Nice to know – Alma & Georges /alma-georges Le magazine web de l'Université de Fribourg Wed, 11 Dec 2024 08:22:38 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.5 Semaine happy: y’a d’la joie (malgré tout) /alma-georges/articles/2024/semaine-happy-ya-dla-joie-malgre-tout /alma-georges/articles/2024/semaine-happy-ya-dla-joie-malgre-tout#respond Wed, 11 Dec 2024 07:43:56 +0000 /alma-georges?p=21700 La première édition de la semaine du bien-être et de la santé mentale à l’Unifr a été un franc succès. Vous avez été plus de 2000 à visiter les stands, ateliers et conférences. Le webzine Alma&Georges en a profité pour prendre votre pouls. 

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MediaLab: Un studio et de l’équipement vidéo pour l’Unifr /alma-georges/articles/2024/medialab-un-studio-et-de-lequipement-video-pour-lunifr /alma-georges/articles/2024/medialab-un-studio-et-de-lequipement-video-pour-lunifr#respond Thu, 31 Oct 2024 08:33:49 +0000 /alma-georges?p=21140 Grâce au Département des sciences de la communication et des médias (DCM), les membres de la communauté universitaires ont désormais accès, à certaines conditions, à un studio de télévision équipé de matériel moderne pour les exercices pratiques et la production audiovisuelle de qualité, une offre qui faisait défaut jusqu’à présent. Laurent Notaro, responsable du MediaLab, en explique le concept.

Pour quelles raisons avez-vous décidé d’ouvrir le studio du Département des sciences de la communication et des médias (DCM) à l’ensemble de la communauté universitaire, et même au-delà?
A la base, le studio est un endroit réservé aux étudiant·e·s et aux chercheuses et chercheurs du DCM. Au fil des années, nous avons toutefois remarqué qu’il existait une demande émanant d’autres facultés. Certain·e·s étudiant·e·s et chercheur·euses ont besoin de caméras ou de micros dans le cadre de leurs recherches, d’autres ont besoin d’un studio pour faire des enregistrements. Jusqu’à présent, l’Université ne pouvait absolument pas leur venir en aide et ces personnes devaient soit acheter leur propre matériel, soit recourir à des prestataires externes.

Et quels sont les points forts de votre studio?
Le studio du DCM offre une véritable ambiance de plateau de télévision. On peut y réaliser des présentations, des duplex, un débat entre plusieurs personnes ou même filmer une conférence de presse. Tout cela dans des conditions professionnelles, tant au niveau de l’éclairage, du son que de la réalisation. Nous disposons de trois caméras sur roulettes, d’un éclairage modulable, de microphones suspendus et la régie, opérée par mes soins, assure la rapidité des mises en place, le confort des enregistrements et la fluidité du visionnage sur les moniteurs. Pour la production de vidéos scriptées, il y a un grand fond vert, ce qui permet de réaliser des incrustations didactiques animées.

Mettez-vous du matériel à disposition pour les tournages en externe?
Oui, mais pour des questions d’assurance, ce matériel est réservé aux étudiant·e·s et aux chercheurs·euses. Il est en revanche inclu en cas de location du studio pour des ateliers, du média training ou des enregistrements multicaméras.

Les smartphones sont de plus en plus performants et tout le monde en possède un? Cela ne suffit-il pas?
Un smartphone peut faire beaucoup de chose, mais même les meilleurs restent assez faibles en basse lumière. Il faut aussi avoir de quoi les fixer, trépied ou stabilisateur, pour avoir une image stable, sans même parler du son qui requiert un ou des microphones externes.

La prise en main de certains appareils requiert toutefois quelques explications.
C’est certain et c’est la raison pour laquelle nous proposons une petite formation générale, adaptée à chaque projet. Récemment, deux étudiantes en sociologie ont eu besoin d’une caméra pour filmer les interactions sociales au pied d’un mur de grimpe. Je leur ai montré comment installer les micros sur les personnes filmées pour avoir un audio de qualité et nous avons discuté de la meilleure position de caméra.

Pour filmer correctement, il faut aussi avoir quelques notions de grammaire de l’image.
C’est exact. Nous n’avons pas le temps de dispenser une formation complète, mais les personnes qui nous sollicitent sont rendues attentives à certaines règles de base. Nous les encourageons à varier la valeur des plans, à respecter l’incontournable règle des 180° pour conserver la cohérence spatiale et la continuité des actions.

Et pour l’édition des images?
Aujourd’hui, tout le monde peut directement faire un petit montage sur un simple smartphone, avec des musiques et des effets fournis. Ça marche très bien pour les réseaux sociaux. On peut aussi se former au montage à la maison, il existe des centaines de tutoriels. Nous pouvons donner une assistance à la post-production, mais uniquement pour celles et ceux qui louent notre studio. Je donne volontiers un coup de main pour démarrer les projets et des conseils éditoriaux. Si la demande s’intensifie, nous adapterons les conditions.

Et combien coûte ces prestations?
Nous avons établi un catalogue de prix détaillés. Je rappelle que le MediaLab reste principalement destiné à la recherche et à l’enseignement du DCM. Le support et la maintenance de l’équipement ont un coût et sont budgétisés sans marge; c’est la raison pour laquelle nous devons facturer une contribution – de manière générale, l’offre est gratuite pour les membres du DCM et nous proposons des prix préférentiels pour la communauté universitaire.

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Mehr interkultureller Austausch durch die Shuffle App an der Unifr /alma-georges/articles/2023/mehr-interkultureller-austausch-durch-die-shuffle-app-an-der-unifr /alma-georges/articles/2023/mehr-interkultureller-austausch-durch-die-shuffle-app-an-der-unifr#respond Thu, 12 Oct 2023 14:07:20 +0000 /alma-georges?p=19023 Die Förderung des interkulturellen Austauschs zwischen lokalen und internationalen Studierenden steht im Mittelpunkt eines innovativen Pilotprojekts an der Universität Freiburg: die Shuffle App. Als erste schweizerische Hochschule nimmt die Universität an diesem Projekt teil, das darauf abzielt, den kulturellen Austausch zu intensivieren und die internationale Mobilität der Studierenden zu fördern.

Eine Brücke zwischen lokalen und internationalen Studierenden
Die Shuffle App ist eine soziale Anwendung, die von Studierenden für Studierende entwickelt wurde, mit dem Ziel, die Interaktion zwischen lokalen und internationalen Studierenden durch Gamification zu fördern. Sie erleichtert auch die Integration internationaler Studierender in der Schweiz. Die App ermöglicht es den Nutzer_innen, benutzererstellte virtuelle Aktivitätskarten zu erstellen, die als Mittel zur Förderung des kulturellen Austauschs zwischen den beiden Gemeinschaften dienen.

Vernetzung durch Gamification
Die Hauptkomponente von Shuffle ist die Gamification, die spielerische Elemente und Vorgänge in den universitären Alltag integriert. Studierende können virtuelle Aktivitätskarten erstellen, auf denen sie ihre Interessen und Hobbys teilen. Diese Karten dienen als Brücken zwischen den Studierendengemeinschaften, indem sie Gleichgesinnte miteinander verknüpfen. Internationale und einheimische Studierende können so leichter Kontakte knüpfen, sich austauschen und gemeinsame Unternehmungen planen.

