Association – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Fri, 09 Jun 2023 13:22:19 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Ces étudiant·e·s qui s’engagent: Le poids des mots, le choc du langage /alma-georges/articles/2023/le-poids-des-mots-le-choc-du-langage /alma-georges/articles/2023/le-poids-des-mots-le-choc-du-langage#comments Fri, 09 Jun 2023 07:38:14 +0000 /alma-georges?p=18275 Il s’en est fallu de peu qu’il ne tourne le dos à l’Université de Fribourg, lui qui cherchait une université pourvue d’un cercle de rhétorique. Puis, réflexion faite, il s’est dit qu’il suffisait d’en créer un pour que notre institution lui siée à merveille. Rencontre avec Antoine Lévêque, étudiant épris de poésie et d’art oratoire.

Pourquoi avoir décidé de créer un cercle de rhétorique à Fribourg?
J’ai failli m’inscrire à l’Université de Genève où il existait déjà une telle association, puis je me suis dit: «Pourquoi ne pas créer un club de débat, ici à Fribourg?» Après concertation avec des amis, nous avons convoqué une première assemblée générale en novembre dernier. Très vite, nous avons reçu le soutien financier de l’Association des étudiants et étudiantes de l’Université de Fribourg (AGEF) et la reconnaissance de notre association par le Rectorat. Aujourd’hui, nous avons déjà invité Johanna Gapany, conseillère aux Etats, et Marc Bonnant, avocat, pour nous parler de la rhétorique et de ses fonctions.


Donc la sauce a vite pris?
Et comment! Nous pensions que seule une dizaine de personnes allaient nous rejoindre. Finalement, notre groupe WhatsApp compte 120 membres! Bien que sans compétences oratoires incroyables, nous souhaitons toutes et tous apprendre à débattre à l’intérieur d’un espace bienveillant où chacun·e s’écoute et se répond avec respect. Il n’y a pas de confrontation!

Comment se déroule une réunion?
On débute par la présentation d’un sujet, sur lequel quatre personnes sont ensuite invitées à débattre. Une fois cette partie restreinte terminée, les autres participant·e·s posent des questions, puis procèdent à un vote pour désigner le ou la gagnante. Nous concluons la rencontre par un apéritif, comme il se doit.

Mais d’où vous vient cet intérêt pour l’art oratoire?
J’ai toujours aimé assister à des débats politiques. Dans un monde où l’on est beaucoup jugé sur l’apparence, il est essentiel de savoir s’exprimer de manière convaincante. La rhétorique ne consiste pas uniquement à être un beau parleur, mais elle requiert un fond sérieux. Il y a un but moral, celui d’apprendre à parler pour défendre des causes justes. Il y a un souci de la vérité.

Quel est l’orateur ou l’oratrice que vous admirez le plus ?
J’admire des personnages comme Marc Bonnant, Eric Dupont-Moretti, Robert Badinter, Barack Obama, Martin Luther King ou Winston Churchill. J’aime bien écouter et réécouter leurs discours. Les styles varient d’ailleurs beaucoup selon les pays. En Suisse, on valorise beaucoup la précision, la pertinence du discours bien plus que la forme. Alors qu’en France la construction du discours compte autant que le fond. La comparaison entre pays est très enrichissante. A mon sens, il n’y a pas un·e orateur·trice supérieur·e aux autres. Chacun·e a sa spécificité. C’est la raison pour laquelle notre club a pour ambition d’aider chacun·e à trouver son style. Il faut apprendre à magnifier sa façon naturelle de parler, trouver son approche plutôt que de tenter de singer d’autres personnes.

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Ces étudiant·e·s qui font l’uni: Elena et Lucas, Junior Entreprise Fribourg /alma-georges/articles/2023/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-elena-et-lucas-junior-entreprise-fribourg /alma-georges/articles/2023/ces-etudiant%c2%b7e%c2%b7s-qui-font-luni-elena-et-lucas-junior-entreprise-fribourg#respond Mon, 08 May 2023 14:01:12 +0000 /alma-georges?p=18154 Elena Cascavilla et Lucas Almeida Osmani se partagent la casquette de président de la Junior Entreprise Fribourg, une association estudiantine officiellement reconnue par le Rectorat. Rencontre avec deux étudiant·e·s passionné·e·s qui s’investissent sans compter et qui ont su faire revivre leur association mise à mal par la crise du coronavirus.
Pourquoi avoir adhéré à la Junior Entreprise Fribourg (JEF)?
Elena: La JEF est venue se présenter aux étudiant·e·s alors que j’étais en première année, mais comme je viens du Tessin, je ne me sentais pas encore prête, linguistiquement parlant, à y adhérer. L’année d’après, j’ai décidé de tenter l’aventure. Mon but? Connaître le monde du travail, acquérir de l’expérience professionnelle, faire des connaissances afin de m’intégrer à Fribourg.

