Collaborateur – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Mon, 26 Apr 2021 17:03:24 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Témoigner pour lutter contre les discriminations /alma-georges/articles/2021/temoigner-pour-lutter-contre-les-discriminations /alma-georges/articles/2021/temoigner-pour-lutter-contre-les-discriminations#respond Mon, 26 Apr 2021 17:03:24 +0000 /alma-georges?p=13586 Vous êtes témoin ou vous vivez une situation discriminante au sein de l’Unifr? Pas toujours facile de témoigner. La Commission Equal Opportunities de l’Association générale des étudiant·e·s met à votre disposition un outil de report des discriminations. Totalement anonyme, il permettra de prendre la mesure de la situation sur nos campus. Lara Torbay, co-présidente d’EquOpp, répond à nos questions.

Sur quels constats Equopp a-t-elle décidé de proposer cet outil?
Après le scandale lié à de l’homophobie dans un cours de la Faculté de théologie, nous avons réalisé que les personnes souhaitant garder leur anonymat et ne pas entamer une procédure auprès du Service de médiation n’avaient aucun moyen d’agir face à des discriminations.

En plus, en tant qu’association agissant pour la justice sociale au sein de l’Université, nous avions déjà reçu des témoignages de personnes dépourvues face à certains comportements, une situation qui les rendait profondément mal à l’aise et entravait leurs études. Face à ces constats, nous avons décidé de remédier à la situation en permettant à toute la communauté universitaire de reporter facilement et anonymement les situations qu’elle ressent comme discriminatoires.

En quoi cet outil consiste-t-il?
Il s’agit d’un , actuellement disponible sur le site de l’Association générale des étudiant·e·s de l’Université de Fribourg (AGEF). Les questions sont, avant tout, axées sur le déroulement des faits (quels gestes/propos jugés discriminatoires ont eu lieu et dans quel contexte), ainsi que sur les critères de discrimination auxquels ils se rattachent. A la fin du questionnaire, les participant·e·s sont invité·e·s à proposer des façons de prévenir ces comportements jugés discriminatoires. Ces suggestions leur permettent de devenir actives et actifs dans le processus de lutte contre les discriminations.

Par qui et comment l’outil a-t-il été élaboré?
Il a été élaboré par les membres d’EquOpp, en mobilisant les compétences de chacun·e des membres (en informatique, en sciences sociales, en psychologie et en droit) pour créer un outil de qualité. Ce travail bénévole nous a occupé·e·s de nombreuses heures, notamment pour tenir compte des suggestions qui nous étaient transmises et créer un outil sûr garantissant l’anonymat de toutes et tous. Nous avons également collaboré avec d’autres services universitaires, telles qu’Unicom Communication & Médias ou l’AGEF pour créer un projet pour et par la communauté universitaire.

Qui peut témoigner?
Tout membre de la communauté universitaire peut témoigner (étudiant·e·x·s, mais aussi corps technique, corps administratif, corps enseignant, etc.), lorsqu’elles ou ils sont témoins ou cibles de comportements jugés discriminatoires.

Qui réceptionne les témoignages et que deviendront-ils?
Selon le règlement cadre du groupe de travail, seule une personne, élue par le CE, est habilitée à consulter les données, qui sont, rappelons-le, anonymes. Le but est d’obtenir un rapport statistique avec des données agrégées pour avoir une vue d’ensemble à l’échelle de l’Université. Idéalement, cela nous permettrait de dégager des tendances et de laisser la liberté aux instances décisionnaires de prendre des mesures pour améliorer la situation au besoin et si elles le souhaitent.

S’agit-il uniquement d’un outil de report ou la plateforme s’inscrit-elle dans un concept plus large de lutte contre les discriminations?
Il s’agit effectivement d’un outil qui s’inscrit dans une lutte plus large contre les discriminations. Cet outil nous permet de voir si les membres de la communauté universitaire pensent que des discriminations ont lieu à l’Unifr et, le cas échéant, de quels types elles sont et dans quels cadres elles s’exercent. Cela permet à toute instance et association universitaire qui le souhaite et qui en a la possibilité, EquOpp inclue, d’agir de manière ciblée et efficace contre les discriminations.