Die Idee hinter Shuffle ist, Menschen zusammenzubringen und Brücken zwischen verschiedenen Studierendengemeinschaften zu schlagen.

Die Unifr testet Shuffle
Die Unifr hat bereits eine eigene App. Ist Shuffle nicht überflüssig? «Nein», sagt Nathalie Neuhaus, Koordinatorin der Austauschprogramme ausserhalb Europas. «Die Shuffle App ist ein Instrument, um den Austausch zwischen lokalen und internationalen Studierenden zu fördern. Sie bietet eine Plattform, auf der sich die Studierenden kommunizieren und vernetzen können. Die Unifr App bietet diese Möglichkeit nicht und hat eine andere Funktion als Shuffle.» Und welche Pläne hat Neuhaus bzw. die Dienststelle für internationale Beziehungen, um sicherzustellen, dass die Shuffle App langfristig ein effektives Instrument für die Fürderung des kulturellen Austauschs bleibt? «Seit dem Beginn des Herbstsemesters ist die App Shuffle aktiv und wir befinden uns in einer Pilotphase. Derzeit geht es hauptsächlich darum Shuffle von den Studierenden testen zu lassen und etwaige Kinderkrankheiten in der App zu beheben. Am Ende dieser Pilotphase wird der Mehrwert evaluiert. Die Bekanntmachung von Shuffle bei den Studierenden über die diversen Informationskanäle steht derzeit im Zentrum. Studierende tauschen sich häufig mit anderen Studierenden aus, daher ist es wichtig, dass die Informationen von der Peer-Group kommen.  Aus diesem Grund haben wir neben der AGEF und ESN Fribourg, diverse Studentenverbindungen wie beispielsweise die Fachschaften, Elsa und AIESEC kontaktiert und sie gebeten, die Unifr-Studierenden über die App zu informieren und sie zu ermutigen, mit Shuffle zu interagieren. Die Dienststelle für internationale Beziehungen hat die neuen Austauschstudierenden im Rahmen der Willkommenstage auf die App hingewiesen und auf den verschiedenen Kommunikationskanälen und mit Plakaten und Flyern darüber informiert. Sind einmal die Mehrheit der Studierenden erreicht und sie nutzen die App regelmässig, kann dieser Austausch die Integration der internationalen fördern und gleichzeitig das Leben der einheimischen Studierenden bereichern.»

Die Studierenden der Universität Freiburg haben die Möglichkeit, Shuffle während des akademischen Jahres 2023-2024 zu testen. Die App ist kostenlos und das Login erfolgt mit der @unifr.ch E-Mail-Adresse. Bei Problemen steht das Shuffle-Team über die App oder unter contact@makeitshuffle.ch zur Verfügung.

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Sprichwörtlicher Kurzbesuch im Mittelalter /alma-georges/articles/2023/sprichwortlicher-kurzbesuch-im-mittelalter /alma-georges/articles/2023/sprichwortlicher-kurzbesuch-im-mittelalter#respond Mon, 20 Mar 2023 08:15:03 +0000 /alma-georges?p=17787 Wer sich aufmerksam durch die Korridore des Gebäudes MIS04 bewegt, entdeckt am Anschlagbrett neben dem Büro des Mediävistischen Instituts (MIS 4123) seit Beginn des Frühlingssemesters 2023 grosse Weisheiten aus früherer Zeit. Geschäftsführer Dr. Martin Rohde veröffentlicht dort und online regelmässig das «Mittelalterliche Sprichwort der Woche», ein sprachlicher und philosophischer Kurzbesuch in einer Welt lange vor unserer Zeit.

Wie sind Sie auf die Idee gekommen, an der Pinnwand Ihres Instituts und auf dessen Website wöchentlich ein mittelalterliches Sprichwort anzubringen?
Sprichwörter waren im Mittelalter – das mag überraschen – ein sehr beliebtes Mittel, um in einem Gespräch oder auch Disput seinen Standpunkt argumentativ zu untermauern: In Romanen, in Gedichten, ja sogar in Predigten sind deshalb eine riesige Anzahl an Sprichwörtern überliefert. Heute geht es uns mit dieser Aktion darum, Aufmerksamkeit zu erzeugen und neugierig zu machen auf die Fachgebiete unseres Instituts, vielleicht sogar durch Irritation einen Denkanstoss zu vermitteln oder einfach zum Schmunzeln Anlass zu geben.
Dazu kommt, dass ein Mitglied unseres Instituts, Prof. Hugo O. Bizzarri, zu Sprichwörtern und Exempeln (damit sind mittelalterliche Kurzerzählungen gemeint, die der Belehrung dienen) forscht, und bereits vor einigen Jahren hat das Institut zu diesem Thema eine Tagung im Rahmen der «Freiburger Colloquien» veranstaltet sowie anschliessend eine Publikation in der Reihe «Scrinium Friburgense» dazu herausgebracht. Wir haben also bei verschiedenen Gelegenheiten im Team über diese literarische Gattung gesprochen, und so kam ich auf die Idee, «Das mittelalterliche Sprichwort der Woche» zu lancieren.

Worauf achten Sie beim Auswählen der Sprichwörter?
Mittelalterliche Sprichwörter sind nicht unbedingt – wie wir das gewohnt sind – kurz und bündig, es gibt auch solche, die mehrere Verse umfassen. Solche eignen sich natürlich nicht für unsere Pinnwand. Wir suchen prägnante und konzise Sprichwörter, die man im Vorbeigehen lesen kann. Ausserdem müssen sie auch ausserhalb des jeweiligen praktischen Kontextes, in dem sie ursprünglich überliefert sind, verständlich sein. Ein Sprichwort wie etwa «Jene ist verrückt, deren Kopf so viele Haare hat wie Absalom» ist darum ungeeignet für unsere Pinnwand. Ausserdem wollen wir die verschiedenen Sprachen berücksichtigen. So wechseln wir in jeder Woche die mittelalterliche Sprache (Mittellatein, Mittelhochdeutsch, Provenzalisch, Altitalienisch, Altenglisch oder Altspanisch) und übersetzen das Sprichwort jeweils entweder in modernes Deutsch oder Französisch.

Zu welchen Themen finden sich im Mittelalter speziell viele Sprichwörter?
Es gibt zahlreiche Themenbereiche, zu denen im Mittelalter besonders viele Sprichwörter entstanden sind: Da wäre zum Beispiel der Bereich der Tierwelt zu nennen, wo es um den Vergleich von tierischen und menschlichen Verhaltensweisen geht. Oder Themenbereiche, die sich auf landwirtschaftliche Aktivitäten beziehen oder meteorologische Phänomene aufgreifen. Sprichwörter betrafen im Mittelalter moralische Fragen aller Art, denn sie dienten als Verhaltensregeln in einer Gesellschaft, in der die Mündlichkeit vorherrschte. Es gibt auch mittelalterliche Redensarten, die politische Grundsätze zum Ausdruck bringen, wie das berühmte Sprichwort «Rex a recte regendo». Es definiert den Charakter des Königs im Gegensatz zum Tyrannen: Der König solle regieren, indem er die Gesetze respektiert; andernfalls würde er zum Tyrannen. Heute dagegen mögen uns Sprichwörter zu moralischen Fragen oder solche, die der Ermahnung dienten, tugendhaft zu sein, womöglich bieder und unangenehm belehrend erscheinen.