Et ça marche?
Elena: Bien sûr, je me suis fait des amis de Genève, des Valaisans, des Vaudois, etc. Tous les cantons sont représentés dans la JEF!

Et toi Lucas?
Lucas: Comme je suis arrivé à l’Unifr en plein covid, je cherchais avant tout à nouer des contacts et à m’intégrer dans la vie universitaire.

Mais pourquoi la JEF et pas une autre association?
Lucas: La Junior Entreprise a un côté pratique, professionnel, qui permet de se façonner un réseau en rencontrant des client·e·s. C’est aussi un mouvement international. On a des contacts non seulement dans toute la Suisse mais aussi dans le monde entier, par exemple avec une JE en Tunisie.

Quelle charge de travail cela représente-t-il?
Lucas: On l’estime à 20% pour les membres, mais cela dépendra du poste occupé. A la présidence, nous avons passablement de tâches, notamment pour répondre aux questions.

Pourquoi une co-présidence?
Elena: Lucas s’occupe plutôt de la gestion de mandat, moi de la gestion des RH. Comme ce sont deux responsabilités avec la même charge de travail, on s’est donc dit qu’on partagerait le même titre.
Lucas: D’autant plus qu’on prend toutes les grandes décisions ensemble. Dans les faits, nous étions déjà une coprésidence

Quel est le projet dont vous êtes le plus fiers?
Elena: Je me suis occupé d’un projet dans le domaine du tourisme. J’ai dû faire un site de plus de dix pages avec des fonctionnalités de réservation de chambre dans les hôtels, de tables dans les restaurants.
Lucas: A l’externe, durant la pandémie, les entreprises n’avaient plus d’argent à dépenser pour les services que nous proposions. Elles étaient en mode survie. Nous avons donc connu une période très dure au niveau des finances et du nombre de projets. Nous avons dû relancer toute notre communication auprès des client·e·s potentiel·le·s. A l’interne, il a fallu retravailler toute la cohésion de groupe après la crise du coronavirus et reformer nos nouvelles et nouveaux membres à prendre en charge les mandats. Aujourd’hui tout ce travail commence à porter ses fruits.

Comment vous financez-vous?
Lucas: Uniquement grâce aux mandats que nous décrochons. Cela nous permet de rémunérer nos membres et de garder un pourcentage pour la JEF. Cependant, comme notre association ne poursuit pas un but lucratif mais un but idéal, nous utilisons ce bas de laine pour financer des formations à nos membres ou pour des sorties karting ou bowling. Cela ne remplace pas un job étudiant.

Un exemple de projet typique?
Lucas: on a un panel de services assez large: consulting marketing, communication, site web, etc. Comme nos prix sont avantageux, ce sont souvent de petites entreprises ou des start-ups qui nous sollicitent. Nous avons, par exemple, aidé un agriculteur de la région qui nous a sollicités pour créer un site en ligne pour vendre ses produits
Elena: Au niveau technique, nous regardons, toujours dans le cas de cet agriculteur, quel est le meilleur outil pour créer le service. On propose un design pour son site internet. Quand on a son feu vert, on passe à l’implémentation du produit. On fait ensuite les correctifs et on dispense au client une petite formation pour la bonne prise en main de l’outil.

Votre client·e de rêve?
Lucas: J’aime bien ceux qui veulent lancer leur entreprise, mais qui n’ont rien, aucune idée, et qu’on doit aider de A à Z. On conduit l’étude de marché, élabore le business plan, définit leur marketing, fournit leur site web. Quand ils peuvent voler de leurs propres ailes, on ressent une certaine fierté.

