erwachsenen ein sehr ausgeprägtes Bedürfnis nach sozialen Kontakten haben – mag es ganz anders sein. Möglicherweise leiden sie stärker unter dem eingeschränkten Sozialkontakt. Wir möchten nicht nur zwischen verschiedenen Syndromen unterscheiden, sondern auch verstehen, wie der Lockdown oder andere Massnahmen sich auf Kinder mit und ohne besondere Bedürfnisse auswirken. Deshalb befragen wir in der Studie die Eltern auch zu Geschwisterkindern ohne besondere Bedürfnisse.

Denken Sie, dass der Lockdown Spätfolgen nach sich ziehen könnte?
Das ist nicht auszuschliessen. Wir wissen derzeit wenig darüber, selbst für Kinder ohne Beeinträchtigung. Was bedeutet es, zwei Monate in einer solchen Extremsituation zu leben? Unsere bisher gesammelten Daten zeigen, dass bestimmte Ängste am Anfang sehr gross waren, während andere Belastungen eher mit der Zeit zunahmen. Auch wenn viele Eltern natürlich versucht haben ihre Kinder möglichst wenig zu belasten, haben diese vieles auf irgendeine Art mitbekommen. Wir werden in unserer Studie versuchen, auch mögliche Spätfolgen zu untersuchen. Es ist ein Folgefragebogen geplant, der die Frage beantworten wird: Wie geht es der Familie ein halbes Jahr oder ein Jahr später?

Tatsächlich geht es in Ihrer Studie nicht bloss um die Kinder, sondern um die ganze Familie. Wo liegen für Eltern von Kindern mit besonderen Bedürfnissen die grössten Herausforderungen bei einem Lockdown?
Da wären zunächst einmal die Betreuungsstrukturen, die wegfallen. Oder Spezialisten, die sich nicht mehr in gleichem Masse um die Bedürfnisse des Kindes kümmern können. Das kann für die Eltern eine enorme zusätzliche Belastung bedeuten. Auch das ist eine zentrale Frage unserer Studie: Was fiel in den letzten Wochen alles weg? Was fehlte den Eltern am meisten? Darüber hinaus gibt es noch andere Faktoren, die wir uns anschauen, zum Beispiel finanzielle Sorgen.

Ihre Studie ist weltweit angelegt, der Fragebogen ist derzeit in elf Sprachen verfügbar, unter anderem auf Chinesisch. Wie kam es dazu?
Initiiert hat die Studie das chEERS Lab. Gemeinsam mit vor allem englischsprachigen Kollegen wollten wir zunächst die Situation von Personen mit bestimmten Syndromen verstehen. Es wurde aber schnell klar, dass es wichtig ist, die Situation von Familien mit besonderen Bedürfnissen unabhängig von Diagnosen zu verstehen. Durch den Vergleich verschiedener Massnahmen in verschiedenen Ländern werden wir bessere Aussagen machen können, was Familien besonders belastet hat und mit welchen Massnahmen Familien besser zurechtgekommen sind. Mittlerweile haben wir etliche Forschungspartner auf der ganzen Welt, die uns helfen, in ihren Ländern Familien zu erreichen.

Wie viele ausgefüllte Fragebogen erhoffen Sie sich?
Weltweit konnten wir bis jetzt über 2000 Familien für unsere Studie gewinnen, wir haben mit bestimmten Sprachen aber erst vor Kurzem angefangen, das heisst, diese Zahl wird steigen. Wichtig ist, dass wir in der Schweiz repräsentative Stichproben für Familien mit Kindern mit besonderen Bedürfnissen erhalten.