Anschlagbrett neben MIS4123

Finden Sie auch Sprichwörter, deren Sinn sich Ihnen nicht erschliesst?
Tatsächlich gibt es mittelalterliche Sprichwörter, die heute schwierig zu verstehen sind, insbesondere solche, die sich auf damalige Gewohnheiten beziehen, mit historischen Ereignissen verbunden sind oder literarische Stoffe des Mittelalters aufgreifen. Dies sieht man gut etwa beim spanischen Sprichwort «Cedacilo nuevo, tres días en estaca» (Neues Sieblein, drei Tage am Pfahl). Es verweist auf den Brauch, den neuen Weinfilter drei Tage lang an einen Pfahl zu hängen, bevor man ihn verwendet, was metaphorisch auf die Sorgfalt hinweist, mit der die Dinge angepackt werden sollten. Oder das Sprichwort «Aachen wurde nicht in einer Stunde erobert», das ähnlich auf Spanisch oder Französisch existiert, wobei die Stadt auch durch Rom, Paris oder Zamora ersetzt wurde. Es erinnert daran, dass grosse Vorhaben schwer zu realisieren sind beziehungsweise Zeit brauchen.

Es gibt wohl eine grosse Anzahl Sprichwörter, die in gesellschaftlicher Hinsicht mit unserer Zeit nicht mehr kompatibel sind (etwa hinsichtlich des Frauenbilds usw.). Wie gehen Sie mit solchen Funden um?
Es kann nicht bestritten werden, dass es viele misogyne mittelalterliche Sprichwörter gibt (aber gilt das nicht auch noch für die Moderne…?). Allerdings gibt es auch zahlreiche mittelalterliche Sprichwörter, die sich über männliche Vertreter bestimmter Berufsgruppen lustig machen. Auch gibt es nicht wenige mittelalterliche Sentenzen, die etwa Bauern oder andere ,niedrige Schichten‘ lächerlich machen. Viele Sprichwörter wiederum – das mag erstaunen – warnen ausgerechnet vor den Vertretern der Kirche. In all diesen Fällen muss man sich bemühen, sie als Zeugnis einer Zeit zu verstehen, in der andere Prinzipien galten. Das nennt man «Archäologie des Wissens». Die Kulturen der Vergangenheit haben ihre eigenen Normen, und wir dürfen sie nicht anhand unserer eigenen Werte beurteilen. Für unsere Sprichwortauswahl lassen wir diese Sprichwörter jedoch einfach weg oder wir wählen eine überlieferte Variante, die nicht gender-, standes- oder berufsspezifisch formuliert ist.

Welches ist Ihr liebstes altes Sprichwort?
«Huelga, viejo, que bien page tu asno» (Ruh dich aus, Alter, denn dein Esel weidet gut)
In die heutige Jugendsprache übersetzt, würde das wohl heissen: «Chill deine base, Alter!»

Aber auch Sprichwörter, die universelle Wahrheiten mit Humor und Ironie ausdrücken, gefallen mir, wie zum Beispiel «Ce cuide li larron que tuit soient si compaignon» (Der Dieb denkt, dass alle so sind wie er selbst) oder «Aliquando bonus dormitat Homerus» (Manchmal ist es gut, dass Homer schläft).

Für wie lange reicht Ihre Sammlung an Sprichwörtern noch?
Mittelalterliche Sprichwörter gibt es unzählige. Samuel Singer hat eine Sammlung von romanisch-deutschen Sprichwörtern ediert: Thesaurus Proverbiorum Medii Aevi; die Sammlung umfasst 13 umfangreiche Bände, mit ca. 80’000 Sprichwörtern! Dann gibt es noch das sechsbändige Werk Proverbia sententiaeque latinitatis medii aevi. Lateinische Sprichwörter und Sentenzen des Mittelalters aus dem Nachlass von Hans Walther und zahlreiche weitere Sammelwerke. Für unsere Pinnwand gäbe es also von den jahrhundertealten Sprichwörtern noch mehrere Jahrhunderte lang Nachschub.

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Kompost-Kompakt-Kurs /alma-georges/articles/2022/kompost-kompakt-kurs /alma-georges/articles/2022/kompost-kompakt-kurs#respond Wed, 23 Nov 2022 08:19:40 +0000 /alma-georges?p=17012 Im November 2022 hatten Interessierte die Möglichkeit, im Botanischen Garten der Universität mehr über das Kompostieren zu erfahren. Grün-Experte und Kursleiter Josef Schöpfer gab dabei wertvolle Tipps.

Das Thema Kompost scheint generationenübergreifend zu interessieren. Es ist Samstag, 5. November 2022. Das kalte, nasse Wetter macht nicht gerade Lust auf Aussen-Aktivitäten und doch haben sich an diesem Nachmittag rund sechszehn Personen – Jung und Alt – im Botanischen Garten der Universität Freiburg zusammengefunden. Sie wollen im Rahmen des Ateliers «Von Gartenabfall zu wertvoller Komposterde» mehr darüber wissen. Josef Schöpfer, ausgebildeter Gärtner und seit 35 Jahren im Botanischen Garten tätig, gibt nützliche Tipps für den eigenen Garten-Kompost. Er selbst ist im Botanischen Garten Experte für alles, was mit Erde und Substraten zu tun hat, inklusive Grünpflege. Und falls sich jemand mal gefragt haben sollte, wer eigentlich die ganzen Metall-Schildchen bzw. Beschriftungen macht – die erstellt Herr Schöpfer auch!

Raten Sie mal!
Den Einstieg in den Kurs finden die Teilnehmenden über ein Quiz: Wie lange brauchen verschiedene Materialien, die man irgendwo liegen lässt, um zu verrotten? Hier ein paar eindrückliche Beispiele:

  • Papiertaschentücher: 1-5 Jahre
  • Bananenschalen: 1-2 Jahre
  • Zigarettenstummel: 2-7 Jahre
  • Alu-Dosen: 50-500 Jahre
  • PET-Flaschen: 100-5000 Jahre
  • Tetra-Verpackungen: 50-100 Jahre
  • Kaugummi: 3-5 Jahre
  • Glas: 4000-1 Mio. Jahre
  • Plastiksäcke: 100-200 Jahre
  • Karton und Papier: 1-3 Jahre (die Druckerschwärze verlängert dabei den Prozess)
  • Windeln: 500-800 Jahre
  • Styropor: 6000 Jahre-nicht messbar

Auch wenn diese Materialien irgendwann mit blossem Auge nicht mehr sichtbar sind, so bleiben viele von ihnen toxisch für die Natur. Einen Zigarettenstummel oder eine Red Bull-Dose im Wald liegen zu lassen, ist also nicht ganz ohne.