Qu’est-ce que cet engagement à la JEF vous apporte dans vos études?
Elena: A l’Université, on apprend les choses sur un plan théorique, mais on n’a pas l’opportunité de passer à la pratique. Si je songe aux cours d’économie, on y apprend à faire une étude de marché, mais il n’y a pas de possibilité de travailler avec une entreprise pour voir ce que cela implique. A la présidence de la JEF, on doit apprendre à gérer les crises et à diriger une équipe. On se frotte à la réalité du terrain.
Lucas: A l’interne, on doit apprendre à fonctionner harmonieusement avec les collègues, ce qui ne s’apprend pas sur les bancs de l’Université. On apprend également comment se comporter et discuter avec les client·e·s, ce qui est très stressant au début. Cette pratique du terrain est une plus-value dans notre CV et sur le marché du travail.

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  • Site de la
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Le Ciné-club, toute une stratégie /alma-georges/articles/2017/le-cine-club-toute-une-strategie /alma-georges/articles/2017/le-cine-club-toute-une-strategie#respond Thu, 23 Nov 2017 10:40:35 +0000 https://www3.unifr.ch/alma-georges?p=4679 Cela fait quatre mois qu’Emma Schneider a repris la présidence du Ciné-club de l’Université de Fribourg. Si l’étudiante voit une réelle opportunité à saisir en exerçant cette fonction, elle reste toutefois bien consciente des challenges qui l’attendent pour maintenir à flot le club, qui a fêté ses 50 ans l’année passée.

Les clichés, qui peuvent parfois mener la vie dure aux associations, sont notamment nourris par des idées trop établies et difficiles à faire bouger. Il est donc plus que jamais important de définir une stratégie afin de s’assurer que la perception externe soit en phase avec la réalité. Nous pouvons donc bel et bien considérer les associations comment étant de petites entreprises animées par la passion…

Quel positionnement?
Le premier défi qui attend Emma est celui de (re)définir le positionnement du Ciné- club. Une multitude d’interrogations apparaissent, lorsque l’on se penche sur la question. «Les ciné-clubs traînent indéniablement une étiquette snob. Nous pouvons essayer de casser cette image ou de plonger dedans et  clairement la revendiquer», note Emma. «Faut-il avoir une programmation plus populaire pour attirer plus de monde ou, au contraire, la différenciation fait-elle notre force?». Ou encore «Faut-il organiser plus ou moins de séances de projection?» Autant de décisions qu’il faut prendre tout en essayant de tenir compte de l’avis de chacun… Un avis qui est, par ailleurs, l’une des valeurs du Ciné-club dont la présidente est fière et qu’elle souhaite indiscutablement conserver. «Il n’ y a pas de miracle: pour intéresser et conserver des membres, il faut les impliquer», explique-t-elle. Tous les membres sont donc cordialement invités à proposer des sujets, des films, des idées…

Panachage permis
La ligne qui semble être la plus pertinente à ses yeux est de conserver un choix cinématographique pointu tout en proposant, de temps à autre, un titre plus accessible. Et Emma de relever qu’il est important de «rester varié». Le thème qui encadrera les projections, dès la rentrée 2017 et pour tout le premier semestre, est l’autofiction. Si son origine est littéraire, il est également applicable au cinéma, ce que prouvera la sélection du Ciné-club. Les titres à l’affiche cet automne sont, entre autres: PI de Darren Aronofsky en cinéconcert à Fri-Art avec le groupe DCP, Amarcord »å±ðÌý¹ó±ð±ô±ô¾±²Ô¾±,ÌýYour Name – Kimi No Na Wa de Makoto Shinkai et Holy Motors de Leos Carax.


Anciens programmes et affiches du Ciné-club.

Apporter une plus-value
Ce semestre, le Ciné-club proposera, à nouveau, à des spécialistes d’horizons différents (membres de l’Université, professionnels et passionnés du cinéma ou artistes fribourgeois) de collaborer en présentant l’un des films du programme en le mettant en lien avec la thématique du cycle sous l’angle de leur spécialité et de leur sensibilité. Ces présentations durent environ 15 minutes et peuvent, parfois, déboucher sur un débat. Les projections ont lieu à l’Université de Fribourg, sur le site Miséricorde et, même si c’est le mardi soir, le Ciné-club ne lésine pas sur l’apéritif, véritable plateforme d’échanges. De temps à autre, certaines séances sont projetées à Fri-Art ou même à l’Arena.