Wieso?
Weil sich in der Schweiz immer mehr Vereinigungen und Institutionen für unsere Daten interessieren. Sie alle müssen allmählich ihre Rückschlüsse ziehen und sich Fragen stellen wie: War das, was wir anbieten konnten, genug? Sollte es wieder einmal eine vergleichbare Krise geben oder eine zweite Corona-Welle: Wie würden wir reagieren? Was sind wichtige Stressfaktoren für Familien? Wo hätten wir Kinder und Eltern besser auffangen können? Wir hoffen, dass wir möglichst viele Entscheidungsträger über unsere Ergebnisse informieren können. Wie auch in Grossbritannien interessieren sich in der Schweiz politische Instanzen für unsere Ergebnisse. Das Büro für die Gleichstellung von Menschen mit Behinderung freut sich über die kommenden Studienergebnisse dazu, wie es den betroffenen Familien ergangen ist. So können wir mit dem, was wir machen, wirklich etwas bewirken. Auch wenn in der Schweiz auf den ersten Blick das Gröbste vorbei zu sein scheint, wir werden mindestens noch bis Ende Juni weitere Daten sammeln. Unser Fragebogen erkundigt sich nach der Situation der Familien vor der Pandemie, am Anfang des Lockdowns und heute. Deshalb können uns Familien in der Schweiz auch jetzt noch wertvolle Informationen liefern.

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  • Ìýhat eine SNF-Förderungsprofessur am der Universität Freiburg und ist ausserordentliche Professorin an der Fakultät für Psychologie an der FernUni Schweiz. Sie leitet zudem das (Swiss Emotion Experience, Regulation and Support). In ihrer Forschung beschäftigt sie sich mit Emotionen und deren Regulation bei Menschen mit und ohne Entwicklungsstörungen.
  • richtet sich an Eltern oder Betreuungspersonen von Kindern mit besonderen Bedürfnissen. Sie ist anonym und dauert rund 30 Minuten. In der Schweiz kann der Fragebogen mindestens noch bis Ende Juni ausgefüllt werden. Der Link: www.specialneedscovid.org

 

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«La Bible ne connaît pas un seul modèle familial» /alma-georges/articles/2016/foi-et-famille /alma-georges/articles/2016/foi-et-famille#respond Tue, 29 Mar 2016 17:01:24 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2200 L’Eglise s’interroge sur les rapports entre foi et famille. Après 2 synodes et en attendant la prochaine Exhortation du pape François mi-avril, un colloque fait le point sur cette question. Cinq questions à l’Abbé François-Xavier Amherdt, professeur à la Chaire de théologie pastorale, pédagogie religieuse et homilétique

Pourquoi aborder le thème de la famille aujourd’hui?
Parce que la famille constitue la «valeur» dans laquelle nos contemporains investissent leurs plus grandes espérances, y compris parmi les jeunes, et que deux récentes assemblées du Synode des évêques (délégués de toutes les Conférences épiscopales à travers le monde) viennent d’être consacrées à cette thématique en octobre 2014 et 2015.

Divorce, famille recomposée, union libre… Comment se situe l’Eglise face aux nouvelles formes que prend la famille?
Le titre de notre colloque l’exprime clairement: «L’Evangile des familles». La Bible ne connaît pas un seul modèle familial, elle nous invite à revisiter nos relations de pères et mères, fils et filles, frères et sœurs, dans chaque contexte historique, avec un regard renouvelé. L’Eglise désire accompagner pastoralement toutes les formes de familles aujourd’hui.

Que répondre face à ceux qui contestent la légitimité des représentants de l’Eglise à répondre aux questions familiales?
Les «représentants de l’Eglise» sont autant des laïcs, femmes et hommes, mariés et célibataires, que des prêtres. Les responsables des pastorales familiales des cantons et diocèses suisses sont pour la plupart des couples. L’un des intervenants de la journée, le Prof. Jochen Sautermeister, est marié, père de famille, conseiller conjugal et familial en plus d’être théologien. Outre les conférences, le colloque comprendra des témoignages disant comment intégrer toutes les sortes de familles dans la communauté ecclésiale et trouver dans la foi des ressources en cas de rupture conjugale.

La foi se vit-elle toujours dans le cadre familial ou est-elle devenue une pratique beaucoup plus centrée sur soi-même?
Comme la vie, la foi s’expérimente seul, en couple, en groupe, en famille. Les différentes dimensions se complètent, elles ne s’opposent pas. Les parents ont une responsabilité essentielle dans l’éveil de leurs enfants à la vie spirituelle et, grâce à leurs enfants, ils sont eux-mêmes renvoyés à leur propre relation avec Dieu.