Fragen über Fragen
Kompost (die Herstellung eines Gemischs aus zersetzten pflanzlichen und tierischen Abfällen, die als Dünger verwendet werden) geht zum Glück – wenn mensch es richtig macht – wesentlich schneller. Genauer: Kompost entsteht, wenn Mikroorganismen organische Rohstoffe umwandeln. Er bringt dabei zahlreiche Vorteile: Er reichert den Boden mit wichtigen Nährstoffen an, verbessert seine Struktur und Wasserkapazität und unterstützt Pflanzen bei der Bekämpfung von z.B. Pilzkrankheiten. Die Kompostierung findet u.a. am Feldrand oder in einer Kompostierungsanlage statt, die Qualität des Komposts hängt von den verwendeten Materialen ab. Wer einen eigenen Kompost anlegen will, muss sich aus diesem Grunde Zeit für ein paar Vorüberlegungen nehmen: Habe ich genug Fläche dafür zur Verfügung (in einem durchschnittlichen Garten ca. 3 Liter/Quadratmeter/Jahr) oder werde ich am Ende den Boden überdüngen? (Ein überdüngter Boden bringt nämlich keine Erträge, weil er die Wurzeln der Pflanzen verbrennt.) Habe ich für meinen Kompost einen passenden Schattenplatz? Wie vermeide ich Anfänger_innen-Fehler? Und für welches Kompostier-System soll ich mich überhaupt entscheiden?

Eine kleine Anleitung
Josef Schöpfer erklärt, wie sich ein Kompost bauen und unterhalten lässt. Er empfiehlt ein Holzgerüst. Dieser sollte einen Schattenplatz bekommen. Die Mikroorganismen mögen die pralle Sonne nämlich nicht. Der Boden des Gerüsts sollte durchlässig sein, damit das (Regen-)Wasser herausfliessen kann. Vor Mäusen, Maulwürfen und anderen unerwünschten tierischen Besuchern, welche die wertvollen Würmer fressen, die für das Kompostieren wichtig sind, schützt man den Kompost am besten, in dem man unten auch ein feinmaschiges Metallgitter einlegt. Eine erste Schicht kann man aus Laub legen. Diese sollte nicht zu dicht sein, weil ohne Sauerstoff keine Zersetzung stattfindet. (Schichten aus Ästen/Holz sorgen für eine gute Durchlüftung.) Ohne Geruch geht’s dabei nicht. Bei guter Durchmischung der Grünabfälle ist dieser aber nicht so stark. Hat man auf dem Komposthaufen Fliegen und Mücken, hat man etwas falsch gemacht!

Der Komposthaufen lässt sich mit alter Komposterde, die Würmer enthält, aktivieren. Würmer sind übrigens unglaublich: pro Tag geht durch ihren Magen die Hälfte seines Körpergewichts. Manchmal kann ein Kompostbeschleuniger von Vorteil sein. Dieser lässt sich einfach und schnell produzieren: Einen Würfel frische Hefe zusammen mit 500g-1000g Zucker in lauwarmem Wasser auflösen, abkühlen lassen, in eine Giesskanne giessen, mit Wasser verdünnen – zack, fertig!

Was nicht auf den Kompost kommen sollte:

  • Zu viele Citrusfrüchte
  • Behandeltes Holz
  • Gekochtes und Gesalzenes
  • Papier
  • Katzenstreu (auch wenn auf der Verpackung steht, es sei kompostierbar)
  • Katzen-/Hundekot
  • Käserinde (diese ist ein natürliches Herbizid und kann sogar Bäume töten)

Was auf den Kompost darf:

  • Rüstabfälle von Früchten und Gemüse
  • Kaffee- und Teesatz (natürlich ohne Beutel)
  • Eierschalen
  • (Zimmer-)Pflanzen
  • Äste, Rasenschnitte, Laub, Unkraut

Fun Fact: Manchmal ist es sinnvoll, die Komposterde zu sterilisieren, z.B. um beim Aussäen keine ungeliebten Unkräuter zu haben, die als zu grosse Konkurrenz zur eigentlichen Aussaat stehen würden. Ist das der Fall, sterilisiert sterilisiert der Botanische Garten die Erde auf 90 Grad. 92 Grad wären bereits zu viel. Die Erde wäre «tot» und bräuchte lange Zeit, um sich wieder zu regenerieren.

Wer jetzt Lust bekommen hat, mit dem Kompostieren anzufangen, hat die Möglichkeit, ein Freiburger Produkt namens «kompoBOX» von frinat zu bestellen. Hinter dem Projekt steht Unifr-Alumna Isabelle Baeriswyl, die von 2007 bis 2019 Abfallberaterin der Stadt Freiburg war.

Grüne Partnerschaft
Seit zwei Jahren ist der Botanische Garten offizieller Partner der Stadt Freiburg: er akzeptiert Grünabfälle aus den Küchen der Quartier-Bewohner_innen, darunter viele Unifr-Studierende aus den benachbarten Studierenden-Heimen, auf seinem Kompost. Der dafür vorgesehene Container umfasst 7.5 m3. Dieser wird bei Bedarf von der Stadt Freiburg abgeholt und geleert. In den Anfangszeiten und zu Corona-Lockdown-Zeiten hatte der Botanische Garten mehrere 800 Liter-Container mit organischen Abfällen von Privaten. Wer einen eigenen (normierten) Grüncontainer besitzen und unterhalten möchte, darf das machen: Die Stadt begrüsst das und sammelt die Abfälle einmal wöchentlich ein.

Wer Grünabfälle in den Botanischen Garten bringt, muss ein paar wichtige Regeln beachten:
Plastiksäcke und Speisereste wie Brot, Fleisch und Knochen sowie andere Abfälle (z.B. Etiketten auf Früchten/Teebeutel) gehören nicht auf den Kompost. Auch werden die kompostierbaren Abfallsäcke nicht akzeptiert, die gehören den Abfalleimer: verspielte Tiere wie z.B. Füchse schnappen sich diese sonst und verteilen die ganzen Abfälle überall im Garten. Josef Schöpfer empfiehlt grundsätzlich die Nutzung der kleinen grünen Komposteimer, auch wenn er ab und zu einen Anruf bekommt, weil die eine oder andere Person beim Entsorgen der Abfälle etwas zu viel Schwung genommen hat und der Eimer davongeflogen ist.

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Energie: les bons gestes pour l’hiver /alma-georges/articles/2022/energie-les-bons-gestes-pour-lhiver /alma-georges/articles/2022/energie-les-bons-gestes-pour-lhiver#respond Mon, 21 Nov 2022 16:45:47 +0000 /alma-georges?p=16901 Winter is coming! Comment économiser l’énergie sans se transformer en marcheurs blancs? Quelles sont les bonnes mesures à mettre en place? Le Service infrastructures a répondu à nos questions.