Un solide plan de communication
La concurrence est au rendez-vous parmi la foule d’associations présentes à l’Université. Mettre en palce une stratégie et un solide plan de communication devient donc plus que nécessaire. Au sein du comité du Ciné-club, deux personnes sont  chargées de mettre en œuvre une communication moderne et adaptée aux étudiants. Le Ciné-club est actif sur , pour annoncer ses prochaines projections et rappeler à ses plus de 593 likeurs  de venir prendre l’apéro. De nouveaux moyens technologiques sont en place avec, notamment, le projet d’une newsletter envoyée par What’s app et le dévoilement du programme sur . La page d’accueil du annonce également la couleur par un texte invitant chacun à se délester, le temps d’une soirée, du stress et de la fatigue des examens.


Le Ciné-club propose non seulement des films, mais aussi des rencontres dans des lieux insolites, comme ici à Fri-Art, le centre d’art contemporain fribourgeois.

L’association a également la chance de pouvoir compter sur les bons et loyaux services d’un graphiste bénévole. «Avoir une image sexy passe aussi par l’identité visuelle», rigole Emma. En effet, la nouvelle identité du club se veut cinématographique en jouant sur la confusion entre le réalisateur et les personnages qu’il met en scène…

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  • du Ciné-club
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«Wir sind auf das Engagement der Mitglieder angewiesen» /alma-georges/articles/2016/wir-sind-auf-das-engagement-der-mitglieder-angewiesen /alma-georges/articles/2016/wir-sind-auf-das-engagement-der-mitglieder-angewiesen#respond Tue, 12 Apr 2016 19:23:40 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2244 Im Einsatz für die Kolleginnen und Kollegen: Der Verein des Personals der Universität Freiburg (VPU) setzt sich für die Anliegen des administrativen und technischen Personals ein. So fordert er etwa, dass befristete Arbeitsverträge nach zwei Verlängerungen zu unbefristeten Anstellungen werden. Im Interview erzählt die Präsidentin Sophie Tritten, welches die aktuellen Schwerpunkte sind.

Was will der Verein des Personals vermitteln?
Wir sind eine Körperschaft und wollen die Angestellten der Universität Freiburg repräsentieren; sie gegenüber der Universitätsleitung vertreten. Viele Mitarbeitende identifizieren sich eher mit einer Fakultät als mit der Universität. Vor allem an der Uni Pérolles sind die Leute weit weg vom Standort Miséricorde. Wir wollen zeigen, dass wir zusammengehören und gemeinsame Interessen haben.

Welche Anliegen beschäftigen euch im Moment?
Ein Problem sind die befristeten Arbeitsverträge, die jährlich erneuert werden. Diese jährliche befristete Verlängerung ist gerade für das administrative Personal mit grosser Unsicherheit verbunden. Es fehlt damit auch eine soziale Absicherung. Einige Mitarbeitende sind über einen Fonds angestellt. Ihre Verträge werden verlängert solange Geld da ist. Wir fordern, dass die befristeten Verträge nach zwei Verlängerungen zu unbefristeten Anstellungen werden.

Ist das legal, einen Vertrag zigmal zu verlängern?
Wir befinden uns da in einer juristischen Grauzone.

Ein weiteres aktuelles Thema des VPU ist die Lohn-Einteilung nach Funktionen.
Wir haben vor allem bei den Informatikern das Problem, dass ihre Kenntnisse on the job nicht berücksichtigt werden. Die Prozesse der Einstufung in eine Funktionsklasse sind problematisch und kompliziert. Da entspricht die formale Ausbildung der Mitarbeitenden nicht immer den reellen Kenntnissen, gerade in der sich schnell entwickelnden Welt der Informatik. Ein weiteres Problem der Klassifikation stellt sich, wenn jemand einen Job einer Kollegin übernimmt, die pensioniert wird und nicht in derselben Klasse ist.

Gibt es Lösungsansätze?
Wir haben das Problem mit der Rektorin Astrid Epiney diskutiert und gesehen, wie lange und kompliziert so ein Prozess ist. Als Universität sind wir diesbezüglich sehr vom Kanton abhängig, der die finalen Entscheidungen fällt. Eine etwas frustrierende Situation.

Wie geht ihr konkret vor?
Wir machen Vorstösse und fragen nach, warum gewisse Personen tiefer klassifiziert sind als andere. Wir verstehen natürlich den finanziellen Druck seitens des Kantons, aber dieser legitimiert unserer Ansicht nach nicht jedes Vorgehen.