Dans notre société individualiste, peut-on encore dire aujourd’hui que l’Eglise forme une famille ?
Nous attendons beaucoup de la prochaine Exhortation du pape François sur la famille, suite aux deux assemblées synodales. Elle devrait sortir à mi-avril et montrer comment l’Eglise est appelée à former une famille. Le délégué de la Conférence des évêques suisses au Synode 2015, Mgr Jean-Marie Lovey, nous en donnera un avant-goût: face à la solitude et à l’individualisme, les communautés ecclésiales tentent d’offrir des lieux de rencontre et de partage, par-delà les barrières de conditions, d’âges, de provenances, de nationalités et de religions.

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, colloque post-synodal sur la famille: «La pastorale de la famille: les deux Synodes, et après?» se tiendra le 6 avril 2015.

 

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Revue de presse – février 2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016 /alma-georges/articles/2016/revue-de-presse-fevrier-2016#respond Wed, 09 Mar 2016 10:02:30 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2046 ÌýL’Université de Fribourg dans la presse du 1er au 29 février 2016

«In der heutigen Arbeitswelt ist lebenslanges Lernen Pflicht.»
– Manfred Kuonen
, Studienleiter der postgradualen Weiterbildung in Laufbahn- und Personalpsychologie der Universitäten Bern und Freiburg, , 25.2.2016

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fête ses 20 ans, , 25.02.2016

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«Il y a beaucoup moins de jeunes enfants en bonne santé adoptables.»
– Isabelle Lammerant, chargée de cours en droit de la famille, , 23.02.2016

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«Die Geschwindigkeiten haben im Vergleich zum Vorjahr aber etwa um 20 Prozent zugenommen.»
– Benno Staub
, Geowissenschaftler, zum Auftauen des Permafrosts, , 23.2.2016

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– via

– Sebastian Dieguez, chercheur en neurosciences cognitives et neuropsychologue au Laboratoire des sciences cognitives et neurologiques de l’Université de Fribourg, RTS La Première, , 22.02.2016

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«Längst nicht alle Nutzer der Notschlafstelle sind Obdachlose im klassischen Sinn.»
– Carolyne Crimard, Doktorassistentin Soziologie, Sozialpolitik und Sozialarbeit, zur Rolle von La Tuile im Bereich der Obdachlosigkeit, , 22.2.2016

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«Natürlich ist es schön, existieren sie weiter. Sollte das aber nicht mehr der Fall sein, wäre das keine Katastrophe.»
– Reiner Eichenberger, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, zu den Bilateralen I, , 21.2.2016

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«Käufer sollten ein Haus sehr sorgfältig prüfen und sich dabei von einem Bauexperten oder einem Architekten beraten lassen.»
– Hubert Stöckli
, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 21.2.2016

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«Il ne faut pas non plus exagérer l’UDC. Etre premier parti, cela ne veut pas dire être parti majoritaire. Donc même si l’UDC peut s’implanter dans la terre fribourgeoise, cela ne veut pas dire non plus que la terre firbourgeoise sera une terre blochérienne.»
– Gilbert Casasus, professeur au Domaine Etudes européennes, , , 16.02.2016

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«On ne peut pas tout partager. Pour conserver le pouvoir, il faut conserver le contrôle d’un certain nombre de flux d’informations et d’actifs stratégiques. Savoir lesquels, c’est aujourd’hui le nouveau souci des entreprises.»
– Paul Dembinski, professeur associé à la Chaire Stratégies et concurrence internationales, , 15.02.2016

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«Kosenamen bestätigen eine Beziehung durch Sprache.»
– Gerda Baumgartner, Sprachwissenschaftlerin an der Universität Freiburg, , 14.2.2016

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«Les diplomaties vaticane et moscovite restent très mystérieuses… Mais il est vrai qu’à Fribourg, nous entretenons depuis longtemps une collaboration avec l’Eglise de Moscou. Depuis de nombreuses années nous encourageons le dialogue Å“cuménique avec les orthodoxes moscovites. Cette attitude très positive ne peut que préparer favorablement le terrain.»
– Noël Ruffieux, membre de l’Institut d’études œcuméniques, à propos de la rencontre historique entre le Pape François et le Patriarche de Moscou Cyrille, , 13.02.2016.