Ça y est le froid est arrivé et les radiateurs sont enclenchés. Quelles sont les mesures prises par l’Unifr en ces temps de risque de pénurie d’énergie?
La première mesure décidée et mise en place est la limitation de la température dans les locaux du campus pour cette saison de chauffage. La température cible est fixée à 19°, conformément aux instructions de l’Etat, tout en sachant qu’il n’est pas possible d’atteindre une précision au degré près dans tous les locaux! Une réflexion a été menée concernant les plages horaires, ce qui a entrainé une réduction des heures de fonctionnement. La température en mode nuit/hors présence est également réduite. Le personnel d’exploitation est impliqué et est sensibilisé à contrôler et réduire l’éclairage ainsi qu’à fermer les fenêtres restées ouvertes, par exemple.

L’Etat de Fribourg vient de prévoir un plan d’économie d’énergie. Comment l’Unifr s’y inscrit-elle?
Les recommandations adressées à la communauté universitaire sont en accord avec les mesures édictées par l’Etat de Fribourg. Nous travaillons également sur le Plan d’action pénurie d’énergie (PAPE) qui a pour but de nous préparer à mettre en application les mesures comprises dans le plan OSTRAL de la Confédération.

Comment les collaboratrices et collaborateurs peuvent-elles/ils soutenir les efforts de l’administration?
Effectivement, la mobilisation et l’investissement de tous les corps universitaires sont essentiels. L’Unifr invite ses étudiant·e·s et l’ensemble de ses collaboratrices et collaborateurs à être acteurs·trices face à cette situation et à modérer sa consommation d’électricité. Cela se traduit par des gestes simples du quotidien (cf. le flyer Ecogestes du Canton):

  • Adapter son éclairage si cela est possible et l’éviter lorsque celui-ci n’est pas nécessaire
  • Ne pas oublier de débrancher chargeurs et tout autre appareil une fois l’utilisation terminée
  • Eviter le mode «standby» et éteindre complètement son ordinateur et son écran lors de son départ, ainsi que tout appareil consommateur d’électricité
  • Ne pas utiliser d’appareil de chauffage mobile
  • Aérer brièvement mais grandement et fermer toutes les fenêtres en quittant les locaux

Qu’en est-il de certains lieux spécifiques comme les laboratoires ou les lieux de stockage de certains produits?
Un nombre conséquent d’installations et d’activités sensibles prennent place sur le campus. L’analyse des besoins auprès des laboratoires, des services centraux et académiques fait partie du plan PAPE. Cette analyse doit nous permettre d’identifier avec précision là où le courant ne doit absolument pas être interrompu et de maintenir au mieux les activités universitaires.

Doit-on prévoir chaussons en laine et mitaines? Autrement dit, faut-il s’attendre à des mesures plus restrictives?
L’Université est considérée comme un gros consommateur d’électricité, elle est donc soumise aux mesures d’économie qui pourraient être instaurées par la Confédération (OSTRAL) selon l’évolution de la situation. Cette évolution reste toutefois difficile à prévoir. Le Service infrastructures suit la situation de près afin de pouvoir limiter les conséquences sur les activités de l’Université en cas d’interruption d’électricité. Donc pas de chaussons en laine ni de mitaines à prévoir pour l’instant, sauf si l’AGEF les inclut dans son catalogue merchandising hiver 2022-2023.

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Consultations médicales exclusives pour la population estudiantine /alma-georges/articles/2022/consultations-medicales-exclusives-pour-la-population-estudiantine /alma-georges/articles/2022/consultations-medicales-exclusives-pour-la-population-estudiantine#respond Mon, 26 Sep 2022 09:30:21 +0000 /alma-georges?p=16500 Une offre de soin prodiguées par des étudiant·e·s pour les étudiant·e·s: la Consultation Santé Mozaïk (CoSaMo) propose une consultation de santé interdisciplinaire unique en Suisse. Le projet, mené par la Haute école de santé Fribourg et l’Institut de médecine de famille de l’Université de Fribourg, reprend le 27 septembre 2022. Explications de Florence Carrea, cheffe du projet et professeure à la HEdS-FR.

Florence Carrea, qu’est-ce qui se cache derrière CoSaMo?
C’est une consultation de premier recours, spécifique au jeune adulte, effectuée en interprofessionnalité par des étudiant·e·s en soins infirmiers, en médecine et en ostéopathie, elle est ouverte aux étudiant·e·s et apprenti·e·s majeur·e·s. Elles et ils peuvent venir consulter pour tout problème de santé non urgent comme, par exemple, des maux de ventre, de tête ou de dos, un état grippal, une infections urinaires, des préoccupations de santé sexuelle (infections, test de grossesse et contraception d’urgence), des blessures dues au sport (plaies traumatiques, entorse), un rappel du tétanos, une brûlure, une réaction allergique, etc. La consultation est ouverte les mardis et jeudis durant le semestre académique de 16h30 à 18h30.

C’est aussi un lieu de soins, de conseils, de prévention et de promotion de la santé et du bien-être. Par exemple, si votre médecin vous prescrit des injections de vitamine B12 et que vous habitez en Valais, vous pouvez venir avec votre ordonnance à CoSaMo et nous pourrons effectuer les injections. Nous pouvons également prodiguer des conseils sur la gestion de symptômes: les étudiant·e·s peuvent s’entretenir avec les futur·e·s professionnel·le·s en santé – supervisé·e·s par des professionnel·le·s diplômé·e·s – pour identifier des stratégies et des ressources personnalisées pour la gestion au quotidien du stress, de la fatigue et de certaines douleurs.
Enfin, nous aidons les patient·e·s à s’orienter au sein du Réseau de santé fribourgeois pour savoir quel·le·s professionnel·le·s consulter et pour quels motifs.

Deux éléments sont uniques à CoSaMo. D’abord, le regroupement des trois filières de formation en santé – médecine, soins infirmier et ostéopathie – qui travaillent de manière interdisciplinaire. Puis le fait que chaque étudiant·e est supervisé·e par un·e professionnel·le de son domaine. Recevoir des conseils ou des soins à CosaMo, c’est aussi offrir à de jeunes futur·e·s professionnel·le·s une opportunité d’apprentissage pratique.

Une formule unique en Suisse, donc. Comment s’est monté ce projet?
Nous avons choisi de cibler la consultation pour la santé des jeunes en fonction de la densité importante d’étudiant·e·s en Ville de Fribourg. Il est, en effet, parfois difficile pour elles et eux de trouver un·e professionnel·le en santé pour un problème particulier ou de savoir à qui s’adresser lorsqu’une préoccupation n’est pas une urgence. La population estudiantine du Canton de Fribourg représente 7.4% de la population totale. Les étudiant·e·s et apprenti·e·s sont dans une phase de transition: c’est la fin de l’adolescence et le début des premières expériences d’adulte, un passage qui peut engendrer du stress, des préoccupations de santé, ainsi que des accidents. Avoir un point d’entrée auquel se référer peut s’avérer utile pour exposer ses inquiétudes et symptômes.

Au départ, ce sont les directions de la Haute école de santé Fribourg et de l’Institut de médecine de famille de l’Université de Fribourg qui ont initié le projet et rencontré des professionnel·le·s de santé fribourgeois·e·s pour évaluer la pertinence de cette offre. Le projet a obtenu le soutien de la Direction de la santé et des affaires sociales (DSAS), notamment du Service du médecin cantonal, qui a relevé le potentiel bénéfice dans la promotion de la santé des jeunes adultes, une population parfois un peu oubliée face à l’ensemble des problèmes de santé.