Wie läuft die Zusammenarbeit mit dem Kanton?
Unser Pendant beim Kanton, die FEDE (Föderation der Personalverbände der Staatsangestellten des Kantons Freiburg), ist natürlich viel grösser als der VPU, aber wir arbeiten gut zusammen. Sie haben das Thema der unbefristeten Arbeitsverträge ebenfalls aufgenommen.

Der VPU hat das Rektorat als Haupt-Verhandlungspartner?
Ja, vor allem das Rektorat. Allerdings haben wir, verglichen mit der FEDE, kein grosses Gewicht; sie hat 9000 Mitglieder. Diese treffen alle sechs Wochen die Vertreter des Kantons.

Wie gross ist der VPU?
Wir zählen etwa 650 Personen, die als administrative oder technische Mitarbeitende an der Universität angestellt sind und damit zum VPU gehören. Im Vergleich dazu gibt es knapp 2’000 wissenschaftliche Mitarbeitende, die nicht bei uns sind. Diese sind also wesentlich zahlreicher.

Welches sind die Herausforderungen des nächsten Jahres?
Nächstes Jahr hören drei Vorstandsmitglieder auf, die wir ersetzen müssen. Das wird schwierig. Wir sind auf das Engagement der Mitglieder angewiesen. Wir sind keine Gewerkschaft und haben keine Anwälte, die für uns arbeiten.

Etwa 30 Personen nahmen am 10. März 2016 an der Generalversammlung des VPU teil. Präsidentin Sophie Tritten führte durch die Traktanden und Alexandre Gachet, Direktor IT, präsentierte danach das Projekt Campus Management. Es folgte ein gemütlicher Apéro mit vielen Diskussionen über neue Technologie.

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Website des VPU:

Fotos: Gian-Andri Casutt – Unicom
Titelbild: Daniel Wynistorf – Unicom

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Heute gründen wir einen Verein /alma-georges/articles/2016/heute-gruenden-wir-einen-verein /alma-georges/articles/2016/heute-gruenden-wir-einen-verein#respond Tue, 22 Mar 2016 14:16:24 +0000 http://www3.unifr.ch/alma-georges/?p=2131 Die Schweiz ist ein Vereinsland.  Schon als Drei-Käse-Hoch sind die Schweizer im Fussball- oder Schwimmverein organisiert. Wie man einen Verein gründet, haben die Kinder im «Wissenschaft zum Zvieri» am 2.März 2016 an der Universität Freiburg gelernt.

Eine Tradition, die im 18. Jahrhundert begann, sorgt auch heute noch für Spass und Spannung. Mit Peter Suter, Doktorand am Institut für Verbandsmanagement, haben die Kids das Zepter gleich selbst in die Hand genommen und unter anderem Game- und Discoklubs gegründet.

Wichtigste Zutaten für einen Verein

Wir sind fast alle in Klubs und Vereinen organisiert. Diese gibt es für alle Bereiche des Lebens; Sport, Kultur, Umwelt, Soziales, Wirtschaft und sogar für Internationales!

Die erste Zutat für die Gründung eines Vereins sind andere Menschen mit dem gleichen Interesse. Als Zweites sucht man, ob es andere, ähnliche Vereine gibt. Drittens benötigt es einen passenden Namen und ein Logo. Wenn sich alle Gründungsmitglieder über diese drei Zutaten geeinigt haben, geht es darum, dass man festlegt, was der Zweck eines Vereins ist. Doch mit diesen Schritten ist noch nicht alles klar: Wer darf denn im Verein mitmachen? Und wozu braucht es genau diesen Verein? Dies sind Fragen, die man in den ersten paar Versammlungen stellen sollte. Wo diese Versammlung stattfindet, wie oft man sich trifft und was man genau tut, ist auch noch zu bestimmen. Ein Verein zu gründen ist offensichtlich nicht schwierig, aber auch nicht ganz einfach – oder doch? Die Kinder im „Wissenschaft zum Zvieri“ haben die Aufgaben jedenfalls sehr gut gelöst. Peter Suter freut sich schon aufs nächste Mal!

Vereinsskizzen vom «Wissenschaft zum Zvieri» am 2.März 2016.

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Film: Unicom, Christian Doninelli, Lisa Arnold, Farida Khali

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