Sonder le ressenti de la communauté universitaire nous permet d’établir un état des lieux crucial. Si les membres de cette communauté jugeaient les discriminations absentes de l’Université, cela représenterait un grand soulagement. A l’inverse, si une partie de la communauté universitaire se sent ciblée par des discriminations, cet outil nous permettra de le montrer et d’alerter les instances en charge. Bien entendu, à qui nous transmettrons ces données et ce que nous en ferons de manière générale n’est pas de notre seul ressort, mais soumis à un règlement cadre et aux décisions du CE.

Quel est le but recherché?
Nous sommes véritablement dans une approche préventive et non pas punitive. Le questionnaire vise à faire ressortir des tendances, afin de prévenir, dans l’idéal, les situations discriminatoires. Nous ne cherchons pas de coupables à punir, ni la censure. Il s’agit ici de sonder le ressenti de la population au sein de l’Unifr, au même titre que les questionnaires qui nous parviennent en tant qu’étudiant·e·s sur la qualité de l’enseignement ou les mesures sanitaires prises dans le cadre de la pandémie. Cela permet un échange sur le sujet et encourage toute personne à se poser des questions quant à son vécu et ses actions au sein de l’Université. Le but est également d’éviter l’invisibilisation des discriminations et de rester à l’écoute de toute la communauté universitaire. Sonder son ressenti sur ce sujet est crucial pour permettre une atmosphère de travail, de recherche et d’étude saine et ouverte à toutes et tous. L’Université de Fribourg est d’autant plus riche et prestigieuse que toute personne la fréquentant est libre d’y travailler, d’apprendre et d’échanger sans craindre d’être atteinte dans sa dignité. Nous espérons que ce questionnaire œuvre dans ce sens.

L’outil est en phase pilote. Quelles seront les prochaines étapes?
Nous allons récolter des données pendant ce semestre et auront notre premier rapport à la fin de celui-ci. Nous allons également prendre en compte les remarques et suggestions qui nous seraient éventuellement relayées par les utilisatrices et utilisateurs. Ce dialogue nous tient particulièrement à cœur, car il permet de tendre vers une amélioration du questionnaire et une plus grande inclusivité. Nous espérons ensuite pouvoir le prolonger au moins un semestre pour voir les tendances qui se dessineraient en présentiel. Sur le long-terme, nous souhaitons que cet outil reste toujours à disposition de la communauté universitaire, afin de maintenir cette écoute et poursuivre le dialogue.

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L’Université de Fribourg parmi les meilleurs employeurs de Suisse /alma-georges/articles/2021/luniversite-de-fribourg-parmi-les-meilleurs-employeurs-de-suisse /alma-georges/articles/2021/luniversite-de-fribourg-parmi-les-meilleurs-employeurs-de-suisse#respond Wed, 24 Mar 2021 14:58:31 +0000 /alma-georges?p=13427 Recommanderiez-vous votre employeur à quelqu’un d’autre? C’est la question que Le Temps, et le Handelszeitung, en collaboration avec l’entreprise d’analyses statistiques Statista, ont posé à leur lectorat. Avec une 5e place dans la catégorie formation, l’Université de Fribourg, tire un excellent parti de ses valeurs humaines. Qu’en pense Patrick Erni, chef du Service du personnel?

L’Université de Fribourg occupe le 5e rang dans le secteur de la formation et le 64e sur 1500 dans la liste générale. Qui faut-il féliciter?
Tous les membres de la communauté universitaire y contribuent par leur engagement au quotidien.

Peut-on en déduire que le bateau Unifr se porte bien?
Je pense que l’Université de Fribourg est un employeur attractif qui propose un large éventail de fonctions intéressantes et diverses.

Vous-même, en quels termes recommanderiez-vous l’employeur Unifr à l’un·e de vos ami·e·s?
Absolument, j’apprécie la culture ouverte, bilingue et internationale qui valorise l’égalité et la diversité.