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«En général, nous travaillons avec les vivants. Et le recueilleur n’est pas un magnétophone qui enregistre et retranscrit, il est interlocuteur et coauteur du récit produit.»
– Catherine Schmutz Brun, lectrice au Département de l’éducation, à propos de la formation de recueilleur de récit de vie. La Liberté, 12.02.2016.

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– via

«Le terme mademoiselle est tellement condescendant qu’il faut essayer de l’effacer du vocabulaire ou alors essayer d’employer le même terme pour les hommes, qui est damoiseau et que personne n’utilise, bien sûr.»
– Pascal Gygax, directeur de l’équipe de psycholinguistique, , , 12.02.2016

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«Die Initiative ist ein Anschlag nie dagewesenen Ausmasses gegen die Demokratie. Sie zielt frontal gegen den Rechtsstaat als deren Fundament, indem sie die Gewaltenteilung und die Unabhängigkeit der Justiz missachtet.»
– Marc Spescha, Lehrbeauftragter für Migrationsrecht, zur Durchsetzungsinitiative, Theoriekritik, 12.2.2016

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«Paris sollte nicht als politisches oder ökonomisches Symbol, sondern als Symbol der Lebenslust und des westlichen Hedonismus angegriffen werden.»
– Amir Sheikhzadegan, Lehrbeauftragter für Soziologie, zu den November-Anschlägen in Paris, Links / SP AG, 11.2.2016

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«L’intégration est un mouvement réciproque de la société d’accueil, qui accueille un immigrant etÌý est censé faire que cette intégration économique, culturelle, se passe bien, et le mouvement de la personne qui est accueillie, qui va découvrir un nouveau pays, ses lois… Il faut une réciprocité.»
– Sabine Choquet, collaboratrice au Domaine sciences des sociétés, des cultures et des religions, France TV, , 11.02.2016

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«Ihr einziges Ziel ist der Gewinn. Sie kaufen beispielsweise Weizen, und sobald sie ihn besitzen, verkaufen sie ihn wieder zu einem teureren Preis.»
– Sergio Rossi,
Professor für Volkswirtschaft und Geldtheorie, zur Spekulation mit Lebensmitteln, , 11.2.2016

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«Die Zuwanderung sollte mit Preisen statt mit Bürokratie gesteuert werden.»
– Reiner Eichenberger
, Leiter des Lehrstuhls für Theorie der Finanz- und Wirtschaftspolitik, 11.2.2016

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«On peut tout à fait être pour la justice fiscale et contre le mariage homosexuel. Mais le problème, c’est justement qu’on nous fasse voter sur les deux choses en même temps, alors qu’elles ne présentent pas de lien intrinsèque. Si on avait proposé un texte similaire dans un canton, un recours aurait pu être déposé au Tribunal fédéral, avec des chances de succès, vu sa pratique en la matière.»
– Jacques Dubey, professeur de droit constitutionnel, Lausanne, 09.02.2016

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«Le stress est le pire ennemi du couple.»
– Dominique Shoebi, professeur à l’Institut de recherche et conseil dans le domaine de la famille, l’, 09.02.2016

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«Vouloir être actif dans le cercle familial n’est pas encore quelque chose de valorisé socialement.»
– Tanya Ogay, professeure au Domaine des sciences de l’éducation, , 09.02.2016

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«Quand on essaie de proposer des choses pour soutenir les consommateurs, il y a toujours, dans le jeu politique, des oppositions.»
– Pascal Pichonnaz, doyen de la Faculté de droit, RTS1, , 09.02.2016

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«Zeigt sich, dass der Handwerker unnötigen, vermeidbaren Aufwand betrieben hat, hat der Kunde auch dafür keine Vergütung zu leisten.»
– Hubert Stöckli, Lehrstuhlinhaber an der Rechtswissenschaftlichen Fakultät, , 6.02.2016

 

 

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