En tant qu’infirmière clinicienne, j’avais une expérience dans le développement des consultations ambulatoires et la gouvernance de gestion de projet clinique. Ce parcours m’a permis d’être nommée cheffe de projet. Je gère donc la consultation clinique en collaboration avec une médecin et un ostéopathe. Les directions des hautes écoles ont constitué un comité de pilotage et un groupe de travail composé de professeur·e·s, médecins de premier recours et d’ostéopathes ayant une expérience clinique et/ou pédagogique, ce qui a permis de développer l’activité de consultation. Ces expert·e·s ont étudié quelles étaient les autres offres en Suisse et à l’étranger, puis sollicité l’expertise de spécialistes des soins du jeune adulte. L’accompagnement spécifique des étudiant·e·s qui effectuent la consultation a également été élaboré par le groupe de travail. Les trois filières ont réfléchi à un processus de supervision en commun, tout en offrant des spécificités à chacune des filières. Les étudiant·e·s font évoluer le projet au cours de moments d’échange, de debriefing et d’analyse de pratiques. Elles et ils participent également à la promotion de CoSaMo au travers de, par exemple, notre .

Il existe certaines offres de soins, notamment des consultations infirmières ou de psychologie, dans d’autres universités. Cependant, aucune n’offre la possibilité aux étudiant·e·s en formation de réaliser cette consultation dans un cadre interdisciplinaire. La particularité majeure est que les trois disciplines réfléchissent, dès le départ, aux  évaluations cliniques ensemble. Cette approche permet à l’étudiant·e en formation de mieux comprendre la pratique de l’autre, mais aussi de développer sa propre expertise selon sa discipline. Pour le jeune qui consulte, l’avantage c’est d’être soigné par une personne qui partage des expérience similaires aux siennes, ce qui lui permet de se sentir mieux reconnu dans ses difficultés.

Malheureusement lancée aux portes de la pandémie, la consultation a rapidement dû fermer ses portes. Comment avez-vous réagi et comment avez-vous mis ce temps à profit?
Nous avons ouvert 3 semaines, puis nous avons dû fermer durant 6 mois. Les étudiant·e·s impliqué·e·s dans CoSaMo ont été mobilisé·e·s pour du soutien sanitaire auprès de patient·e·s covid. Notre consultation a été évaluée comme consultation de premier recours nécessaire pour les étudiant·e·s qui étaient une population très touchée par les études à distances. Nous avons pu reprendre l’activité clinique de CosaMo à la fin du semestre de printemps 2020, puis continué à l’automne 2021 avec des mesures de précaution strictes et la mise en route de la prise de rendez-vous en ligne. Pour les étudiant·e·s étranger·ère·s nous avons parfois été le premier contact social et la seule réponse possible à une préoccupation de santé.

En cette fin septembre 2022, le projet peut-il enfin reprendre dans des conditions (presque) normales?
En fait, nous avons déjà bien fonctionné l’année dernière, avec en moyenne 60 consultations par semestre. Les horaires se remplissent bien et nous souhaitons visibiliser CosaMo auprès de tou·te·s les étudiant·e·s, y compris auprès des apprenti-e-s de plus de 18 ans.

Comment envisagez-vous la suite?
On espère que les étudiant·e·s «oseront» consulter pour tous types de demandes et que nous pourrons davantage nous préoccuper des affections virales, symptômes multiples et petites urgences. Cette année on vise surtout à stabiliser notre fonctionnement et à proposer nos services à une plus large population de jeunes étudiant·e·s, apprenti·e·s!

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  • et prises de rendez-vous
  • de Florence Carrea
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HelpIT, votre nouvel assistant IT /alma-georges/articles/2022/helpit-votre-nouvel-assistant-it /alma-georges/articles/2022/helpit-votre-nouvel-assistant-it#respond Mon, 13 Jun 2022 07:58:35 +0000 /alma-georges?p=15468 Un petit assistant personnel qui vous aide en cas de blocage informatique, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 et de n’importe où? Evitez les crises de nerfs et contactez HelpIT, le nouveau chatbot de l’Unifr.

Dimanche 22h00, en pleine finalisation de votre travail de séminaire, vous vous apercevez que vous n’avez pas encore chargé le logiciel de bibliographie. Mardi 10h00, confortablement installé chez vous, vous ne vous souvenez plus comment vous connecter au serveur de votre département. Jeudi 17h00, en route pour un workshop, décidément, comment est-ce qu’on installe le VPN déjà? Si vous êtes comme moi, face à de telles questions, une seule posture en deux étapes: blocage complet de toutes vos fonctions neuronales, suivi d’une crise de nerfs carabinée. Car, bien entendu, il vous faut la réponse tout de suite.

Avant tout, des solutions
Heureusement, l’IT – dont les problèmes vous chatouillent si souvent les nerfs – c’est avant tout des solutions. Et cette fois elle prend l’apparence d’un mignon robot au sourire doux qui calmera les plus informatiquement nerveux d’entre vous. HelpIT, c’est son nom, vous accompagnera pas à pas pour trouver les solutions qui vous échappent si cruellement.

Le chatbot s’adresse à l’ensemble de la communauté universitaire. Vous pourrez dialoguer avec lui au travers de votre clavier et de votre écran et lui poser toutes les questions ayant traits à l’IT en vous rendant sur la page de la Direction des services IT (DIT)ou directement via l’application MS Teams.

Ce nouveau petit compagnon n’offre que des avantages: disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, il vous accompagnera dans la résolution de vos problème IT, vous permettant d’apprendre au fur et à mesure et de régler vos questions de manière autonome. Sa base de données sera continuellement enrichie. Et si vous arrivez à le coller quand même, aucun souci, HelpIT vous guidera gentiment vers un opérateur humain qui sera d’autant plus disponible que le nombre de tickets ouverts aura diminué. Et enfin – je ne sais pas vous, mais moi ça me calme – HelpIT garde son joli sourire quelle que soit votre question. Aucun jugement, même si vous n’avez pas vu le joli bouton vert de téléchargement, juste là au milieu de l’écran 😉

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  • Plus d’
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«Menstruierende Männer sind für viele Menschen noch ungewohnt» /alma-georges/articles/2022/menstruierende-manner-sind-fur-viele-menschen-noch-ungewohnt /alma-georges/articles/2022/menstruierende-manner-sind-fur-viele-menschen-noch-ungewohnt#respond Fri, 08 Apr 2022 07:23:02 +0000 /alma-georges?p=15612 Haben Sie die bunten Boxen auf einigen Toiletten der Unifr schon entdeckt? Die Studierendenvereinigung EquOpp (Equal Opportunities) sensibilisiert für Fragen der Gleichheit und sozialen Gleichheit auf dem Campus und hat sich eine besondere Aktion für die nächsten Monate ausgedacht. Die Vereinigung erzählt, was es mit diesen Boxen auf sich hat.