L’article du Temps souligne d’entrée que les critères d’évaluation ont changé avec la pandémie. Les collaboratrices et collaborateurs n’ont pas les mêmes besoins aujourd’hui qu’il y a un an. Est-ce à dire que nous avons bien négocié le virage?
Le télétravail a beaucoup changé la façon de collaborer et demande beaucoup d’adaptation personnelle. Je pense que les besoins peuvent changer, mais les valeurs sont restées les mêmes: la confiance, le respect et la volonté de développement personnel.

Selon vous, qu’est-ce qui est important pour les collaboratrices et les collaborateurs de l’Unifr?
Il faut rester ouverts, communicatifs et curieux. Laisser de la place à la créativité, trouver des possibilités pour remplacer les contacts informels qui nous manquent à l’heure actuelle est également très important.

Qu’a donc l’Université de Fribourg à offrir de plus?
L’Université de Fribourg privilégie la qualité, la responsabilité, la durabilité et l’esprit de dialogue. De plus, Fribourg est une ville universitaire par excellence, les distances sont courtes et le campus est présent dans toute la ville.

Si la pandémie a modifié les critères, le «retour à la normale» doit aussi être envisagé comme une évolution plutôt que comme un simple retour à l’ancienne approche. Quels sont les prochains grands défis du Service du personnel?
La situation actuelle est un grand défi pour toute la communauté universitaire, mais il y a tout de même des points positifs à relever: nous avons toutes et tous appris de nouvelles techniques et nous nous sommes organisés de manière différente. Il faut garder cet esprit innovateur qui cherche à améliorer constamment l’existant. Notre souhait est de nous positionner en tant que centre de compétences pour toutes les questions liées aux ressources humaines et dégager du temps pour être plus à l’écoute. On pourra gagner du temps par la digitalisation et la standardisation des tâches de base.

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Concernant la méthodologie, Le Temps indique que «Le classement 2020 des Meilleurs employeurs a été réalisé à partir d’un panel en ligne et au sein des lecteurs de la Handelszeitung et du Temps. Plus de 1500 entreprises suisses, de 200 employés au minimum et sélectionnées à partir de la liste de l’année précédente ainsi que d’une recherche étendue basée sur de nombreuses sources, ont été retenues pour ce sondage indépendant. Plus de 200’000 évaluations ont été recueillies entre mai et juin 2020.»

  • complet
  • Page de Patrick Erni
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«L’APU a besoin de sang neuf!» /alma-georges/articles/2017/lapu-a-besoin-de-sang-neuf /alma-georges/articles/2017/lapu-a-besoin-de-sang-neuf#comments Mon, 20 Mar 2017 12:46:22 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=3851 Sophie Tritten et Marcel Tortorella, respectivement présidente et membre du comité de l’Association du personnel de l’Université (APU), ont décidé de passer le témoin. Ils évoquent un besoin de renouvellement à la tête de l’Association du Personnel de l’Université. Rencontre à quelques jours de l’Assemblée générale du 23 mars.

Cela fait plusieurs années que vous êtes membres de l’APU, pourquoi renoncer maintenant à votre mandat?
Sophie Tritten: Je suis entrée au comité de l’APU en 2004 et j’ai accédé à la présidence en 2007. Un bail! Or, j’ai le sentiment que nous nous heurtons toujours aux mêmes difficultés, notamment en matière d’augmentation salariale du personnel. J’en éprouve une certaine lassitude. Nos successeurs apporteront leur propre personnalité et, peut-être, parviendront-ils à infléchir la dynamique. Moi, je n’y suis pas parvenue. Il est temps de céder ma place à quelqu’un d’autre.
Marcel Tortorella: En ce qui me concerne, cela fait six ans que je suis membre du comité de l’APU. Je ne suis pas aussi exposé que Sophie, mais j’estime également qu’il est temps de céder ma place. L’APU a besoin de sang neuf.

Quand on s’engage pour l’APU, on s’expose à la critique?
Sophie Tritten: C’est une de mes frustrations. On nous reproche de ne jamais en faire assez. Or, nous ne sommes pas un syndicat. Nous n’avons pas la possibilité de payer un avocat et encore moins de défendre des cas particuliers.
Marcel Tortorella: Du moment qu’on prend position, on ne peut pas plaire à tout le monde. Le discours de Sophie, lors du Dies Academicus, qui s’en prenait fermement au Conseil d’Etat, a fait grincer des dents.
Sophie Tritten: En même temps, j’ai eu beaucoup de retours positifs d’étudiants. Ça me rassure que des jeunes, qui ont 20 ans de moins que moi, se sentent concernés.

Quelles sont les réalisations dont vous êtes les plus fiers?
Marcel Tortorella: Sans aucun doute d’avoir mis sur pied les sorties du personnel, qui ont lieu une fois par année. La balade sur l’île d’Ogoz, la visite du barrage de Rossens et celle du chantier du Pont de la Poya ont connu un immense succès. Nous avons même dû refuser du monde! Nous organisons également la Saint-Nicolas pour les enfants des collègues. C’est toujours un plaisir de faire plaisir!
Sophie Tritten: Parmi nos faits d’armes, on ne saurait oublier la manifestation du personnel de l’Etat de Fribourg à la place Python. Nous avons réussi à mobiliser les collaborateurs de l’Université, ce qui n’est pas simple! C’est une véritable fierté! Dans la même veine politique, on peut également mentionner le référendum contre la libéralisation de statut du personnel de l’ECAB. Nous avons pu récolter près de 200 signatures parmi nos membres.

Et pour quelles raisons faudrait-il devenir membre actif de l’APU?
Sophie Tritten: L’ambiance y est sympathique. Cela permet d’apprendre à connaître l’institution et de rencontrer les membres du Rectorat, de poser des questions, notamment en matière salariale.
Marcel Tortorella: A l’APU, on rencontre également des collègues qu’on ne côtoie pas sinon, du fait de l’éparpillement des services. L’APU nous rapproche. C’est d’ailleurs notre slogan: l’APU unit!

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L’APU: une organisation aux bases solides

Quelle est l’évolution des effectifs de l’APU?
Sophie Tritten: Tout le personnel, qu’il soit rattaché aux services administratifs ou techniques, fait partie de l’APU. Sur 600 personnes, environ la moitié cotise, ce qui est honorable. En revanche, il est vraiment difficile de mobiliser les troupes, du fait notamment de l’éparpillement des collaborateurs sur plusieurs sites et des temps partiels.

La situation financière de l’APU s’est-elle améliorée?
Sophie Tritten: Auparavant, nous étions dans les chiffres rouges. En 2012, lors de l’Assemblée générale, nous avons pu faire passer la cotisation de 10 à 20.- . A notre grande surprise, la proposition est passée comme une lettre à la poste.

Connaît-on le ou la prochaine président-e?
Sophie Tritten:
Ce sera une coprésidence, partagée entre un homme et une femme, germanophone et francophone. Les deux langues seront donc représentées, mais les défis ne vont pas manquer.

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  • La prochaine Assemblée générale aura lieu le 23 mars à 17h00 dans la salle 3016 de Miséricorde
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«Wir sind auf das Engagement der Mitglieder angewiesen» /alma-georges/articles/2016/wir-sind-auf-das-engagement-der-mitglieder-angewiesen /alma-georges/articles/2016/wir-sind-auf-das-engagement-der-mitglieder-angewiesen#respond Tue, 12 Apr 2016 19:23:40 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2244 Im Einsatz für die Kolleginnen und Kollegen: Der Verein des Personals der Universität Freiburg (VPU) setzt sich für die Anliegen des administrativen und technischen Personals ein. So fordert er etwa, dass befristete Arbeitsverträge nach zwei Verlängerungen zu unbefristeten Anstellungen werden. Im Interview erzählt die Präsidentin Sophie Tritten, welches die aktuellen Schwerpunkte sind.