Seit Kurzem sind an einigen Standorten der Unifr bunte Boxen aufgestellt, die die Aufmerksamkeit auf sich ziehen. Was sind diese Boxen genau und wofür sind sie gut?
Die Boxen stellen gratis Periodenprodukte zur Verfügung. Menstruierende Studierende können nach dem Prinzip «Nimm, was du brauchst!» frei davon Gebrauch machen. Im unteren Teil der Box kann mensch sich an den Tampons und Binden bedienen. Auffüllbar ist der Behälter durch den Deckel der Box. EquOpp wird sich einmal im Monat um die Auffüllung kümmern, aber natürlich wäre es auch schön zu sehen, wenn dies auch von anderen Studierenden kommt. Wofür sie gut sind, ist demnach ziemlich selbsterklärend, der Zugang zu Hygienenprodukten soll niederschwellig und in einer öffentlichen Einrichtung selbstverständlich sein. Darauf arbeiten wir hin.

Sie haben auch eine Öffnung für Erfahrungsberichte in Zusammenhang mit Periodenarmut eingebaut. Was ist Periodenarmut?
Periodenarmut bedeutet, wenn menstruierende Menschen sich Menstruationsartikel kaum oder gar nicht leisten können. Dies mag etwas überspitzt klingen, ist aber tatsächlich für viele Menschen mit niedrigen oder mittlerem Einkommen Realität. In der Schweiz sind vor allem Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen, aber auch Studierende monatlich von dieser zusätzlichen finanziellen Belastung betroffen. Bei einem Mangel von Menstruationsprodukten entstehen unangenehme (man denke an Blutflecken) oder gar gefährliche Situationen wie den nötigen Zugriff auf weniger hygienische Produkte. Gerade in Schulen und öffentlichen Gebäuden ist es deshalb wichtig, dass diese Produkte frei zu Verfügung stehen. Auch etwa um zu verhindern, dass Betroffene während und aufgrund ihrer Periode nicht der Schule oder Arbeit fernbleiben müssen. In Schottland, Neuseeland und auch New York ist dies schon länger umgesetzt worden, und auch in Basel-Stadt wurde 2020 ein entsprechender Vorschlag angenommen.

Was werden Sie mit diesen Erfahrungsberichten machen?
Die Erfahrungsberichte sind in erster Linie für uns. Wir freuen uns über Rückmeldungen, Anregungen oder Kritik. Je nach dem kann uns ein Bericht oder eine Rückmeldung bezüglich der Periodenarmut auch helfen, die Wichtigkeit dieser Boxen bei den oberen universitären Instanzen oder Institutionen zu unterstreichen, selbstverständlich in anonymer Weise.

Die Menstruationsboxen sind bisher nur in den sogenannten «Damentoiletten» zu finden. Warum erfolgt die Aufrüstung in den anderen Toiletten nicht bereits von Anfang an?
In den «Männertoiletten» sind keine Boxen, weil die Box, die in eine Männertoilette sollte, in die Toilette für Menschen mit eingeschränkter Mobilität im PER 10 kam. Wir mussten mit den Mitteln und Ressourcen arbeiten, die uns zur Verfügung standen, und haben diese als die beste provisorische Lösung erachtet.

Inwiefern tragen die Boxen dazu bei, für das Thema «Menstruation bei trans Männern und non-binären Menschen» zu sensibilisieren?
Es gibt immer noch viele cis Männer, welche kaum mit dem Thema Menstruation in Berührung gekommen sind. Dass es Männer gibt, die menstruieren, ist für viele Menschen noch ein ungewohnter Gedanke. Also fallen die Boxen auf, gerade in den «Männertoiletten», und regen hoffentlich etwas zum Denken an. Nach einer gewissen Zeit ist der Anblick dieser Boxen nicht mehr so überraschend, und irgendwann gewöhnt sich mensch hoffentlich auch an den Gedanken menstruierender Männer und Menschen jedes Geschlechts.

Ab wann dürfen wir mit Boxen in allen Toiletten rechnen?
Das ist nicht mal unbedingt unser Ziel, zumindest nicht für die Boxen von EquOpp. Vielmehr sehen wir darauf ab, dass die Universität dieses Projekt auf kantonaler Ebene weiterführt und unser Projekt nur eine Art Testphase für sechs Monate darstellt. Schlussendlich wünschen wir uns, dass die Boxen überall vorhanden sind, aber dies vom Kanton organisiert ist und nicht von uns. Diesbezüglich sind wir da noch in Konsultationen.

Das Thema «All-Gender-Toiletten» ist an vielen Hochschulen aktuell. Wie ist die aktuelle Situation an der Unifr?
Da sind wir im Gespräch mit der Universität. Mit Bestimmtheit können wir sagen, dass das Projekt Step-by-Step vorankommt und eine erste All-Gender-Toilette in Regina Mundi noch dieses Jahr in Betrieb genommen werden kann.

Glossar

«³¾±ð²Ô²õ³¦³ó» kann als Alternative zum Pronomen «man» verwendet werden. Etymologisch stammt «man» vom Substantiv «Mann», ist somit nicht neutral und steht deshalb in der Kritik feministischer Sprachwissenschaftler_innen.

«³Ù°ù²¹²Ô²õ» wurde erst kürzlich als Adjektiv in den Duden aufgenommen und beschreibt Menschen, die sich nicht mit dem Gender wohlfühlen, das ihnen bei der Geburt zugewiesen wurde.

«³¦¾±²õ» sind jene Menschen, die sich mit dem Gender wohlfühlen, das ihnen bei der Geburt zugewiesen wurde.

«²Ô´Ç²Ô-²ú¾±²Ôä°ù» sind jene Menschen, die sich entweder zwischen den zwei binären Geschlechtern «männlich» und «weiblich» verorten oder gar ausserhalb dieser Kategorien. Non-Binarität ist eine Form von Trans. Binäre trans Menschen sind trans Frauen und trans Männer.

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Breites Hilfsangebot für Familien, Paare und Jugendliche /alma-georges/articles/2021/breites-hilfsangebot-fur-familien-paare-und-jugendliche /alma-georges/articles/2021/breites-hilfsangebot-fur-familien-paare-und-jugendliche#respond Tue, 14 Dec 2021 16:06:04 +0000 /alma-georges?p=15007 Am Institut für Familienforschung und -beratung wird – wie es der Name schon sagt – sowohl Forschung betrieben, wie auch Beratung angeboten. Zur juristischen und psychologischen Hilfeleistung ist neu noch die Familienmediation hinzugekommen. Die Lehrbeauftragte Gisela Kilde erklärt, wie es dazu kam und mit welchen Anliegen die Leute zu ihr kommen.

«Die Beratung am Familieninstitut bietet vielfältige Hilfestellung für Familien», steht auf der Website des Instituts. Was bieten Sie konkret an?
Schon länger erhalten Paare, Familien und Jugendliche bei uns eine juristische- oder psychologische Beratung. Neu kommt nun die Familienmediation hinzu.