Was will der Verein des Personals vermitteln?
Wir sind eine Körperschaft und wollen die Angestellten der Universität Freiburg repräsentieren; sie gegenüber der Universitätsleitung vertreten. Viele Mitarbeitende identifizieren sich eher mit einer Fakultät als mit der Universität. Vor allem an der Uni Pérolles sind die Leute weit weg vom Standort Miséricorde. Wir wollen zeigen, dass wir zusammengehören und gemeinsame Interessen haben.

Welche Anliegen beschäftigen euch im Moment?
Ein Problem sind die befristeten Arbeitsverträge, die jährlich erneuert werden. Diese jährliche befristete Verlängerung ist gerade für das administrative Personal mit grosser Unsicherheit verbunden. Es fehlt damit auch eine soziale Absicherung. Einige Mitarbeitende sind über einen Fonds angestellt. Ihre Verträge werden verlängert solange Geld da ist. Wir fordern, dass die befristeten Verträge nach zwei Verlängerungen zu unbefristeten Anstellungen werden.

Ist das legal, einen Vertrag zigmal zu verlängern?
Wir befinden uns da in einer juristischen Grauzone.

Ein weiteres aktuelles Thema des VPU ist die Lohn-Einteilung nach Funktionen.
Wir haben vor allem bei den Informatikern das Problem, dass ihre Kenntnisse on the job nicht berücksichtigt werden. Die Prozesse der Einstufung in eine Funktionsklasse sind problematisch und kompliziert. Da entspricht die formale Ausbildung der Mitarbeitenden nicht immer den reellen Kenntnissen, gerade in der sich schnell entwickelnden Welt der Informatik. Ein weiteres Problem der Klassifikation stellt sich, wenn jemand einen Job einer Kollegin übernimmt, die pensioniert wird und nicht in derselben Klasse ist.

Gibt es Lösungsansätze?
Wir haben das Problem mit der Rektorin Astrid Epiney diskutiert und gesehen, wie lange und kompliziert so ein Prozess ist. Als Universität sind wir diesbezüglich sehr vom Kanton abhängig, der die finalen Entscheidungen fällt. Eine etwas frustrierende Situation.

Wie geht ihr konkret vor?
Wir machen Vorstösse und fragen nach, warum gewisse Personen tiefer klassifiziert sind als andere. Wir verstehen natürlich den finanziellen Druck seitens des Kantons, aber dieser legitimiert unserer Ansicht nach nicht jedes Vorgehen.

Wie läuft die Zusammenarbeit mit dem Kanton?
Unser Pendant beim Kanton, die FEDE (Föderation der Personalverbände der Staatsangestellten des Kantons Freiburg), ist natürlich viel grösser als der VPU, aber wir arbeiten gut zusammen. Sie haben das Thema der unbefristeten Arbeitsverträge ebenfalls aufgenommen.

Der VPU hat das Rektorat als Haupt-Verhandlungspartner?
Ja, vor allem das Rektorat. Allerdings haben wir, verglichen mit der FEDE, kein grosses Gewicht; sie hat 9000 Mitglieder. Diese treffen alle sechs Wochen die Vertreter des Kantons.

Wie gross ist der VPU?
Wir zählen etwa 650 Personen, die als administrative oder technische Mitarbeitende an der Universität angestellt sind und damit zum VPU gehören. Im Vergleich dazu gibt es knapp 2’000 wissenschaftliche Mitarbeitende, die nicht bei uns sind. Diese sind also wesentlich zahlreicher.

Welches sind die Herausforderungen des nächsten Jahres?
Nächstes Jahr hören drei Vorstandsmitglieder auf, die wir ersetzen müssen. Das wird schwierig. Wir sind auf das Engagement der Mitglieder angewiesen. Wir sind keine Gewerkschaft und haben keine Anwälte, die für uns arbeiten.

Etwa 30 Personen nahmen am 10. März 2016 an der Generalversammlung des VPU teil. Präsidentin Sophie Tritten führte durch die Traktanden und Alexandre Gachet, Direktor IT, präsentierte danach das Projekt Campus Management. Es folgte ein gemütlicher Apéro mit vielen Diskussionen über neue Technologie.

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Website des VPU:

Fotos: Gian-Andri Casutt – Unicom
Titelbild: Daniel Wynistorf – Unicom

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