Warum dieses neue Angebot?
Unser Institut bietet die Erstberatung in juristischen Belangen an, wir schauen, wo die Leute stehen, wo sie hinwollen und wie sie dieses Ziel am besten erreichen. Oft ist Mediation ein guter Weg, um Konflikte zu lösen und gemeinsam Lösungen zu finden. Bisher mussten wir die Klient_innen für eine Mediation an andere Stellen verweisen. Für die Betroffenen bedeutete dies einen zusätzlichen Schritt, eine Person anzurufen, die sie nicht kennen, und nochmals den gesamten Hintergrund zu erklären. Deshalb bin ich froh, dass wir in Zukunft beispielsweise einem Paar, das sich von Anfang an bei uns beraten lässt, sagen können: «Der nächste Schritt könnte eine Mediation sein, können Sie sich vorstellen, diese mit uns zu machen?»

Was ist Ihre Aufgabe als Mediatorin?
ܲú±ð°ù mehrere Sitzungen hinweg den Prozess der Lösungserarbeitung zu begleiten. Nicht die Mediator_innen finden letztlich die Lösungen, sondern die Parteien selbst.

Welche Idee steckt grundsätzlich dahinter, als universitäres Institut auch Beratungen anzubieten?
Es bestand bei der Gründung des Instituts die Idee, ein interdisziplinäres Institut zu schaffen, das den Wissenstransfer in die Praxis sicherstellt und auch der breiten Bevölkerung etwas bietet. Wir wollen unser Wissen praxisrelevant weitervermitteln. Damit verhindern wir, in einem Elfenbeinturm zu leben. Es ist interessant und hilfreich, zu sehen, wo die Probleme liegen. Das schärft auch den Blick darauf, welche Forschungsthemen relevant sind.

Wie sehr integrieren Sie die Fallbeispiele anschliessend in die Lehre?
Ich verwende die Beispiele nicht konkret in der Lehre. Doch sie geben Anstösse und helfen bei der Gewichtung. Man erhält beispielsweise einen guten Eindruck von den Schwierigkeiten, die Leute antreffen können, wenn es um Trennungen geht. Oder etwa auch, wie schwierig es ist, wenn Kinder ein psychologisches Problem haben und zwischen Stuhl und Bank fallen, weil sie keine Diagnose erhalten – und sie so bei der IV keinen Antrag stellen können. Es sind Probleme direkt aus dem Leben, mit denen man sich in der Fachliteratur nicht unbedingt beschäftigt.

An wen richtet sich das Beratungsangebot in erster Linie?
Die meisten kommen, weil sie vorsondieren möchten, was beispielsweise eine Trennung für sie bedeuten würde und welche Lösungsansätze es bei der Umsetzung gibt. Grundsätzlich behandeln wir alle Fälle, in die Kinder, Paare oder Jugendliche involviert sind. Ab und zu kommen auch Uni-Angehörige zu uns, meist Studierende, die Probleme mit ihren Eltern haben, die oft finanzieller Natur sind.

Wo liegen die Probleme bei den Paaren?
Was auffällt: Frauen befinden sich finanziell oft in einer heiklen Lage. Sie stellen sich fast immer die Fragen: «Wie schaffe ich das mit dem Geld? Kann ich mir eine Trennung überhaupt leisten?» Die Männer sorgen sich eher darum, wie lange sie nach einer Trennung unterhaltspflichtig sein werden.

Es scheint oft ums Geld zu gehen.
Ja, aber nicht nur. Männer sorgen sich manchmal, dass sie nicht der Vater des Kindes sein könnten. Und Frauen erzählen oft, dass sie gerne ausziehen wollen. Davon ist eher abzuraten, weil so Tatsachen geschaffen werden. Wer zukünftig sowieso nicht mehr in der Familienwohnung bleiben will, kann selbstverständlich ausziehen. Wer aber eigentlich gerne mit den Kindern in dem Haus bleiben würde, geht besser nicht weg. Manchmal wollen Paare auch ganz einfach wissen: «Wir arbeiten beide 80 Prozent, bei wem werden zukünftig die Kinder wohnen?» Darauf gibt es heute keine klare Antwort mehr. Die beste Lösung ist, sich untereinander zu einigen. Hier käme dann wieder die Mediation ins Spiel.

Welche Beobachtung hat Sie in Ihrer bisherigen Beratungstätigkeit überrascht?
Ich bin überrascht, wie Männer reagieren, wenn sie mit Vaterschaftsklagen konfrontiert werden. Einige Klienten, die sich der Vaterschaftsklage widersetzen wollten, stellten dann im Beratungsgespräch die Folgefrage, wie das Verhältnis zum Kind möglichst eng gestaltet werden kann. In solchen Fällen der Ambivalenz sind wir dann nicht nur juristisch unterwegs. Da kommen Emotionen auf und wir hören gerne zu. Wir nehmen uns so viel Zeit wie nötig – ohne das zusätzlich in Rechnung zu stellen. Dieses Gesamtpaket ist womöglich das Plus im Vergleich zu Angeboten von Anwältinnen und Anwälten. Deshalb ist es gut, wenn die Leute früh zu uns kommen, um sich beraten zu lassen, in welche Richtung es weitergehen könnte.

Ist das der Hauptvorteil gegenüber privaten Angeboten?
Das Problem an privaten Angeboten ist, dass sie kostspielig sind. Wichtig ist: Wir wollen niemandem die Arbeit wegnehmen. Jemand behauptete einmal, wir würden mit Dumpingpreisen den Anwältinnen und Anwälten die Arbeit wegnehmen. Das Gegenteil ist der Fall. Mit unserem Beratungsangebot helfen wir den Klient_innen dabei, einen passenden Weg zur Lösung zu finden. Nicht selten ist es Teil der Lösung, sich als Einzelperson oder auch als Paar eine Anwältin oder einen Anwalt zu nehmen.

Wie viel kosten die Beratungen am Institut?
Die Erstberatung kostet bei der Rechtsberatung pauschal 50 Franken, unabhängig davon, wie lange sie dauert und ob womöglich Nachberatungen nötig sind. Für die psychologische Beratung sind es 120 Franken, Personen mit geringem Einkommen kann jedoch eine Reduktion gewährt werden. Für die Mediation verlangen wir 150 Franken pro Sitzung.

Welche Zukunftspläne hat das Institut für seine Beratungen?
Wir sind ein kleines Team. Die psychologische Beratung übernimmt eine erfahrene Psychologin, bei der Rechtsberatung sind wir zwei Juristinnen – das war’s dann auch schon. Sämtliche Einnahmen bleiben im Institut und werden beispielsweise für Literatur oder Veranstaltungen verwendet. Wir wollen auch weiterhin ein niederschwelliges Angebot anbieten und unser Wissen weitergeben, das liegt uns am Herzen.

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  • Dr. iur. ist Lehrbeauftragte, Oberassistentin, wissenschaftliche Mitarbeiterin und Beraterin am Institut für Familienforschung und -beratung der Universität Freiburg.
  • Das (IFF) beschäftigt ein interdisziplinäres Team, das auf Entwicklungspsychologie und Familienrecht spezialisiert ist. Dabei setzt es drei Schwerpunkte: Forschung, Ausbildung und Beratung. Einen Termin vereinbaren für eine Beratung oder eine Mediation kann man unter: /iff/de/beratung/
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